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Félicia Soulier

MIDAS

Félicia Soulier

Epouse d'un franchisé Midas

Franchise MIDAS

Les chiffres de ce réseau :

  • - Date de création : 1976
  • - Date de lancement de la franchise : 1979
  • - Nombre d’implantations : 364
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Interview de Félicia Soulier

Publié le
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Le mari de Félicia Soulier est devenu franchisé du groupe Midas à la fin de l’année 2011. Un groupe qu’elle connaît bien puisqu’elle tient elle-même une station service couplée à un garage Midas depuis plusieurs années. Pour Toute la Franchise, elle revient sur les particularités de ce réseau et apporte son témoignage sur la création d’entreprise en couple.

Toute la Franchise : Votre parcours est un peu particulier. Pourriez-vous nous expliquer comment vous avez intégré le réseau Midas ?
Félicia Soulier :
Au départ, je travaillais pour un groupe pétrolier au sein duquel j’ai pas mal évolué, ce qui nous a amenés, mon mari et moi, à bouger dans différents coins de France. Depuis 2008, je suis locataire-gérante d’une station service à Dijon, qui est équipée d’un garage Midas dont s’occupe mon mari. Nous avons donc appris à connaître le réseau Midas et avons découvert que nous ne voulions pas le quitter, ce qui a poussé mon époux à postuler pour ouvrir lui-même une franchise !

TLF : Pourquoi une telle volonté de rester avec Midas ?
F.S. :
Nous avions pu mesurer l’importance de l’accompagnement du réseau. Le chef de secteur, par exemple, est beaucoup derrière nous, ce qui permet de ne jamais être seuls. La formation est complète et puis, surtout, il y a un souci d’évolution dans la durée. Midas ne s’arrête jamais et tient toujours à innover. Chaque année, on nous annonce une nouveauté pour l’année suivante et c’est vraiment appréciable de savoir que nous pourrons apporter une réponse pertinente aux clients !

TLF : Tous ces points vous ont donc convaincus de créer un centre franchisé avec Midas. Auriez-vous pu faire cette démarche tout seuls ?
F.S. :
Je ne pense pas que nous aurions eu la volonté de nous lancer seuls. Nous n’aurions pas osé. Là, nous savions exactement ce qui allait se passer avec Midas. De plus, nous pouvons bénéficier de toute la force du groupe, qui nous permet par exemple de bénéficier de négociations très importantes. Dans le réseau, nous pouvons atteindre 60 à 65% de marge, ce qui est largement au-dessus de ce qu’on peut espérer quand on est seuls.

TLF : Vous qui êtes femme de franchisée, quel rôle pensez-vous que joue le conjoint dans la création d’une entreprise ?
F.S. :
Son soutien est indispensable ! Quand on est deux dans cette aventure, chacun peut remonter le moral de l’autre quand il y a une petite baisse d’énergie. Si l’un baisse les bras, l’autre les relève et relance la machine. C’est vraiment primordial que les deux soient sur la même longueur d’onde. Après, question travail, c’est bien d’être assez complémentaires. Par exemple, mon mari s’est occupé de toute la partie négociation, tandis que j’ai plus géré le bancaire. Aujourd’hui, je suis plutôt du côté administratif, avec la gestion, le management, le traitement des litiges. Chacun a sa partie plus ou moins définie et c’est ce qui nous permet d’avancer !

TLF : Le réseau Midas reste, je suppose, majoritairement masculin. Est-il difficile pour une femme d’y trouver sa place ?
F.S. :
Pas du tout ! De plus en plus de femmes rejoignent d’ailleurs l’enseigne et il n’y a pas la moindre différence de traitement. S’il y a des remarques machistes, elles viennent plus de l’extérieur. Mais au sein du réseau, nous sommes vraiment à l’aise !

TLF : Un peu plus d’un an après la création de votre centre, avez-vous atteint vos objectifs ?
F.S. :
Pas tout à fait encore. Quand nous avons ouvert, en novembre 2011, la conjoncture était loin d’être au top et nous étions, en plus, en pleine période de Noël. Les gens pensaient plus à leurs cadeaux, et c’est normal !, qu’à leur voiture. Du coup, nous n’en sommes encore qu’à un peu plus de moitié de ce que nous avions prévu. Mais nous faisons tout pour que ça aille le plus rapidement possible. Nous avons des plans de communication bien établis, sur lesquels le réseau nous apporte son aide, et nous espérons que les chiffres vont vite augmenter.

TLF : Quels sont vos perspectives pour l’avenir ?
F.S. :
Nous voulons avant tout faire fonctionner ce centre-là. Après, nous verrons ce que nous envisagerons !

TLF : Si vous deviez donner un conseil à un couple qui souhaite se lancer dans l’aventure aux côtés de Midas, quel serait-il ?
F.S. :
De rester bien soudés ! Si on n’est pas soudés, les choses partent vite en vrille pour parler un peu simplement. Chacun doit soutenir l’autre et les idées doivent être partagées pour que tout fonctionne. Après, comme pour tout projet, il est important de bien vérifier tous les aspects présentés pour être certain que l’affaire est viable.

Sandrine Cazan, Toute la Franchise ©

Nos interviews sont la propriété de Toute la Franchise.com et sont destinées à la diffusion exclusive sur les sites du Groupe Toute la Franchise.com

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