« J’ai quitté la podologie pour ouvrir mon My Beers à Épinal », Sebastien Midon, franchisé My Beers

Sebastien Midon, ancien podologue devenu franchisé My Beers à Épinal, revient sur son changement radical de carrière et explique pourquoi il a choisi d’ouvrir son bar à bières dans sa ville d’origine

Publié le 12/09/2025 , Mis à jour le 12/09/2025, Temps de lecture: 2 min

« J’ai quitté la podologie pour ouvrir mon My Beers à Épinal », Sebastien Midon, franchisé My Beers

Comment est née l’idée d’ouvrir un My Beers à Épinal ?

Une belle histoire ! Originaire d’Epinal, j’ai fait de études de podologie à paris et exercé en tant que podologue dans la Vallée du Rhône. J’étais à cheval entre Annonay, Tournon, Valence, donc j’ai pas mal vadrouillé dans la région. Je me suis associé en tant que podologue, mais sur le long terme je ne savais que ça n’allait pas le faire. J’ai stoppé le métier de podologue et j’ai fais un bilan de compétence pour savoir davantage ce que je voulais faire dans le futur. Ouvrir un My Beers ne s’est pas présenté tout de suite. L’histoire est que j’ai découvert le concept My Beers dans la région. A chaque fois que je retournais voir ma famille vers Epinal, je me faisais la reflexion de « Il n’y a pas de concept similaire sur Epinal ». Il manquait un concept tel que My Beers dans une ville comme celle-ci : un concept de cave et bar à bière certes, mais surtout des grands espaces, des horaires de fermetures afterwork la semaine, et plus festives le week-end. Et puis, il y a eu le le confinement et j’étais chez mes parents. Un soir je me brossais les dents et je me suis dis « mais oui, il faut que tu ouvres un My Beers ici ! ». C’est comme ça que j’ai décidé d’ouvrir un My Beers vers Epinal : ça me correspondait pour le côté commerçant, où cela bouge, où l’emploi du temps est sans routine, avec de l’autonomie..

Pourquoi avoir choisi la franchise My Beers pour ce projet ?

Je voulais être accompagné car il s’agissait d’un virage professionnel à 180°. Bénéficier de l’expérience d’un réseau solide m’a permis d’éviter les erreurs qu’on peut commettre en indépendant. La franchise apporte une vraie sécurité : elle rassure aussi les banques, qui savent qu’il y a un concept éprouvé, un suivi et un accompagnement derrière le projet. C’est un gain de confiance, autant personnel que professionnel.

Quel regard portez-vous aujourd’hui sur votre parcours ?

Je tire une grande satisfaction de mon parcours ! Ouvrir à Épinal était une initiative innovante et j’ai le sentiment d’avoir trouvé ma place. Mon établissement est désormais identifié comme un bar de référence dans la ville, ce qui confirme que ce choix était le bon.

MY BEERS

MY BEERS

Concept hybride de cave et bar à bière, axé sur l’évènementiel et l’afterwork

Sandrine Cazan, writer

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A propos de MY BEERS

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Concept hybride de cave et bar à bière, axé sur l’évènementiel et l’afterwork

  • 130 000 €
    Apport personnel
  • 1 200 000 €
    CA potentiel après 2 ans
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