De la banque au coffee shop : Amine trouve son équilibre avec Le Club Café
Ancien auditeur bancaire, Amine a choisi de changer de voie pour donner plus de sens à son quotidien. Aujourd’hui franchisé Le Club, il partage son expérience entre liberté, rigueur et passion pour le contact humain.
Publié le 20/10/2025 , Temps de lecture: 3 min
Avant de devenir franchisé, Amine travaillait dans la finance. En septembre 2024, il décide de tout quitter pour ouvrir son propre établissement sous enseigne Le Club. Une reconversion mûrement réfléchie, portée par l’envie d’entreprendre et le besoin de réaliser un projet à son image.
« J’avais besoin de réaliser mes ambitions, de trouver un projet en adéquation avec mes valeurs. »
Le déclic et le choix du réseau
Après plusieurs années dans le secteur bancaire, Amine ressent le besoin d’un nouveau départ. Son objectif : trouver un équilibre entre indépendance et accompagnement. La franchise lui est apparue comme la voie la plus sûre pour concrétiser son rêve d’ouvrir un coffee shop.
« Être franchisé, c’est un équilibre entre rêve et réalité. Le rêve, c’était d’ouvrir un coffee shop qui me ressemble. La réalité, c’est qu’aujourd’hui, j’en ai un qui répond à mes ambitions. »
Ce qui l’a convaincu de rejoindre Le Club, c’est avant tout l’aspect humain du réseau :
Quand on choisit une franchise, on choisit aussi les personnes derrière.
Un quotidien exigeant et porteur de sens
Gérant opérationnel, Amine vit son activité à 100 %. Entre gestion, service et management, les journées ne se ressemblent pas.
Il faut savoir prendre du recul, motiver l’équipe dès l’ouverture, garder le sourire et être partout à la fois.
Malgré les défis, il tire une grande satisfaction de la relation client : « Ce qui me motive le plus, c’est la satisfaction de ma clientèle. Quand un client me dit qu’il se sent bien chez nous, c’est la plus belle des récompenses. »
Les défis et les apprentissages d’Amine
Comme tout entrepreneur, Amine a connu des obstacles. Le plus marquant : les travaux d’ouverture, retardés par des imprévus. Plus récemment, il a dû faire face à un arrêt maladie dans son équipe et s’improviser cuisinier pendant plusieurs semaines.
« Je n’avais aucune expérience en cuisine, mais grâce au cahier des charges et à l’accompagnement du réseau, j’ai réussi à assurer seul la production. » Une épreuve formatrice, qu’il considère aujourd’hui comme une fierté.
La réussite repose sur la qualité des relations au sein du point de vente. Il veille à maintenir une ambiance positive et reconnaît l’importance de l’équipe dans sa propre motivation.
Un regard tourné vers l’avenir
Déterminé, Amine ne compte pas s’arrêter là. Son ambition est claire : ouvrir d’autres points de vente Le Club. « Ce premier établissement, c’était un test pour moi comme pour la franchise. Maintenant, j’ai envie d’aller plus loin. »
Elodie Castillo, writer