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COTE ACHETEUR

Olivier Archambeaud

Franchisé

Enseigne COTE ACHETEUR

Les chiffres de ce réseau :

  • - Date de création : 2001
  • - Date de lancement de l'enseigne : 2007
  • - Nombre d’implantations : 14
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Interview de Olivier Archambeaud

Publié le
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INTEGRATION 

Toute-la-franchise.com : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots
Olivier Archambeaud : Je m’appelle Olivier Archambeaud, et j’ai 50 ans. Titulaire d’un diplôme de grande école de commerce (Bac+5) reconnu par l’état, j’ai travaillé durant vingt cinq ans dans la grande distribution. Après avoir fait le tour de France en tant que Directeur d’Hypermarché, j’ai eu l’opportunité de créer des hypermarchés à Taiwan et en Chine, où je suis resté dix ans.

TLF : Comment êtes vous entré en contact avec votre enseigne ?
O.A. : De retour en France et cherchant un autre domaine d’activité, j’ai beaucoup surfé sur le net pour y trouver mon métier idéal. Sur les sites de franchises, j’ai sélectionné le concept de Coté Acheteur et envoyé ma candidature à Catherine Catenacci.

TLF : Comment s’est déroulée la période entre votre premier contact et vos débuts ? Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ?
O.A. : Mon premier contact avec Catherine a été téléphonique. C’était au début du mois d’Août 2006. Il s’agissait de vérifier avec la préfecture que mon diplôme me permettait d’exercer cette activité. Aussitôt dit, aussitôt fait, trois semaines après, j’avais ma réponse positive écrite de la préfecture : les portes m’étaient ouvertes pour démarrer mon nouveau projet. Ensuite se succèdent un premier entretien à Paris, puis la signature du DIP, enfin le contrat. Parallèlement, il faut entamer les procédures de création de son entreprise : étant chômeur, j’ai d’abord déposé un dossier d’exonération de charges auprès de la Direction du Travail puis une fois l’accord obtenu, j’ai pu déposer les statuts début décembre pour obtenir mon Kbis à Noël.
Enfin, début janvier, j’entamai les dernières démarches administratives auprès de la préfecture pour obtenir ma carte professionnelle, en passant par le soutien des garanties et des assurances en responsabilité civile auprès de la FNAIM. Administrativement, dans mon cas il aura donc fallu compter six mois avant d’être opérationnel. L’apport du franchiseur est essentiel car il vous donne le fruit de son expérience et la ligne de conduite à tenir, ce qui est indispensable pour ne pas se perdre dans toutes les démarches.

TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
O.A. :
Mon franchiseur a totalement respecté ses engagements en terme de soutien, de formation, de suivi et de mise en place et cela, avec une gentillesse et une approche positive et réaliste très encourageante.

TLF : Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ? Si oui, pourquoi avoir choisi cette enseigne ?
O.A. : J’ai consulté les autres enseignes, sur leurs sites et sur le terrain. J’ai choisi Coté Acheteur pour le côté pionnier que j’aime bien, parce que le concept était clair et bien exposé ; ensuite, c’est une rencontre avec une équipe.

TLF : Quels sont les services que vous apporte votre franchiseur au démarrage de votre activité ?
O.A. :
Une franchise, c’est d’abord un concept. Donc le premier service est de proposer un concept gagnant. Celui de Coté Acheteur est particulièrement bien pensé avec le soutien de professionnels de la franchise qui ont une éthique. Ensuite, la formation ; c’est évidemment primordial pour s’approprier un métier et des outils qui sont tout nouveau pour moi. Enfin, l’aide à la mise en place, pour s’organiser, et pour mettre la théorie en application.

 TLF : Etiez vous de la « profession » avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
O.A. :
Professionnel de la grande distribution, le métier de l’immobilier est tout nouveau pour moi. Je voulais être mon propre patron avec la sécurité d’un modèle efficient grâce à la franchise et dans un climat de bonne humeur constructive. Depuis longtemps, l’environnement de l’immobilier attire mon attention et je suis aujourd’hui très confiant dans l’évolution du tournant de ma carrière.


ACTIVITE :

TLF : Avez-vous besoin de votre franchiseur dans le cadre de votre activité ? Répond-il à votre attente ?
O.A. : Bien sûr, j’ai recours à mon franchiseur pour me lancer. Il n’hésite pas à se déplacer lorsque cela est nécessaire pour vivre avec moi toutes les étapes de mon implantation. De plus, chacune de mes questions a toujours reçu sa réponse.

TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ?
O.A. : Nous commençons le réseau en Province, aussi avons-nous eu une formation commune avec ma collègue de Bordeaux, et le courant a tout de suite été positif.

TLF : L’esprit « réseau » est-il réellement effectif ?
O.A. : L’esprit réseau c’est la volonté du créateur et ensuite l’adhésion des membres a un état d’esprit, un comportement avec des valeurs de respect des règles, de confiance dans les autres membres. Je pense que tout cela est présent aujourd’hui chez Coté Acheteur. Il nous appartiendra à tous d’accueillir les nouveaux membres dans cet esprit.

TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?
O.A. : Orientée sur le coté basique et pratique, la formation que j’ai reçue chez Coté Acheteur m’a permis en quelques semaines de prendre en main les rennes de mon entreprise et de m’investir sereinement face à ce monde nouveau. Comme partout, il ne s’agit évidemment pas d’attendre que tout tombe tout cru mais le résultat est à la hauteur de l’investissement et de l’implication de chacun.

TLF : En termes de Chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
O.A. : Nous en sommes au début de la première année, il est donc trop tôt pour un bilan chiffré mais je suis très confiant.

TLF : Quelles actions menez vous pour développer votre C.A et vos clients ?
O.A. : Il faut se faire connaître ; Le métier est nouveau, il faut l’expliquer. Nous avons construit un plan de communication qui passe par des actions de publicité, des actions de relations publiques et des actions de référencement sur internet.

TLF : Avec le recul , le concept est il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
O.A. : Le concept fonctionne depuis six ans avec succès sur Paris, et un pilote a été développé en province. L’accueil de tous les intervenants est toujours positif. Les clients ciblés attendent ce service .C’est un vrai plus, pour une clientèle exigeante.
Notre service s’adresse à des couples « double income », à des cadres mutés dans une région qu’ils ne connaissent pas, à des expatriés qui veulent prévoir leur retour ou créer un pied-à-terre en France pour garder des racines aux enfants, à des étrangers qui veulent investir, à des personnes à mobilité réduite. Le point commun à tous c’est qu’ils ne peuvent se déplacer eux-mêmes que ce soit à cause du temps, de l’éloignement, ou d’une incapacité physique. Les clients existent, il faut savoir les capter.

TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
O.A. : Tout à fait, c’est pourquoi je suis très confiant dans l’avenir. Coté Acheteur est une société sérieuse qui place le client au centre de ses préoccupations et qui développe un service de qualité avec une étique professionnelle. Je suis donc très fier de développer mon entreprise dans ce climat de confiance face au client ;

TLF : Auriez vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
O.A. :
Seul, j’aurai galéré longtemps et je n’aurai pas pu décoller aussi vite. Pour moi, je voulais créer mon entreprise, mais dés le départ je savais que le seul moyen d’être efficace et sur était de m’adosser à des compétences existentes sur un métier ou j’ai tout à apprendre. Réduire le risque et maximiser la rentabilité sont les critères de choix pour la franchise.

TLF : Si c’était à refaire, resignerez-vous avec votre franchiseur ?
O.A. :
Bien sûr, je resigne et je serai même probablement amené à le faire dans le cadre de mon développement géographique.

TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
O.A. : Je suis sûr du développement de notre métier. Il y a des places à prendre, si l’on veut s’investir, que l’on est à la fois entrepreneur et à la fois capable de travailler en équipe, et que l’on aime le contact. Coté Acheteur est conçu pour le long terme sur des bases sérieuses et professionnelles, et saura apporter ce renfort de réseau efficace à ceux qui aiment les choses bien faites.

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