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Aide à la création d'entreprise : 10 pistes à creuser

Des aides, parfois méconnues, existent pour financer une partie de sa création d'entreprise.

Publié le

En France, malgré la frilosité des banques, les entrepreneurs indépendants trouvent toujours un moyen de financer leurs projets de création d'entreprise. Devenir franchisé requiert aussi de dénicher le ou les bons financements. Nous vous dévoilons les meilleures options.

1. L'aide aux chômeurs créateurs d'entreprise (Accre)

Cette aide s'adresse aux demandeurs d'emploi indemnisés par Pôle Emploi, aux bénéficiaires du RSA ou de l'allocation solidarité spécifique (ASS) et aux personnes dans certains cas particuliers (salariés d'une entreprise en redressement judiciaire, les créateurs d'entreprise dans une zone urbaine sensible, etc.). Elle consiste en un prêt sans intérêt de 1000 à 10.000 euros, remboursables sur cinq ans.

2. L'aide au retour à l'emploi (ARE) et l'aide à la reprise ou à la création d'entreprise (ARCE)

Ces deux aides proposent aux demandeurs d'emploi présents sur les listes de Pôle Emploi de :

  • recevoir leurs allocations chômage pendant 15 mois pendant qu'ils préparent leur projet d'entreprise (dans le cas de l'ARE)
  • ou bien de toucher un capital d'une valeur égale à la moitié du total des allocations chômage leur restant à percevoir (pour l'ARCE). Il est possible de se renseigner directement auprès de Pôle Emploi.

3. La garantie BPIFrance

BPIFrance, qui est issu de la fusion de CDC Entreprises, du FSI et d'Oseo, se charge de garantir les prêts bancaires avec lesquels l'organisme a passé des accords. Il a couvert 4,6 milliards d'investissement en 2013 et n'a pas qu'une seule corde à son arc. BPIFrance offre aussi des subventions, comme la prestation technologique réseau, d'un montant de 10 000 euros, ou des avances pour les projets innovants pouvant atteindre 50 000 euros, ou encore le prêt pour l'export (PPE), qui peut s'élever à 150 000 euros sur sept ans.

4. La garantie France Active

L'objectif de FAG (France Active Garantie) est d'aider les créateurs d'entreprise à accéder au prêt bancaire. Pour ce faire, l'organisme se porte garant auprès des banques pour des prêts jusqu'à 30.500 euros. Il existe d'autres garanties qui s'adressent à des types particuliers d'entreprises ou de créateurs. FAG met également en place des prêts solidaires.

5. Le microcrédit

L'Adie est une association qui s'adresse à des personnes exclues du système bancaire traditionnel, aux personnes en précarité, aux allocataires des minima sociaux et aux demandeurs d'emploi. Elle propose des prêts destinés aux micro-entrepreneurs pouvant atteindre 10.000 euros. Depuis sa création en 1989, elle a contribué à la création de près de 94.000 entreprises, et 84% des micro-entrepreneurs se sont réinsérés professionnellement grâce à ces créations.

6. Le nouvel accompagnement pour la création et la reprise d'entreprise (Nacre)

Obligatoirement couplé à un prêt bancaire commercial, Nacre est un prêt à taux zéro sur cinq ans maximum, destiné aux demandeurs d'emploi. La somme prêtée s'élève entre 1000 et 10.000 euros. L'organisme accompagne le créateur d'entreprise pendant la préparation de son projet et pendant trois ans après le démarrage de l'entreprise.

7. Le prêt à la création d'entreprise (PCE)

Les organismes bancaires et les réseaux d'accompagnement offrent la possibilité de recevoir un prêt sans garantie ni caution sur cinq ans, le PCE. Celui-ci doit cependant être accompagné par un prêt bancaire classique et le besoin de financement ne peut pas dépasser 45.000 euros. Le montant du prêt varie entre 2000 et 7000 euros.

8. Le prêt d'honneur

Sur le même modèle que le PCE, le prêt d'honneur est accordé par des organismes comme le Réseau Entreprendre, BGE ou Initiative France. La durée du prêt est de deux à cinq ans et les sommes prêtées oscillent autour de 8000 euros. Accordés sur dossier, les prêts d'honneur servent souvent de garantie de sérieux pour les banquiers.

9. Le crowdfunding

Dit aussi financement participatif ou "foulancement", le crowdfunding est couvert par la loi française depuis février dernier. Il connaît un succès sans précédent chez les entreprises du secteur technologique, et certains y voient un nouveau modèle commercial. Le principe est simple : l'entreprise présente son projet sur un site internet dédié, comme Kisskissbankbank, Ulule ou l'américain Kickstarter. Les internautes ont la possibilité de soutenir financièrement à divers niveaux de contrepartie : achat d'un produit à prix avantageux, abonnement à un service avant son lancement, etc. Certains sites proposent aussi l'équivalent d'une levée de fonds.

10. Le "love money"

L'argent affectif, c'est ainsi qu'on surnomme les prêts accordés par des proches. S'il faut sonner à beaucoup de portes pour réunir les fonds nécessaires à ses ambitions, la pression est bien moindre sur le long terme !

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