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Les premiers pas dans la franchise : 7 franchisés témoignent pour TOUTE LA FRANCHISE

Publié le
 Qu’ils aient choisi le secteur de la restauration, de la rénovation, des services à la personne ou encore de l’esthétisme, les franchisés qui s’engagent auprès d’une enseigne ont chacun leur propre façon de débuter cette nouvelle aventure. Pour illustrer le parcours qui précède la signature du contrat, 7 franchisés témoignent pour toute-la-franchise de ce qu’ils ont effectué avant de se lancer.


Benoît SELES, ACCLEANER
 
Roger CONIGLIO, BASIC SYSTEM
 
Carole CONTRINO, EFFEA

Antoine MARLAUD, HELP CONFORT
 
Gérald MET, MON SUSHI

La franchise permet de se lancer sur un chemin déblayé

« Je cherchais une façon d’acquérir une certaine assurance » confie Gilles Meynet, franchisé Clikeco dans l’Aube. « Partir sur un concept qui a déjà un modèle et qui marche change complètement la donne et permet de se lancer avec moins d’appréhension ».

C’est également ce qu’explique Antoine Marlaud, franchisé Help Confort à Auxerre : « Une entreprise, c’est loin d’être évident à mettre en place. J’avais envie de créer ma propre structure depuis longtemps et puis je suis tombé sur le concept d’Help Confort qui correspondait en tous points à ce que j’avais en tête, ce qui m’a tout de suite attiré vers le système de franchise ».

Benoît Saleles, franchisé ACcleaner en Haute-Garonne et chargé de développer le réseau en région Midi-Pyrénées, a quant à lui pu observer le décollage de l’enseigne de l’extérieur : « Je connaissais le dirigeant depuis plusieurs années, j’ai vu le concept évoluer et le succès qu’il a vite rencontré m’a donné envie de devenir mon propre patron. J’y ai vu une relance de carrière ».

Gérald Met, franchisé Mon Sushi à Lyon dit pour sa part avoir « toujours été du côté de la franchise », après avoir occupé une fonction de directeur commercial pour une enseigne franchisée. « Pour Mon Sushi, j’ai en plus le privilège d’être le tout premier ce qui me permet de participer par exemple à la création des décors ».


Un soutien incomparable

D’autres franchisés disent pour leur part avoir choisi la franchise pour le soutien apporté. Après des études dans la vente, Carole Contrino, franchisée Efféa à Vichy, s’est intéressée de très près au milieu de l’esthétisme et l’enseigne a été en mesure de lui apporter une formation complète : « faute d’avoir mené des études spécialisées, je ne connaissais pas le métier, mais j’ai pu compter sur l’appui du réseau qui m’a permis d’acquérir un savoir-faire et qui continue à me soutenir au quotidien ».

Une vision partagée par Roger Coniglio, franchisé Basic System dans les Alpes-Maritimes : « J’ai été attiré par la franchise pour toutes les activités regroupées en un seul métier, car je peux traiter des surfaces complètement différentes avec pour chaque procédé une formation spécifique, et c’est sans parler des innovations techniques de mon enseigne qui me permettent de participer à l’élargissement du marché ».

Yvon Bellec, partenaire de Revadol dans le Finistère a pour sa part vu la franchise comme un véritable salut « j’ai travaillé 18 ans en usine et j’en suis ressorti brisé physiquement comme psychologiquement car je ne me sentais pas valorisé. Revadol m’a redonné confiance en l’avenir et m’a aussi donné envie de me surpasser pour enfin m’accomplir ».

Gilles Meynet de Clikeco confie avoir été également attiré par l’esprit réseau « le fait de pouvoir partager et échanger constitue pour moi un énorme atout qui va de pair avec le soutien apporté».


Avant de se lancer…

« J’ai rencontré le franchiseur et j’ai immédiatement eu le déclic : je me suis inscrit pour le stage et c’était parti car Revadol propose des produits de qualité et j’ai tout de suite été très confiant ». Si Yvon Bellec n’a pas beaucoup tergiversé avant de s’engager, les six autres franchisés considèrent que la réflexion fait partie intégrante du processus de création d’entreprise.

Carole Contrino (Efféa) fait partie de ceux qui ont pris leur temps avant de se lancer : « j’ai mis deux ans avant de signer car j’attendais de vendre mon ancien restaurant, mais j’avais également besoin de me sentir inspirée par l’enseigne. J’ai rencontré l’équipe deux fois à Franchise Expo, ils m’ont recontactée pour que je les revoie au siège à Brignais, et c’est là que je me suis aperçue que le concept correspondait complètement à mes attentes. Mais j’avais encore besoin de m’assurer que je faisais le bon choix : c’est après cinq rencontres et un déplacement de leur part à Vichy pour étudier la ville que je me suis décidée. L’enseigne a su me rassurer par son sérieux ».

Roger Coniglio (Basic System) était pour sa part en contact avec plusieurs franchises et s’est décidé pour son enseigne après plusieurs rendez-vous avec le franchiseur durant lesquels il a pu par exemple visiter le centre de formation et plusieurs chantiers. Ses rencontres avec trois franchisés du réseau ont également été déterminantes : « j’ai pu avoir une idée précise de l’activité et de sa rentabilité, mais également de l’organisation qu’elle demandait».

Antoine Marlaud (Help Confort) évoque également l’importance d’une rencontre avec un franchisé « j’ai passé une demie journée avec un franchisé suivie d’une semaine complète sur place ce qui m’a conforté dans mon idée. Il est à mon sens primordial de s’imprégner du concept avant de prendre une quelconque décision ».

Gérald Met (Mon Sushi) a pour sa part comparé son enseigne à la concurrence « j’ai mangé dans pratiquement tous les restaurants à sushi de Lyon, le midi, le soir et le week-end pour chacun, afin de comparer la fréquentation, les différences et les retombées. J’ai aussi rencontré cinq fois le franchiseur pour affiner le chemin à faire ensemble et prendre les marques, avec entre autres une visite de l’usine ».

Gilles Meynet (Clikeco) est quant à lui allé sur le terrain « j’ai mené ma propre enquête en questionnant les professionnels du milieu. Il faut absolument s’impliquer et se faire son test soi-même en interrogeant par exemple son entourage sur ce qu’ils pensent du concept, et ne surtout pas se précipiter. Il ne faut pas non plus hésiter à frapper aux portes, à aller à la CCI ou à la Chambre des Métiers de l’Artisanat. Il est enfin à mon avis important de s’implanter dans un secteur géographique que l’on connaît afin de savoir vers quelles entreprises on peut aller et de quelle façon fonctionnent les gens ».

Benoît Saleles (ACcleaner) en a fait de même « j’ai fait ma propre étude de marché et j’ai vu que les gens préféraient changer leurs systèmes de climatisation plutôt que de les nettoyer car le concept n’était tout simplement pas identifié. Je me suis ainsi très vite aperçu que le potentiel était énorme, ne serait-ce qu’avec Airbus qui est dans mon secteur géographique. Comme je suis plutôt du genre à ne croire que ce que je vois, je me suis ensuite imposé 10 jours avec un franchisé pour effacer les doutes de ma tête et acquérir une conviction. J’ai également suivi un stage à la Chambre de Commerce et aussi à la Chambre des Métiers afin de maîtriser tous les aspects de l’activité ».


La nécessité d’être soutenu par son entourage

« Je ne l’aurais jamais fait sans l’accord de ma femme » explique Benoît Saleles (ACcleaner), tandis que Gilles Meynet (Clikeco) déclare qu’il faut « être conscient de tout ce que ce choix de vie implique, on ne se lance pas à la légère ». Car il n’y a pas que la partie économique et financière qui se prépare avant de signer : l’adhésion de l’entourage au projet du franchisé est une étape tout aussi fondamentale. « Ma femme m’a suivi à 100%, on a décidé ensemble et cela me paraît très important. Je dirais même que c’est un projet à mener à deux » confie Gérald Met (Mon Sushi).

Carole Contrino a réalisé tous ses rendez-vous avec l’équipe d’Efféa aux côtés de son mari qui a vendu son restaurant pour investir dans l’affaire de sa femme : « Dans pareille situation, c’est toute la famille qui est concernée et j’ai eu pour ma part la chance d’avoir un mari très impliqué ».

Roger Coniglio a quant à lui composé avec ses grands enfants qui envisagent aujourd’hui de venir travailler à ses côtés : « ma décision de créer mon entreprise a éveillé la curiosité de mon entourage, mes amis m’ont par exemple tout de suite encouragé à venir refaire leur garage avec un des procédés ; je me suis donc senti soutenu tout en décelant l’importance de la demande rien que dans mon réseau personnel ».

Yvon Bellec déclare pour sa part : « avoir une femme qui adhère à 100% au projet, et qui dans mon cas travaille avec moi, est un moteur formidable. Quand l’un des deux a un petit coup de mou ou est fatigué, l’autre le rebooste pour repartir de plus belle. Mon conseil à moi pour bien démarrer serait sinon de ne pas avoir d’enfants en bas âge au moment de la prise de décision car le rythme de vie se trouve vraiment chamboulé ».


Claire, journaliste TOUTE LA FRANCHISE
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