« Infirmière et paysagiste, nous avons décidé d’ouvrir un restaurant de sushis », Quentin et Océane Caro (Su and Shi Montpellier)

Quel a été votre parcours professionnel avant de devenir franchisés Su and Shi ?

Océane était infirmière au bloc et moi, paysagiste ! Au départ, l’idée d’ouvrir un restaurant ensemble était comme une plaisanterie et puis, très vite, nous nous sommes mis à y penser sérieusement ! Il faut dire que nous avions toujours eu cette envie de monter une entreprise familiale, de créer quelque chose de solide. Alors on a finalement décidé de foncer tête baissée et de faire ce grand saut dans l’inconnu tous les deux.

Sauter dans l’inconnu quand on est accompagnés d’une franchise est-il plus rassurant que si vous aviez dû le faire seuls ?

Oui, évidemment ! Nous savions avant même le démarrage que le concept fonctionnait bien puisqu’il avait déjà fait ses preuves. Nous n’avions donc pas de réelle inquiétude à ce sujet. Nous avons également été bien entourés et bien formés. Après, nous avons aussi bénéficié d’un très fort soutien de la part de notre famille et de nos amis. C’est très important de pouvoir puiser cette force et ce soutien dans son entourage.

Vous êtes frère et sœur. Est-ce que c’est compliqué de travailler ensemble, au quotidien ?

C’est au contraire une belle continuité de notre relation ! Nous sommes complémentaires et il y a eu une répartition naturelle des tâches en fonction de cette complémentarité. Au final, ça roule tout seul entre nous au restaurant. Il n’y a pas de reproche par exemple, ce sont des remarques constructives parce qu’on sait tous les deux que nous faisons notre maximum pour y arriver !

Nous avons ce plaisir commun de régaler les gens, de leur faire plaisir en leur offrant des recettes qui différent de ce qu’ils connaissent déjà.

Comment parvenez-vous à faire tourner un restaurant de sushis sans être issus de la restauration ?

C’est tout le propre de Su and Shi City ! Le réseau est ouvert à tous ! Nous avons reçu une formation importante au sein d’un établissement du groupe. Ça nous a permis de tout apprendre. Et c’est vraiment impressionnant de voir le sérieux et la concentration avec lesquels tout le monde s’est investi pour nous former. Ils ont vraiment la fibre pour transmettre leur savoir !

>> Lire aussi : « Grâce à l’accompagnement du réseau et à son concept abouti, nous avons pu devenir chefs d’entreprise très jeunes ! », Aymeric Lazizi et Anthony Recio (Su and Shi city Marseille)

Etre en pleine reconversion professionnelle n’a donc pas été un frein pour vous ?

Pas du tout ! Je pense qu’il fait simplement être volontaire et intéressé. Si on est avide d’apprendre, il n’y a pas de raison de ne pas réussir à devenir franchisé Su and Shi City !

Quel accueil avez-vous reçu des Montpelliérains avec l’ouverture de votre restaurant ?

Il y a déjà deux restaurants de sushis près de notre établissement, donc les clients sont très vite venus par curiosité. Ils voulaient comparer nos produits avec ceux qu’ils connaissaient déjà… et apparemment, la comparaison a été vite faite !

Nous nous démarquons clairement par la qualité de nos produits, par les prix et par nos recettes qui osent beaucoup de choses. Elles sont innovantes et viennent casser les codes de la restauration de sushis, avec l’intégration de produits comme le cheddar dans nos recettes. Il y a aussi une grosse part de produits végétariens. Tout est fait dans l’idée d’être au plus proche des attentes des consommateurs. Et ce positionnement plait beaucoup, ce qui fait que nous sommes déjà très satisfaits de nos résultats après un mois d’ouverture !

>> Lire aussi : « Nous sommes là pour accompagner nos franchisés dans leur réussite, qui ne manquera pas d’arriver puisque le sushi reste un produit pérenne et bien installé ! », Romain Schneider (Su and Shi City)

Avez-vous déjà d’autres projets à moyen terme au sein du réseau ?

Nous avons été élevés dans l’idée qu’il faut voir loin pour réussir et que plus on se met des objectifs élevés plus on a de chances d’atteindre certains d’entre eux. Donc, forcément, nous avons des fortes ambitions !

Clairement, nous aimerions ouvrir deux voire trois établissements d’ici quelques années ! Et nous savons que c’est tout à fait possible.

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