logo-webcdlogo-mobilelogo-infoprologo-desktoplogo-desktop.originallogo-desktop.bakicon-theme-testicon-social-whatsappicon-social-twittericon-social-shareicon-social-linkedinicon-social-facebookicon-searchicon-search--activeIcon/playICON/24/pinicon-my-accounticon-metas-turnovericon-metas-ticketicon-metas-moneyicon-metas-investmenticon-homeicon-ctrl-chevron-righticon-ctrl-chevron-right-bakicon-ctrl-chevron-lefticon-ctrl-arrow-righticon-contributions-trainingicon-contributions-funding-assistanceicon-contributions-franchiseicon-checkicon-carticon-arrow-right-thinicon-arrow-linkicon-alerticon-action-close

Immobilier : le marché va s'améliorer

Selon Xerfi le marché de l'immobilier devrait vivre une amélioration en 2015

Publié le

Dans une étude intitulée « L’immobilier de logements en France et en régions – Perspectives à l’horizon 2017, bilan 2013 et panorama des grands enjeux du secteur », publiée en février, Xerfi anticipe une reprise lente du marché de l'immobilier.

Selon Xerfi, le marché de l'immobilier encore atone aujourd'hui va progressivement s'améliorer en 2015. Cette amélioration sera lente, tant dans le neuf que l'ancien. «Maintien des transactions à un niveau modeste et baisse limitée des prix caractériseront les marchés immobiliers du neuf et de l’ancien en 2014. »

marché immobilier vdlf


Dans le neuf, l'année 2014 restera selon Xerfi dans la même lignée que 2013. « Les mises en chantier de logements s’établiront ainsi autour de 333.000 unités, un niveau comparable à celui de 2013 mais loin de l’objectif gouvernemental des 500.000 nouveaux logements par an. »

Cette stagnation s'explique en grande partie selon Xerfi par la réticence des ménages à s'engager dans la construction, et ce malgré des taux toujours historiquement bas. Les investisseurs suivront peu ou proue la même logique prudente.



Et après 2014 ?
Selon le scénario de Xerfi, les mises en chantiers augmenteront sensiblement ensuite, « à un rythme moyen de 5,5% par an entre 2015 et 2017 pour atteindre environ 400.000 unités ».

Dans l’ancien, « les ajustements se feront encore et toujours sur les volumes, faute d’un recul conséquent des prix (- 1,8% sur le plan national en 2013). Cette amorce de recul des prix ne permettra pas un rééquilibrage entre une demande excédentaire et une offre insuffisante, notamment en raison de la faiblesse des mises en chantier. » Clairement, selon Xerfi, le marché de l'immobilier ancien restera dans sa bulle.

« L’acceptation de celle-ci par les accédants, qui continuent à anticiper des plus-values de sortie positives, et une demande élevée (pression démographique, décohabitation, préparation de la retraite) sont les deux principales raisons de cette bulle. » En 2014, Xerfi anticipe un nouveau recul des prix de l'ordre de – 1,5% et des transactions également en recul de l'ordre de – 1,2%.

Ensuite, « le compartiment de l’ancien retrouvera des couleurs en 2015, en ligne avec l’amélioration des perspectives de l’économie française. Les transactions toucheront alors la barre des 700.000 unités dans un contexte de stagnation des prix. »

L'atonie sur les marchés du neuf et de l'ancien depuis plusieurs années a affaibli les professionnels. Contraints de composer avec un marché difficile, les acteurs en présence ont développé des stratégies différenciées. Chez les promoteurs, le recul de la demande des accédants à la propriété s'est conjugué aux réticences des investisseurs. « Pour remédier aux difficultés sur le marché du neuf, les principaux opérateurs ont mis en œuvre des stratégies de diversification, à l’image de Bouygues Immobilier et de Nexity vers les résidences services ».

D'ici à 2015, le taux de marge de ces grands promoteurs sera contenu. Chez les constructeurs de maisons individuelles, plus directement exposés à la demande des ménages, « la hausse des coûts liée à la RT 2012 sans pouvoir relever leur prix de vente » a ajouté à la difficulté. « Leur activité ne se redressera pas avant 2015. » Là aussi, les grands opérateurs ont misé sur la diversification, notamment vers la rénovation thermique, pour se maintenir.

Chez les agences immobilières enfin, « dans une situation de pression accrue sur les marges et confrontées à la concurrence des réseaux mandataires » les grands réseaux « devront s’employer à défendre leur modèle traditionnel. Leur rentabilité a atteint un niveau très bas en 2013. »

 L'étude intitulée « L’immobilier de logements en France et en régions – Perspectives à l’horizon 2017, bilan 2013 et panorama des grands enjeux du secteur » rédigée par Vincent Desruelles compte 240 pages.

Vous appréciez cet article? Notez-le.
Soyez le premier à noter

Trouver une franchise

Les franchises qui recrutent dans le même secteur

Découvrez quelle franchise est faite pour vous !

Recherchez une franchise par thématique

Trouvez le secteur de vos rêves !

Vous souhaitez ouvrir une entreprise en franchise dans un secteur d’activité particulier ? Découvrez toutes les thématiques des franchises.

Voir toutes les thématiques
Scroll to top