« Je ne connaissais rien au métier, sans cette formation et l’accompagnement du réseau je n’aurais jamais démarré », Bertrand Delahaye (Mikit Dieppe)

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Ingénieur Arts et Métiers et papa de quatre enfants, j’ai passé la majorité de ma carrière dans l’industrie du luxe. Ceci dans différents secteurs d’activité : orfèvrerie, textile (confection) et ébénisterie.

Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?

Toujours prêt à relever des défis, j’ai pris un virage très serré dans ma carrière professionnelle mais avec la sécurité d’un réseau de franchise. J’ai consulté plusieurs franchises de différents secteurs d’activité et mon choix s’est arrêté sur la marque Mikit qui correspond à mes valeurs. De plus cette marque se situe dans le haut de gamme de la construction. Ainsi, ayant une culture qualité dans le luxe cela a pesé dans ma décision.

Pourquoi avez-vous décidé d’opérer cette reconversion professionnelle ?  

En 2008, en pleine crise, l’industrie avait perdu son âme et je ne pouvais plus m’amuser.

Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?

De toute évidence bien, sinon je ne serais pas ici à vous répondre !

La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?

Je ne connaissais rien au métier, sans cette formation et l’accompagnement du réseau je n’aurais jamais démarré. La formation reste encore et sera toujours la clé de la réussite.

Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?

Tout est évidemment perfectible mais je dis oui !

Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ? 

Nous sommes une grande famille et nos relations sont amicales et avec beaucoup d’esprit d’équipe.

En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?

Là, encore, tout est perfectible mais je dis oui.

Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ? 

Une équipe commerciale formée et qui prospecte

Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?

Cette période de crise sanitaire a démontré que les Français sont des bricoleurs puisque tous les magasins de bricolage ont explosé leur chiffre d’affaires. J’en déduis que le concept est positionné.

Cependant, il faut savoir le vendre et je pense que c’est là que nous devons nous améliorer.

L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?

Pour moi, la vraie vie est sur le terrain, avant on ne peut que s’imaginer les choses.

Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ? 

Ne voulant pas être prétentieux je dis non.

Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ? 

Oui, sans hésiter, car c’est une belle aventure

Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ? 

Croyez en vous, croyez en la marque, soyez persévérants, respectez la méthode et appliquez la loi des grands nombres !