Face aux conditions de travail de plus en plus difficiles et aux restrictions budgétaires constantes, de nombreux éducateurs spécialisés envisagent une reconversion professionnelle, pour changer de vie. Comment faire ? Quels métiers exercer après une reconversion d’éducateur spécialisé ? Eléments de réponse.
En 2014, selon un sondage IFOP, 68% des enseignants du secondaires avaient déjà envisagé de changer de métier et selon un sondage réalisé par l’UNSA en 2013, 24% souhaitaient effectivement une reconversion professionnelle. Mais quelle reconversion pour les enseignants ? Comment faire ? Eléments de réponse.
Pendant longtemps, démissionner signifiait renoncer à plusieurs mois d’indemnisation chômage, ce qui limitait les possibilités de reconversion professionnelle. Cependant, depuis novembre 2019, il est désormais possible de bénéficier d’une allocation de retour à l’emploi, même après une démission, justement si cette démission a été motivée par une démarche de reconversion. Explications.
Face aux conditions de travail difficiles et qui se dégradent au fil des années, de nombreux aides-soignants et aides-soignantes, du secteur privé comme du public, souhaitent changer de vie. Leurs nombreuses compétences et savoir-être sont parfaitement valorisables sur le marché du travail. Voici quelques exemples de métiers pour une reconversion aide-soignante.
La crise du coronavirus a particulièrement touché les jeunes : les chômeurs de moins de 25 ans sont ainsi désormais 30% de plus qu’en février. Aussi, alors que 600.000 à 700.000 jeunes devraient arriver sur un marché du travail moribond en septembre, le Président de la République Emmanuel Macron a annoncé, le 14 juillet dernier que « les jeunes sont la priorité de [la] relance », dont le financement est annoncé à 100 milliards d’euros.
Le temps où les concepts développés en franchise ratissaient large pour multiplier les sources de revenus est révolu. Désormais, les nouveaux concepts se spécialisent, voire s'hyperspécialisent pour devenir des leaders avec une belle marge d'avance.
Axel, 19 ans, se demande comment ouvrir une boutique de goodies gamer. « Passionné de jeux vidéo, j’ai pour projet d’ouvrir une boutique de goodies gamer mais n’ai aucune expérience commerciale et ne sais pas comment créer mon entreprise » rapporte le jeune homme dans une question soumise au Pôle des Experts de Toute la Franchise.
Les moins de 30 ans d'aujourd'hui sont-ils prêts à choisir la franchise pour se lancer ? La réponse est oui, mais si l’ambition créatrice n’est plus à démontrer, le ticket d’entrée plus élevé en franchise les fait encore réfléchir !
Si en franchise, la moyenne d'âge des créateurs dépasse le plus souvent la quarantaine, les jeunes profils ne sont pour autant en rien laissés pour compte ! 13% des franchisés ont ainsi entre 18 et 34 ans en 2014.
Selon le baromètre Moovjee/OpinionWay/ CIC / APCE, le vivier de jeunes créateurs dans les rangs des étudiants et lycéens en filière professionnelle frôle le million d'individus. Comment ces jeunes perçoivent la création ? Comme une opportunité non sans chausse-trappes !
Les jeunes de moins de 30 ans rêvent de devenir patrons ! Et du rêve à la réalité il n'y a souvent qu'un pas : En 10 ans, le nombre de créations par les jeunes a quasiment triplé ! Qui sont les jeunes entrepreneurs qui ont déjà sauté le pas et qui sont ceux qui en rêvent ? Quelles perceptions ont-ils de la création d'entreprises ? Quelques réponses dans ce dossier.
Selon les chiffres de l'APCE, aujourd'hui 25 % des créateurs d'entreprise sont âgés de moins de 30 ans. Quel est le profil de ces jeunes ? Quel type d'entreprise créent-ils ? Dans quel secteur d'activité ? Quels sont leurs niveaux d'investissement ?
Jean-Claude Grégoire, fondateur et dirigeant du réseau de consultants en pilotage d’entreprise OSEYS partage son analyse sur la crise actuelle engendrée par la pandémie de coronavirus et son impact potentiel sur les entreprises.
Réduire la dépendance industrielle française, réduire l’impact carbone de la consommation, sauvegarder et créer de l’emploi : la crise du coronavirus a révélé au grand jour la prégnance des enjeux du made in France. Des enjeux nombreux, tant pour les politiques, les citoyens ou l’environnement que pour les entreprises elles-mêmes. Où en est le made in France après la crise du covid-19 ? Eléments de réponse.
Maître Gilles Menguy, fondateur du cabinet GM Avocats, spécialisé dans le droit de la franchise, revient sur la naissance du CEPA, le Centre d'Ecoute, de Prévention et d'Accompagnement pour les entreprises du commerce en réseau touchées par les conséquences de la crise due au Covid-19. Créée à l'initiative de l'Iref, la fédération des réseaux européens de partenariat et de franchise, la structure devrait être opérationnelle dès la fin du mois.
Manque de reconnaissance, conditions de travail dégradées, manques de moyens, rémunérations peu attractives, etc. : malgré la forte utilité sociale du métier d’infirmière, chaque année, de plus en plus d’IDE décident de changer de métier ou, à tout le moins, s’interrogent sur leur avenir, se demandent quel métier elles peuvent exercer après avoir été IDE.
La déferlante des produits « made in France » et de la communication qui y est liée n’a pas échappé aux consommateurs français. Cette déferlante n’est pas sans questionnements pour autant. Quelles sont les stratégies des entreprises pour décliner cette tendance dans leurs produits ? Cette appellation est-elle véritablement un gage de qualité ? Comment les consommateurs peuvent-ils s’y retrouver entre prix élevé et produits élaborés en France ? Quelques éléments de réponses dans cet article.
Dans un monde soumis au dictat de la rentabilité et de la mondialisation, le strictement français ne serait-il pas un leurre ? La est toute la question. Et les consommateurs ne sont pas dupes. Ce qui est étiqueté Made in France n'est pas forcément fait en France, tout le monde le sait bien. En témoignent les célèbres jouets en bois du Jura fabriqués massivement en dehors de nos frontières, mais aussi, et c'est là un comble, les produits textiles Armor Lux, dont la célèbre marinière si chère au cœur de Montebourg, fabriqués en Tunisie. Dans le secteur automobile aussi, techniquement, les Toyota fabriquées à Onnaing seraient plus françaises que certaines Renault et Peugeot... Que reste-t-il dès lors de vraiment français dans tout cela ? Pas grand chose, ou plutôt de grands doutes...
Pour mieux connaître les conséquences de la crise actuelle sur les réseaux et l’impact sur les candidats à la franchise, Toute la Franchise lance avec Infopro Digital Etudes le premier Observatoire des impacts de la crise sanitaire sur le développement des candidats à la franchise.
Le confinement et le quasi-arrêt de l’économie a de graves conséquences pour de nombreux réseaux de franchise et pour eurs franchisés. Face à la crise, les témoignages de franchisés recueillis par Toute la Franchise mettent en avant l’importance de la solidarité d’un réseau pour pouvoir regarder l’avenir avec optimisme.
Expert-comptable au sein du cabinet Fiducial, mais aussi membre du Collège des Experts de la Fédération française de la franchise, Olga Romulus évoque les effets à plus ou moins long terme de la crise sanitaire liée au coronavirus Covid-19, et la manière dont les entreprises avec lesquelles elle est en contact chaque jour réagissent face aux événements.
C’était décidé, en 2020, vous deviez devenir votre propre patron. Votre projet était peut-être même déjà très bien avancé. Mais patatras ! Le coronavirus a tout remis en cause. La crise actuelle, aussi grave soit-elle ne doit pourtant pas vous faire perdre de vue votre projet. Celui-ci peut même s’en trouver renforcé. Découvrez cinq bonnes raisons de poursuivre votre projet en franchise.
Alors que la France tente tant bien que mal de s’adapter aux conséquences de l’épidémie de coronavirus, les actions solidaires se multiplient à tous les niveaux. Individuelles ou collectives, les initiatives pour atténuer les effets du confinement et soutenir les professionnels de santé se développent, notamment au sein des réseaux de franchise.
Pour limiter la propagation du Coronavirus, le gouvernement a annoncé ces derniers jours, une série de mesures visant à restreindre les déplacements des Français, et la fermeture, jusqu’au 15 avril, de certains établissements recevant du public. Pour faire face à ces différentes contraintes, plusieurs réseaux de franchise ont mis en place des règles spécifiques afin de poursuivre leurs activités tout en respectant les normes de sécurité.
Si la situation actuelle est, certes, différente, les réseaux de franchise peuvent s’appuyer sur un certain nombre d’enseignements de la crise de 2008 pour traverser la crise actuelle engendrée par le coronavirus Covid-19 et minimiser ses inévitables répercussions dans les semaines et mois à venir.
Selon un sondage Opinion Way réalisé pour Bpifrance et France Active, les femmes sont de plus en plus attirées par la création d’entreprise. Plus de 60 % d’entre-elles estiment qu’il est plus motivant de créer sa propre entreprise que d’être salariée. Et bonne nouvelle : les principaux freins à la création révélés par le sondage peuvent être levés en optant pour une création en franchise.
Une forte rentabilité rapide, un marché dynamique, des rémunérations élevées : découvrez une infographie statistique sur la restauration assise en franchise.