« Quand j’ai décidé de me lancer, Mikit et les atouts de son concept étaient une évidence », Jim Craighero (franchisé Mikit)

Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Jim Craighero : j’ai 48 ans, je suis marié et j’ai deux enfants. Je suis franchisé Mikit depuis 14 ans. Auparavant j’ai travaillé dans le négoce de matériaux et l’industrie. J’exploite pour Mikit plusieurs secteurs situés en Haute-Savoie, je réalise environ 40 maisons par an pour un chiffre d’affaires de 4,5 M€HT.

Qu’est-ce que vous a poussé à créer votre société avec le support de la franchise Mikit ? Aviez-vous consulté des concurrents ?

Je souhaitais créer mon entreprise et le concept Mikit m’a tout de suite plu. Je connaissais la marque car, à l’époque, un des franchisés du réseau était client chez moi. J’en avais une bonne image. Quand j’ai décidé de me lancer, Mikit et les atouts de son concept étaient une évidence, c’est pourquoi je n’ai pas consulté d’enseignes concurrentes pour créer mon entreprise. 

Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?

A l’époque, il y a avait déjà des formations et des référents sur les aspects commercial, technique et administratif qui m’ont accompagné jusqu’à ma deuxième maison livrée. La formation initiale était et est toujours de qualité et, depuis, de nouveaux outils sont apparus : une immersion, une école de vente, des supports interactifs, etc. Pour ma part, 14 ans après être devenu franchisé Mikit, je suis toujours suivi par un animateur.

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Diriez-vous que votre franchiseur a respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ? En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?

Je dirais que le franchiseur nous met en condition de réussir. Après l’implication et le travail sont personnels, et ce sont généralement ces deux points qui font la différence. Oui, j’ai atteint mes objectifs. Ceci dit, un objectif est fait pour être atteint puis repositionné plus haut pour de nouveau être atteint, etc. Il y donc, à l’instant T, toujours un objectif à être atteint.

Avec le recul, le concept Mikit est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?

Oui, le concept a quasiment 40 ans et est toujours aussi novateur. Il permet à des clients de pouvoir devenir propriétaires de leur maison en mettant la main à la pâte. 

Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez dû la créer seul ?

Je n’aurai pas pu aller aussi vite et aussi loin. Si c’était à refaire, je signerais à nouveau sans hésiter.

Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par la franchise Mikit ?

Ecouter, prendre les informations, se poser les bonnes questions et y répondre avec sincérité, faire leur étude de marché et leur business plan, et s’y tenir. Ensuite, simplement travailler.

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