"L’objectif, c’était de lancer la franchise et de ne pas accoucher avant", Binta franchisée Klesis Junior
Ingénieure dans la tech pendant plus de quinze ans, Binta Badji a choisi de se lancer dans l’entrepreneuriat en rejoignant le réseau Klesis Junior en 2022. Son parcours illustre la force de la franchise pour réussir une reconversion en alliant sens, accompagnement et indépendance.
Publié le 16/09/2025 , Temps de lecture: 2 min
Du numérique à l’éducation : un déclic personnel
Quand Binta devient maman, une évidence s’impose : elle veut contribuer à l’éducation des enfants et transmettre des valeurs de bienveillance et de confiance. Elle souhaitait avant tout “apporter une éducation qui impacte la relève, nos enfants et les enfants qui nous entourent”. Après quinze ans dans la tech, elle décide donc de franchir le pas et de donner un nouveau sens à sa carrière.
Le choix du réseau Klesis Junior : des valeurs partagées
Son chemin croise celui de Milly Antwi, fondatrice de Klesis Junior, dont l’authenticité et la passion résonnent immédiatement avec ses convictions. «Sa volonté de révolutionner l’éducation correspondait à mes valeurs de transmission et de bienveillance», explique Binta.
La franchise lui offre le cadre méthodologique et l’accompagnement nécessaires, tout en lui permettant de rester maître de son projet : « On est gestionnaire de notre propre business… tout en ayant le backup du franchiseur qui nous accompagne.»
Un lancement pas comme les autres
Son défi le plus marquant ? Démarrer son activité alors qu’elle était enceinte de neuf mois. «L’objectif, c’était de lancer la franchise et de ne pas accoucher avant. J’ai accouché au bout du deuxième atelier, donc c’était déjà lancé». Une preuve que la détermination et le soutien du réseau peuvent rendre possibles les projets les plus ambitieux.
Le quotidien d’une franchisée : passion et responsabilités
Entre ateliers avec les enfants, management de son équipe et accompagnement des familles, Binta vit pleinement son rôle de franchisée. Mais elle insiste aussi sur la double casquette à assumer :
Il faut garder en tête qu’on est chef d’entreprise, ne pas se laisser emporter uniquement par la passion et penser aussi à la gestion.
Un conseil aux futurs franchisés
«Il ne faut pas trop réfléchir. On apprend en avançant. Si on mentalise trop, on ne passe pas à l’action, et c’est dans l’action qu’on découvre et qu’on ajuste.» Forte de cette expérience, Binta envisage déjà de développer de nouvelles franchises et rêve d’exporter le modèle Klesis Junior à l’international.
L’expérience de Binta rappelle qu’entreprendre en franchise, c’est conjuguer sens, autonomie et accompagnement.