logo-webcdlogo-mobilelogo-infoprologo-desktoplogo-desktop.originallogo-desktop.bakicon-theme-testicon-social-whatsappicon-social-twittericon-social-shareicon-social-linkedinicon-social-facebookicon-searchicon-search--activeIcon/playICON/24/pinicon-my-accounticon-metas-turnovericon-metas-ticketicon-metas-moneyicon-metas-investmenticon-homeicon-ctrl-chevron-righticon-ctrl-chevron-right-bakicon-ctrl-chevron-lefticon-ctrl-arrow-righticon-contributions-trainingicon-contributions-funding-assistanceicon-contributions-franchiseicon-checkicon-carticon-arrow-right-thinicon-arrow-linkicon-alerticon-action-close

Tendance 2016 : l'accès aux concepts se démocratise

Près de 50% des franchisés démarrent avec moins de 30.000€

Publié le

La crise économique de ces dernières années a largement contribué à faire évoluer les concepts. Mais par-delà la crise, le mouvement vers une simplification des concepts et l'allègement des investissements est en marche pour toujours plus de proximité.

Franchises tendanceSi les consommateurs changent et que les concepts doivent suivre le mouvement, parallèlement le contexte économique évolue et la demande des créateurs d'entreprise aussi ! Échaudés par le chômage en augmentation et les vagues de licenciement, de nombreux Français confrontés aux effets de la crise ont décidé de saisir l'opportunité pour sauter le pas de l'entrepreneuriat. Cette décision a été d'autant plus facile que la donne a changé dans le même temps avec la mise en route de l'auto-entreprise. Les mentalités ont ainsi rapidement pu évoluer : l'initiative a été encouragée. Le fait de pouvoir tester une activité afin de créer son propre emploi sans prendre le risque de payer à perte des charges a fait son chemin. Mais se mettre à son compte avec juste une idée montre rapidement ses limites en termes de rentabilité, de connaissance du marché, d'organisation quotidienne. Sur le nombre d'auto-entrepreneurs qui se sont lancés ces dernières années, beaucoup n'ont jamais gagné de quoi vivre ! Un coup d'épée dans l'eau ? Oui et non ! En effet, ces échecs ont été formateurs. Ils ont fait réfléchir ceux qui les ont vécu et les autres. Beaucoup de ceux-là ont pris goût à l'entrepreneuriat. Et pour assurer leurs futurs projets, ils se sont tournés vers des modèles qui marchent, comme la franchise.

Une évolution du modèle ?

Selon les chiffres du baromètre « L’Indicateur de la Franchise Caisse d’Epargne 2016 », la forte tendance à la baisse du montant des fonds propres investis par les porteurs de projet lors de la création de leur franchise se poursuit. Ainsi, près de la moitié des franchisés (49,8 % en 2016 vs 27 % en 2013) déclarent apporter moins de 30.000€ d’apport personnel pour démarrer leur activité. La contrepartie de cette baisse massive des fonds propres nécessaires au démarrage ? Un chiffre d'affaires moindre : 33% des répondants déclarent ainsi réaliser un CA annuel inférieur à 100.000€ en 2016, vs 21% en 2013. Ces quelques chiffres démontrent clairement que le modèle de la franchise est en train d'évoluer rapidement vers des activités certes rentables (c'est le propre du modèle!), mais moins ambitieuses en termes de rentrées. Autrement dit, le modèle est plus dans la lignée de la création de son propre emploi plutôt que de la création d'une entreprise classique avec des salariés, des frais d'installation, de locaux, etc. Ceci implique que le candidat à la franchise travaille plus souvent seul, sur un territoire plus restreint et plutôt dans les services (B2C et B2B). Les réseaux dans cette optique multiplient les intégrations pour affiner le maillage. Les réseaux de mandataires immobiliers illustrent parfaitement cette tendance, mais ils ne sont pas les seuls !

Des nouvelles formes de développement

Des locaux plus petits ou pas de local du tout, des charges de personnel moindres, des stocks plus limités avec un accès via internet à une gamme plus étendue, des tâches administratives mutualisées, chaque point de vente est repensé pour coûter moins cher à l'installation. Pour réduire les coûts, les réseaux développent ainsi de plus en plus souvent des formules allégées comme la micro-franchise, les corners, le courtage, le mandat, la location gérance, etc. Toutes ces formules ne sont pas en elles-mêmes des nouveautés. Ce qui est nouveau, en revanche, c'est que ces formules concernent de plus en plus de secteurs d'activité. Et les exemples se multiplient, comme notamment chez O2 (micro-franchise de jardinage), chez Monceau Fleurs (corner dans les Monoprix), Mikit (micro-franchise de commercialisation), Yogourtlandia (corner et unité mobile à triporteur), X'Treme Color (unité mobile de retouche de peinture auto), Inova Cuisine avec son nouveau concept Inova60, etc.

Sans oublier la forte percée des réseaux de mandataires dans l'immobilier (A la lucarne de l'immobilier, Dr House Immo, Expertimo, Idimmo, Propriétés Privées, Safti, etc.), et des réseaux de courtiers en assurance et financement (As Courtage, Crédit Conseil de France, Sagesse, Socrédit, Ace Credit, Artemis courtage, Avisofi, Empruntis, Idesia Crédits, Immofinances, In&Fi, Pressetaux, etc.)

Tout le dossier

Vous appréciez cet article? Notez-le.
Soyez le premier à noter

Trouver une franchise

Les franchises qui recrutent dans le même secteur

Découvrez quelle franchise est faite pour vous !

Recherchez une franchise par thématique

Trouvez le secteur de vos rêves !

Vous souhaitez ouvrir une entreprise en franchise dans un secteur d’activité particulier ? Découvrez toutes les thématiques des franchises.

Voir toutes les thématiques
Scroll to top