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Grégory Moraux

RÉAUTÉ CHOCOLAT

Grégory Moraux

Franchisé Chocolats Roland Réauté dans la Marne

Franchise RÉAUTÉ CHOCOLAT

Les chiffres de ce réseau :

  • - Date de création : 1998
  • - Date de lancement de la franchise : 2008
  • - Nombre d’implantations : 24
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Interview de Grégory Moraux

Publié le
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Grégory Moraux et sa femme ont ouvert leur magasin Chocolats Roland Réauté il y a tout juste un an. A quelques semaines de l’ouverture de leur second point de vente, il revient pour Toute la Franchise sur les raisons qui les ont poussés à choisir ce réseau.

Toute la Franchise : Pourriez-vous nous dire quelle était votre activité avant de rejoindre le réseau ?
Grégory Moraux :
J’étais à mon compte dans le commerce du bois. J’y ai passé dix ans. Mais c’est une filière qui rencontre beaucoup de difficultés. Avec ma femme, nous avons donc décidé de nous réorienter.

TLF : Pourquoi votre choix s’est-il porté sur les Chocolats Roland Réauté ?
G.M. :
On était intéressés par l’alimentaire, et on pensait se tourner vers le secteur de la grande distribution. On est tombé totalement par hasard sur le réseau Chocolats Réauté et on a tout de suite eu un déclic ! D’abord parce que les produits sont agréables à vendre, et puis parce qu’il y a un contact clientèle très différent de la grande distribution. On joue avec la gourmandise, le point faible des gens ! Ils sont là pour se faire plaisir, ou faire plaisir à leur entourage. Et la relation est forcément différente.
Ce qui nous a attirés aussi, c’est que la structure était toute jeune au niveau de la création du réseau. Au final, on grandit en même temps qu’eux.

TLF : Comment se traduit concrètement cette évolution du réseau ?
G.M. :
Il n’est pas figé. C’est un point important : on est souvent sollicités pour donner notre avis. Pour développer de nouveaux produits, ou choisir comment mettre en avant tel ou tel produit qui ne marche pas très bien, on nous demande notre point de vue. On est vraiment écoutés et c’est agréable. On avance ensemble ; on n’est pas des pions, on nous laisse une vraie place au sein du réseau.

TLF : Quels sont les atouts de Chocolats Roland Réauté par rapport à la concurrence ?
G.M. :
L’originalité du concept, d’abord, avec ce libre-service, qui ne se fait nulle part ailleurs. Le « supermarché du chocolat », c’est quelque chose de vraiment différent. Du coup, ça nous permet d’avoir une nette avance sur la concurrence en termes de prix : on est en moyenne deux à quatre fois moins cher qu’ailleurs. On est globalement à 25 euros le kilo, là où les chocolateries classiques sont plutôt autour de 40 à 100 euros. Et puis, avec plus de 60 références en chocolat, mais également en biscuits ou dragées, on répond réellement à la demande de la clientèle.

TLF : Comment s’est passée votre intégration dans le réseau ?
G.M :
Très bien ! On a commencé par une formation de trois semaines, où beaucoup de points ont été abordés de manière théorique, au niveau de la gestion informatique ou des commandes. On a aussi passé dix jours dans un point de vente, pour voir directement comment les choses se passent sur le terrain. Et après l’ouverture, pendant dix jours, on bénéficie d’une assistance, au quotidien. Le réseau est là pour les détails à ajuster, les cas concrets à régler, dont on n’a pas forcément eu le temps de parler au cours de la formation initiale.

TLF : Un an après l’ouverture de votre magasin, quel est le bilan que vous pouvez dresser de votre aventure ?
G.M. :
Le bilan est globalement positif. Je suis très satisfait de notre activité, même si on n’a pas atteint le chiffre d’affaires espéré. La météo n’a pas joué en notre faveur aux deux grosses périodes de vente : on a eu beaucoup de neige et de verglas pour Noël, ce qui fait que les gens ne se sont pas tellement aventurés dehors. Et pour Pâques, il a fait très chaud, ce qui n’est pas très propice à la vente de chocolats ! Du coup, les chiffres prévus n’ont pas été atteints. Sur les autres périodes, on est dans nos objectifs, mais à cause des aléas du temps, on a un peu raté nos deux gros moments de l’année !

TLF : Quelles sont vos perspectives de développement ?
G.M. :
On s’apprête à ouvrir un 2e magasin, à Troyes cette fois-ci. L’ouverture est prévue à la mi-novembre. On savait qu’on voulait se développer, mais on ne pensait pas forcément que ça irait si vite ! On a eu une bonne opportunité, qu’il fallait saisir, alors c’est ce qu’on a fait ! On va embaucher une équipe pour s’occuper du magasin là-bas, pendant qu’on restera, ma femme et moi, sur le point de vente de Reims. Et on sait qu’on peut compter sur le soutien du réseau, alors ça devrait aller !

TLF : Avez-vous le sentiment que Chocolats Roland Réauté a respecté les engagements de départ ?
G.M. :
Oui. Je peux vraiment dire qu’il n’y a eu aucune mauvaise surprise. Les informations transmises au départ se sont vérifiées une fois lancés : on ne manque pas de marchandise, tout est bien réglé. Bien sûr, il y a quelques petites choses qui pourraient être améliorées, mais rien de fondamental qui me pousserait à regretter mon choix.

TLF : Quel conseil donneriez-vous à un candidat qui souhaite rejoindre un réseau de franchise ?
G.M. :
De ne pas s’engager à la légère ! Ouvrir une franchise, c’est un vrai cheminement, un choix réfléchi. Une fois qu’on s’est renseigné sur un réseau qui semble plaire, il est important de ne pas se contenter de rencontrer le franchiseur. Il faut faire le tour de quelques magasins, discuter avec les franchisés, avoir leur point de vue. Si un franchisé dit des choses négatives sur le réseau, ce n’est pas bon ! C’est important de ne pas sauter cette étape, parce qu’il faut une véritable confiance réciproque : on passe beaucoup de temps dans le point de vente. Si ça ne marche pas, si on n’est pas satisfait, les choses vont être très compliquées !

Sandrine, Journaliste Toute la Franchise©


Les interviews sont la propriété de Toute la Franchise.com et sont destinées à la diffusion exclusive sur les sites du Groupe Toute la Franchise.com

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