« Nous sommes les seuls dans l’intermédiation automobile à avoir deux marques, une généraliste et une haut de gamme », Maxime Beyet, fondateur Bye Buy Car

Vous vous êtes lancés en 2019. Cinq ans après votre démarrage, quel est l’état du développement de Bye Buy Car ?

Nous venons de franchir la barre des 50 points de vente ! C’était notre premier objectif, qui a été un peu retardé à cause du Covid mais ça y est, il est finalement atteint avec un maillage du territoire intéressant. Maintenant, notre prochain pallier est à cent unités d’ici 2029 et 150 à terme.

Où cherchez-vous à vous implanter ?

Partout où il y a de place ! Ca peut paraître simpliste de dire ça mais nous voulons nous installer là où nous ne sommes pas encore. Les réseaux concurrents avancent des chiffres énormes au niveau de leurs implantations pour dire qu’ils sont déjà partout. Nous, c’est le contraire, nous mettons en avant nos ouvertures effectives et affichons clairement la réalité : « Il y a encore de la place pour ouvrir des agences Bye Buy Car ! »

Soyons clair, je refuse plus de candidats que je n’en accepte, parce que j’applique une sélection rigoureuse pour mon développement. Mon objectif est d’ouvrir des agences pérennes, avec une marque qui sera encore là dans 50 ans. Les points de vente éphémères qui ne servent qu’à doper les chiffres ne m’intéressent pas.

Ce double positionnement nous offre une crédibilité supplémentaire auprès des clients et une visibilité plus importante

Ça veut dire qu’il faut un profil bien particulier pour ouvrir une agence Bye Buy Car ?

Pas nécessairement non. Les candidats n’ont pas besoin d’être issus de l’automobile par exemple puisque nous leur fournissons une formation complète. En revanche, ils ont besoin d’avoir un état d’esprit et un savoir-être de commerçant et de chef d’entreprise. Je ne vais pas m’amuser à ouvrir avec des candidats qui n’ont pas cette posture et vont fermer au bout de six mois. C’est mauvais pour eux et c’est mauvais pour nous ! Je veux que Bye Buy Car soit associée à de la réussite, pas à de l’échec ; et les licenciés d’aujourd’hui crée la marque de demain.

Et le fait de proposer différents formats joue un rôle important. Les candidats peuvent aussi bien ouvrir une concession de 400m² qu’une agence sans stock de 50 à 60 m² ou même se lancer depuis chez eux, sans local. Cette diversité de formats offre de nombreuses possibilités et nous permet de toucher un large public.

Le fait de développer deux marques, Bolides et Légendes et Bye Buy Car, vous permet-il également de toucher davantage de candidats ?

Tout à fait ! Nous sommes les seuls dans l’intermédiation automobile, à nous positionner à la fois sur du généraliste et du haut de gamme avec deux concepts différents. Et c’est une vraie force ! Cela nous offre une crédibilité supplémentaire auprès des clients et une visibilité plus importante. D’ailleurs, j’ai plusieurs licenciés qui ont choisi d’ouvrir les deux enseignes dans leur secteur pour s’adresser à tous les publics.

Vous vous apprêtez à participer à votre premier Franchise Expo Paris en 2025. Pourquoi avoir attendu pour présenter vos concepts à ce salon ?

J’avais la volonté de présenter un vrai réseau, solidement implanté avec un concept éprouvé aux visiteurs du salon. Avec 50 unités, je peux dire que je ne suis plus tout petit et j’arrive avec quelque chose de réellement abouti. Il n’était pas question pour moi de faire les choses à moitié en allant à Franchise Expo sans avoir atteint ce premier palier.

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Vous êtes séduit par le modèle de cette enseigne et sa vision de la vente de véhicules entre particuliers ? Rendez-vous sur sa fiche personnalisée et découvrez comment vous lancer avec Bye Buy Car !