2015 : une année exceptionnelle pour le groupe FUNECAP
Benjamin Thomas, writer
Publié le 06/01/2016 , Mis à jour le 12/03/2019, Temps de lecture: 2 min
Dans une interview donnée à Funéraire Info, les dirigeants de FUNECAP Pompes Funèbres Pascal Leclerc, Roc-Eclerc, Crématoriums de France et France Obsèques) reviennent sur l’année 2015 et exposent les perspectives du groupe pour 2016.
Ils évoquent le rapide développement de FUNECAP qui, en l’espace de 5 ans, s’est fortement consolidé notamment par des opérations de croissance externe comme l’intégration récente de Roc-Eclerc (cf. Le groupe Funecap rachète Roc-Eclerc). Groupe multimarques, FUNECAP jouit d’une représentation nationale et s’appuie sur un développement mixte, alliant franchise et succursalisme. Le groupe fédère ainsi quelque 200 agences en propre et le double en franchise auxquelles il faut ajouter 25 crématoriums et 40 funérariums.
La politique de développement de FUNECAP permet au groupe d’affiché « une croissance du CA de plus de 20% par an ». Les diverses acquisitions du groupe ainsi que l’ « ouverture d’agences et de complexes funéraires » ont fortement contribué à cette croissance. Ainsi, en 2015, « Funécap dépassera 250 M€ de chiffre d’affaires, dont 120 M€ en propre et 140 M€ en franchise. »
Des chiffres qui permettent aux dirigeants du réseau de qualifier l’année 2015 d’ « excellente année […] tant au plan de l’activité et des résultats à périmètre constant qu’au plan de nos acquisitions avec notamment la reprise de Roc-Eclerc et d’une dizaine de sociétés indépendantes de pompes funèbres. »
Pour 2016, le groupe nourrit toujours de grandes ambitions et ne cache pas sa volonté de « maintenir un rythme de croissance externe et interne élevé afin de consolider [ses] positions et améliorer la structuration de Roc-Eclerc » pour « apporter plus de services à [ses] franchisés, homogénéiser le réseau et faire participer plus activement les franchisés au développement de la marque et à l’augmentation de son efficacité ». Les dirigeants de FUNECAP parlent également d’optimiser leurs outils, notamment digitaux, de « gagner de nouvelles délégations de service public de crématoriums » et « améliorer [sa] politique de prévoyance obsèques ».
Dans le reste de l’interview, consultable sur le site de Funéraire Info, ils partagent leur analyse sur l’évolution du marché du funéraire en 2016.
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Benjamin Thomas, writer