« J'avais envie d’ouvrir un club de strip depuis un moment », Olivier Boullard (premier franchisé SC Club)

« J'avais envie d’ouvrir un club de strip depuis un moment »

« J'avais envie d’ouvrir un club de strip depuis un moment », indique Olivier Boullard. Il s’est donc intéressé aux établissements existants et notamment au SC Club de Nantes dont il connaissait le gérant, Laurent Roué, depuis plusieurs années. « Je suis venu voir à Nantes ce qu’il faisait et j'ai été séduit par le côté rigueur et qualitatif de son club. Et j'ai eu de la chance [car] il avait le projet de monter une franchise. » 

Pour l’entrepreneur, cette ouverture à la franchise est une réelle opportunité. Plutôt que de seulement s’inspirer du modèle de strip club développé par l’enseigne, devenir franchisé SC Club lui permet d’accéder au savoir-faire et à l’accompagnement du réseau. C’est donc avec le soutien du réseau SC Club qu’il se lance dans son projet de transformer une de ses discothèques, Le Soleil Café, en strip-club. Une première à Angers.

Un concept de gentleman’s club pour une clientèle mature

Il indique avoir été séduit par l’approche du métier défendu par l’enseigne et par l’encadrement apporté par la franchise. Pour lui, même en tant que professionnel de la nuit chevronné, la franchise a un côté rassurant. Et le concept de gentleman’s club proposé par le SC Club répond parfaitement à ce qu’il souhaite offrir à sa clientèle. 

Le SC Club s’adresse essentiellement à une clientèle mature, au-delà de la trentaine, qui a délaissé les boites de nuit classiques et cherche une nouvelle expérience pour profiter de la nuit. Sur ce marché, le SC Club se démarque par sa volonté forte de se départir de l’image sulfureuse dont souffre ce genre d’établissements en adoptant un positionnement inspiré des cabarets et bars lounge. Pour Olivier Boullard, cette approche est rassurante pour les clients et représente un réel atout. 

« Si on est un passionné, il ne faut pas hésiter »

Pour l’entrepreneur, ouvrir un club de strip-tease est un projet comme les autres si ce n’est la question du financement qui reste une des principales difficultés pour entreprendre sur le marché de la nuit. « Quand on va voir des banques pour être financé c'est un peu compliqué, témoigne-t-il. Il faut donc quand même avoir de l'apport conséquent pour pouvoir monter un club de strip. » Le réseau propose également des aides et alternatives pour accompagner les porteurs de projet sur ce volet du financement.

Malgré cela, l’entrepreneur incite quiconque a l’envie d’ouvrir un strip-club de se lancer. « Il faut foncer. La vie c'est la passion […] et je pense que si on est un passionné par ce côté danse, le côté de la nuit, etc. Il faut le faire. Il ne faut pas hésiter », conclut-il.

Envie d’en savoir plus sur le SC Club, les atouts et spécificités de son concept et l’offre d’accompagnement du réseau pour ouvrir un strip-club ? Rendez-vous sur la fiche de présentation de la franchise SC Club ⇩

Voir l’interview vidéo d’Olivier Boullard, franchisé SC Club d’Angers ⇩