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Le réseau Laforêt analyse le marché de l’immobilier

Publié le
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Dans une publication intitulée « Marché immobilier 2012, qui détient les clés ? », le réseau d’agences immobilières Laforêt Immobilier décrypte l’évolution du marché de l’immobilier et envisage les perspectives à venir.

En se basant sur les résultats des agences de son réseau, Laforêt analyse les tendances de l’immobilier et explique les causes et effets de l’actualité politique, sociale et économique sur le marché.

Premier indicateur, la demande accuse une légère baisse de l’ordre de 1% en 2011. Une baisse réfrénée notamment par l’annonce de la fin du dispositif du prêt à taux zéro qui a poussé les acquéreurs à anticiper leur projet d’achat. Mais aussi par la considération de la pierre comme produit de placement plus sûr que certaines autres valeurs économiques. En 2012, la demande ne devrait repartir à la hausse, justement en raison de la suppression du PTZ+ dans l’ancien et de la frilosité des banques pour l’octroi de prêts.

Au niveau de l’offre, les stocks de biens immobiliers sont à la baisse partout en France excepté à Paris. Le nombre de biens à la vente a connu une baisse de 10% en région alors qu’il a augmenté de 16% à Paris. De manière générale, l’offre est insuffisante et demeure bien au-deçà de la demande. En chute constante depuis 2010, elle semble s’être stabilisée cette année.

Demande stagnante et offre en baisse ont entrainé une diminution des transactions. Selon le réseau Laforêt plusieurs facteurs expliquent ce constat. Outre l’amoindrissement de l’offre en quantité comme en qualité et la frilosité des établissements bancaires pour l’accord de prêts, la conjoncture socio-économique défavorable explique aussi cette diminution des transactions.

En chute de plus de 6 points en 2011, le niveau des transactions ne devrait pas repartir à la hausse cette année, notamment en raison des élections à venir qui, historiquement, figent toutes prises de décisions. La perte du PTZ+ pour l’ancien devrait aussi être un facteur influent de taille sur le nombre de ventes.

En termes d’évolution des prix au m2, les secteurs géographiques ne sont pas tous logés à la même enseigne. Si globalement les prix ont augmenté, c’est surtout le cas dans les grandes métropoles alors que certaines régions françaises ont connu une baisse parfois significative. De manière générale, l’évolution des prix n’a pas suivi la baisse des transactions.

Le rapport émit par le réseau Laforêt détaille l’état du marché région par région avant de se projeter sur l’année 2012. Pour le réseau Laforêt, le marché immobilier va devoir se passer des incitations fiscales encore en vigueur en 2011 et supporter la prudence des banques qui entraine une moindre solvabilité des acquéreurs. Pour ces raisons, Laforêt s’attend à une période d’immobilisme durant la première moitié de l’année. Une situation qui devrait entrainer une baisse manifeste des prix jusqu’à 10%.


Le réseau prévoit cependant une éventuelle reprise au second semestre. Soutenue par la baisse des prix moyens qui devrait compenser l’augmentation des taux d’emprunt et un accroissement du stock de biens à la vente. En définitif le marché devrait terminer l’année avec une stabilisation des prix, voire une légère augmentation de l’ordre de 1 à 3%.

En conclusion, le réseau envisage une baisse importante du nombre de transactions en 2012, de l’ordre de 10%. Il prédit aussi une baisse des prix, cumulée sur l’année, à hauteur de 7%. Enfin, l’augmentation de l’offre associée à une diminution de la demande mettra les acquéreurs en meilleure posture pour négocier.

Ainsi, à la question « qui détiendra les clés de l’immobilier en 2012 ? », Laforêt répond qu’il s’agit clairement de l’acquéreur sur le premier semestre et très certainement sur le second, sous réserve que de nouvelles mesures fiscales ne viennent pas accentuer la demande. Les banques seront aussi un acteur important de la régulation du marché, selon la politique de taux qu’elles mettront en place au cours de l’année.

Benjamin Thomas, Toute la Franchise ©


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