« Le bar à ongles by V est un concept jeune et attractif qui change complètement de ce qui existait sur le marché », Aurélie Sénéchal, franchisée à Montpellier

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Aurélie Sénéchal : Je suis gérante de trois établissements by V et en ouvrirai un quatrième courant 2021.

Pourquoi avoir ouvert votre bar à ongles avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?

J’ai fait mes recherches et le support de la franchise me paraissait le plus adapté au vu de mon inexpérience dans cet univers, j’avais besoin d’un accompagnement dans mon développement.    

Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?

Ma plus longue activité professionnelle a été à Ikea où j’ai travaillé neuf ans mais suite à un accident de voiture je ne pouvais plus y travailler, j’ai donc procédé à un changement d’activité

Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagnée dans votre activité ?

J’ai toujours bénéficié d’un accompagnement continu très humain de la part de l’équipe by V. Je suis très souvent en contact avec le siège qui m’a toujours soutenue dans mes projets et mes souhaits de développement.

La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?

Je n’avais aucune compétence en esthétique, j’ai donc tout appris durant ma formation en même temps d’ailleurs que mes employées. Je suis très manuelle de base donc je n’ai pas rencontré de difficultés pour assimiler la formation.

Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?

Oui clairement, j’ai un vrai suivi je ne me sens pas à l’abandon, mon franchiseur et ses collaborateurs travaillent d’arrache-pied afin que mon activité se passe dans les meilleures conditions possibles. Je ne trouve aucun point négatif à notre collaboration

Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?

Je suis très « corporate » suite à mon expérience chez Ikea. J’affectionne la culture d’entreprise et son côté social. Je suis en contact avec plusieurs autres franchisés avec qui je m’entends très bien. Quand j’ai un déplacement dans un secteur d’activité gérée par un de mes collègues franchisés, je viens à sa rencontre pour discuter ou déjeuner. Nous partageons nos ressentis quant à la franchise, des questions sur la gestion du point de vente et même plus simplement pour des raisons amicales.

En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?

Oui, sur mon premier magasin j’ai atteint mon prévisionnel au bout de la 2e année, mon deuxième magasin a eu un démarrage plus difficile suite à des problèmes internes, mais il dépasse finalement mes espérances. Et pour mon 3e point de vente malgré la crise du Covid-19 a mieux démarré que le 2e. Espérons que cela continue !

Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?

Nous mettons en place un système de fidélisation qui fait ses preuves, qui est propre à chaque franchisé qui l’adapte à son activité. J’essaye au maximum de respecter les protocoles de la franchise qui m’assure une bonne pérennité de manière générale, j’accorde aussi une grande importance sur le choix de mon personnel, directement lié à l’image que je veux renvoyer au consommateur.

Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?

Oui, la concurrence est presque inexistante, c’est un concept jeune et attractif qui change complètement tous les tenants de ce qu’on pouvait avoir auparavant dans le domaine des bars à ongles. Nous privilégions la qualité à la quantité ce qui crée toujours de l’attractivité

L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?

Oui, j’étais allée faire ma propre inspection sur le terrain voir ce qu’il en était et j’avais remarqué que le concept Nail bar était quasi-non existent en France, et le développement entrepris par les autres instituts ne collait pas à ma vision. La maison by V m’a permis de mettre en œuvre mon ressenti sur le marché.

Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du ouvrir votre centre de manucure seule ?

J’arrive toujours à mener à bien mes projets car je travaille beaucoup, j’aurais certainement mis plus de temps, l’apport du réseau reste important et je n’aurais pas pu me développer comme je l’ai fait. Par exemple je n’ai aucune créativité il aurait été ardu de créer un logotype et des visuels ou même le système de fidélisation. 

Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur pour ouvrir votre Nail Bar ?

Oui, je me suis tout de suite bien entendue avec l’équipe By V comparé aux autres organisations de franchise avec lesquels je suis rentrée en contact, ou nos échanges étaient bien plus froids. Et en vue des résultats de notre collaboration, je signerais encore une fois avec plaisir

Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ? 

Certains potentiels candidats m’ont déjà contactée et je leurs réponds toujours la même chose, c’est qu’il faut travailler donner du sens car leur potentielle future réussite en dépend !