« La crise a bien entendu ralenti notre déploiement, mais nous n’avons jamais cessé de recevoir des candidatures » Arthur de Choulot (CEO DreamAway)
Pur-player de la Réalité Virtuelle de loisir développant un réseau d'espaces selon un modèle inspiré des salles de cinéma, des escape games et des salles d'arcade, le réseau DreamAway, par le biais de son directeur général, Arthur de Choulot, est récemment revenu sur son année 2020, notamment la gestion de la crise sanitaire.
DREAMAWAY
Le marché de la Réalité Virtuelle (VR) est aujourd’hui en pleine effervescence. En effet, la VR renouvelle en profondeur l’usage de la technologie afin de permettre aux utilisateurs de vivre des expériences hors du commun et chargées d’émotion. Mais comme tous les secteurs d’activité confondus, la crise sanitaire du coronavirus a eu un impact important sur ce marché l’année dernière. C’est fut notamment le cas pour l’enseigne DreamAway, comme l’a souligné le directeur Arthur de Choulot : « Notre réseau a malheureusement subi les mêmes fermetures administratives que les cinémas, théâtre et musée. Cette situation génère une importante frustration pour nos équipes et nos affiliés ! Elle est d’autant plus frustrante que DreamAway connaissait une courbe de croissance importante ».
« Nous nous attendons d’ailleurs à un très fort rebond lorsque tout cela sera derrière nous »
Toutefois, l’attractivité générée par le réseau permet encore aujourd’hui à l’enseigne de demeurer confiante dans son développement dans les prochains mois : « Nous avons néanmoins été rassurés par la période de réouverture durant l’entre deux confinements. Nous avons progressé de semaine en semaine pour réatteindre un niveau de fréquentation dans nos espaces VR similaire à l’avant crise. Nous nous attendons d’ailleurs à un très fort rebond lorsque tout cela sera derrière nous. Nos ventes de coffrets cadeaux à Noël l’illustrent pleinement. La nature humaine a un besoin viscéral de sociabilisation ! ».
Le réseau a profité du confinement pour structurer son offre de contenu VR autour de trois piliers : divertissement, culture et formation : « Nous sommes dorénavant le premier opérateur français et européen à incarner une vision multi-usage de la réalité virtuelle. Notre volonté est de rassembler autour de nos espaces les plus belles innovations VR grâce aux multiples partenariats que nous mettons en place avec les studios de production » explique le directeur général, qui poursuit : « La crise a bien entendu ralenti notre déploiement mais nous n’avons jamais cessé de recevoir des candidatures ! Nous avons à présent 6 sites et 3 autres en cours d’ouverture. En espérant que la crise soit derrière nous cet été, DreamAway devrait atterrir en fin d’année 2021 aux alentours d’une quinzaine d’espaces ».
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