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Les taux d'équipement en commerces pour 10 000 habitants

Les taux d'équipement en commerces de détail alimentaires et non alimentaires par région démontre de grands écarts entre les territoires.

Publié le

Ces grands écarts sont liés à la démographie des régions mais aussi à leur historique commercial particulier. Les mêmes écarts se constatent à l'échelle du département.

Taux d'équipement en commerces de détail alimentaire

Globalement, au 1er janvier 2011, le territoire de la France métropolitaine comptait 7,1 boulangeries pour 10 000 habitants, 4,3 épiceries supérettes, 3,6 boucheries charcuteries, 0,4 poissonnerie et 0,2 commerce de produits surgelés (le nombre de commerces de détail alimentaire pour 10 000 habitants est calculé par rapport aux estimations de population au 01/01/2010).

Les régions comptant le plus d'épiceries supérettes sont la Corse avec 10 établissements pour 10 000 habitants, suivie du Languedoc-Roussillon (6,8), PACA (6,3), l'Auvergne (5,4), et l'Ile-de-France (5,3). En bas de tableau, l'on retrouve la Lorraine (2,4), la Picardie (2,6), et les Pays-de-la-Loire (2,6). A l'échelle des départements, le taux d'équipement en épiceries supérettes est le plus élevé à Paris (10,6 pour 10 000 habitants), suivi de près par la Corse-du-Sud (10,2), le Cantal (9,9), la Haute-Corse (9,7) et les Hautes-Alpes (9,5).
En bas du tableau, les épiceries supérettes se font plus rares en Côte-d'Or et en Moselle (2,5), en Eure-et-Loir, dans la Meuse, l'Oise et les Deux-Sèvres (2,4), ainsi qu'en Loire-Atlantique et en Meurthe-et-Moselle (2,2). L'on constate quasiment le même classement régional pour ce qui concerne les boulangeries puisque la Corse arrive là encore en tête avec 12,3 boulangeries pour 10 000 habitants, suivie du Languedoc-Roussillon (9,6), de PACA (8,9) à égalité avec l'Auvergne. En queue de peloton, l'Ile-de-France pointe bonne dernière avec 5,3 boulangeries pour 10 000 habitants, Le Nord-Pas-de-Calais (5,7) et la Picardie (6).

A l'échelle des départements, les territoires les mieux équipés en boulangeries sont les Hautes-Alpes (13,8), suivis de la Corse-du-Sud (12,6), de la Lozère (12,1), la Haute-Corse (11,9), les Alpes-de-Haute-Provence (11,3) ou encore le Cantal et l'Ardèche (10,4). En bas du tableau, les départements les moins bien équipés en boulangeries se concentrent sur la région parisienne : Seine-Saint-Denis (5,1), Val-de-Marne et Seine-et-Marne (4,8), Hauts-de-Seine (4,5), Val-d'Oise et Yvelines (4,4) et Essonne (4,3).

Taux d'équipement en commerce de détail non alimentaire

Du côté du commerce non alimentaire, la France métropolitaine comptait au 1er janvier 2011, 10,4 magasins de vêtements pour 10 000 habitants, 3 fleuristes, 2,8 librairies papeteries, 2,1 magasins d'équipement du foyer, 2 magasins de meubles, 1,9 magasin de chaussures et 1,3 magasin de quincaillerie bricolage (le nombre de commerces de détail non alimentaire pour 10 000 habitants est calculé par rapport aux estimations de population au 01/01/2010).

Les régions comptant le plus de magasins de vêtements pour 10 000 habitants sont la Corse (27,8) suivie de très loin par PACA (16,1), l'Ile-de-France (12,2), et l'Aquitaine (11). En bas de tableau, les régions les moins bien équipées en magasins de vêtements sont la Picardie (6,7), le Centre (7,3), et le Nord-Pas-de-Calais (8,1). A l'échelle départementale, la palme du taux d'équipement en magasins de vêtements revient à Paris (33,1 magasins pour 10 000 habitants), suivi de près par la Corse-du-Sud (31,2), la Haute-Corse (24,8), le Var (19,1), les Alpes-Maritimes (18,9), le Vaucluse (14,5) et les Bouches-du-Rhône (14,1). En bas du tableau, les départements les moins équipés en magasins de vêtements sont l'Aisne et la Haute-Marne (6,5), le Val-d'Oise (6,4), la Meuse (6,3), l'Oise (6,2), l'Essonne (5,9), et la Creuse (5,0).

L'on constate quasiment le même classement régional pour le taux d'équipement en magasins de chaussures qui place la Corse en première position (4,1), suivie de PACA (2,5), du Languedoc-Roussillon (2,1), de Midi-Pyrénées, de l'Aquitaine, de l'Ile-de-France et du Limousin (2). En bas de tableau, les régions les moins équipées en magasins de vêtements sont la Picardie (1,3), le Nord-Pas-de-Calais (1,5), la Lorraine, le Centre, la Haute-Normandie et l'Alsace (1,6). A l'échelle départementale, la palme du taux d'équipement en magasins de vêtements revient là encore à Paris (5,2), la Haute-Corse (4,5), la Corse-du-Sud (3,6), les Alpes-Maritimes (3,2), les Hautes-Alpes (2,8), l'Aveyron (2,7), les Pyrénées-Atlantiques et la Drôme (2,6). En bas du tableau, les départements les moins équipés en magasins de chaussures se concentrent sur la région parisienne : Seine-Saint-Denis, Ain, Deux-Sèvres, Seine-et-Marne et Val-de-Marne (1,2), Oise (1,1), Val-d'Oise et Essonne (1,0).

Le taux d'équipement en magasins de meubles suit très curieusement la même logique avec une nouvelle fois la Corse en tête de peloton des régions les mieux équipées (3,9 magasins pour 10 000 habitants), suivie de PACA (2,8), le Languedoc-Roussillon et l'Aquitaine (2,3), Bretagne et Rhône-Alpes (2,2). En bas de tableau, la Picardie ferme la marche (1,3), précédée de peu par la Haute-Normandie (1,5), le Nord-Pas-de-Calais (1,6) et le Centre (1,7). A l'échelle des départements, les territoires les mieux équipés en magasins de meubles sont la Corse-du-Sud (4,4), Paris et les Alpes-Maritimes (3,9), la Haute-Corse (3,5), le Vaucluse et la Haute-Savoie (3,1), et le Var (3,0). En bas du tableau, les départements les moins bien lotis en magasins de meubles sont la Somme, l'Eure-et-Loir, les Hauts-de-Seine, l'Aisne, l'Oise et Essonne (1,3), la Seine-Saint-Denis (1,2), la Creuse et le
Val-de-Marne (1,1).

Le taux d'équipement en fleuristes est le plus important en Basse-Normandie (3,8) à égalité avec le Limousin, PACA (3,6), la Bretagne et le Nord-Pas-de-Calais (3,5). Les régions les moins bien loties en fleuristes pour 10 000 habitants sont l'Ile-de-France (2,4), la Lorraine, les Pays-de-la-Loire, l'Alsace, Rhône-Alpes et Languedoc-Roussillon (2,9). A l'échelle des départements, les territoires les mieux équipés en fleuristes sont la Creuse (4,6), les Côtes-d'Armor (4,4), les Alpes-Maritimes (4,2), le Pas-de-Calais et le Gers (4,1), la Nièvre (4,0), Paris, la Corrèze, la Haute-Saône et le Loir-et-Cher (3,9). En bas du tableau, les départements les moins biens équipés en fleuristes sont l'Indre-et-Loire, les Yvelines et l'Essonne (2,5), les Hauts-de-Seine (2,0), le Val-d'Oise et le Val-de-Marne (1,8), et la Seine-Saint-Denis (1,2).


Le dossier complet

Dominique André-Chaigneau, Toute La Franchise©

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