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Etape n°21 : Attendre la décision finale du franchiseur

Publié le
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Après la réunion d’informations collectives, l’entretien au siège et le stage de découverte, le candidat doit attendre la décision finale du franchiseur quant à son intégration au réseau. Généralement accepté à l’issue de ce parcours de sélection mutuelle, il arrive cependant, pour des raisons bien précises, que le franchiseur rejette la candidature.

La décision finale est souvent collégiale

C’est généralement une équipe qui se réunit pour valider ou non le recrutement du candidat. Il est rare que le fondateur de l’enseigne décide seul du recrutement, sauf dans les tous jeunes et petits réseaux.
Ainsi le « comité de validation » est généralement composé, de façon somme toute logique,

  • Non seulement des fondateurs de l’enseigne
  • Mais aussi des responsables techniques (experts comptables, juristes, DRH, etc.),
  • Du ou des animateurs de réseau
  • Et du franchisé dans le point de vente duquel s’est déroulé le stage de découverte.

Tous connaissent ou ont éprouvé un des aspects du projet ou de son porteur qui sont déterminants pour la réussite future de la franchise. Ce sont donc logiquement eux qui devront in fine valider l’intégration, ou au contraire refuser l’intégration du candidat franchisé.

Un rejet rare, mais toujours justifié

Clairement, à moins que le stage de découverte de la franchise se soit déroulé de manière catastrophique, la candidature du porteur de projet est retenue. Car pour en arriver à ce niveau, le candidat a déjà dû passer de nombreuses étapes !
Ceci dit, il arrive qu’un porteur de projet soit recalé au dernier moment. Sachez que les principales raisons sont le plus souvent les suivantes :

  • Le candidat a failli lors du stage de découverte : Il a mal géré l’agressivité de clients de manière systématique ; il a pris peur à chaque « coup de feu » ; il a montré un manque de motivation manifeste ; il a entretenu des relations exécrables avec le reste du personnel ; etc. En bref, le candidat n’est pas fait pour l’enseigne. C’est rare à ce niveau-là mais cela peut arriver.
  • Les responsables techniques (juristes, comptable, DRH, etc.) estiment que le projet du candidat présente encore de grosses faiblesses : manque de compétences managériales, commerciales, de gestion ; manque de fonds ; etc.

Dans le premier cas, il est inutile de revenir vers le franchiseur : l’incompatibilité est manifeste et ce type d’expérience vaccine en général. Il ne reste plus qu’à se remettre en question et à chercher un nouveau réseau.

Dans le deuxième cas, rien n’est joué. Un ou plusieurs stages à la CCI par exemple pour combler les lacunes de l’entrepreneur ou du projet et le candidat à la franchise pourra solliciter un nouveau rendez-vous pour représenter son projet qui devra être mieux ficelé, plus solide, plus rassurant pour le franchiseur. Le plus souvent, dans ces cas-là, le deuxième passage est le bon : le porteur de projet est intégré au réseau après avoir résolu les points bloquants. L’aventure peut alors commencer !

Ce qu’il faut retenir :

  • Un projet bien ficelé et solide et un stage qui s’est bien déroulé sont souvent synonymes d’une intégration systématique au réseau
  • La décision est le plus souvent collégiale.
  • Si votre candidature est rejetée, c’est qu’il y a une bonne raison. Se braquer ou s’énerver ne sert à rien. Il faut au contraire accepter avec humilité et se remettre en question pour pouvoir, pourquoi pas, retenter l’aventure plus tard.

 

 


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