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Marché du meuble : le prix reste le motif majeur d'insatisfaction

97% des ménages souhaitent des baisses de prix

Publié le

Selon une enquête réalisée par l’IPEA en novembre 2013, les Français restent séduits par les magasins de meubles. Ceci étant, des éléments d'insatisfaction persistent. Certains de ces éléments sont perfectibles, d'autres moins. Explications.

marché meuble vdlf   Selon une enquête réalisée par l'IPEA (Institut de prospective et d'études de l'ameublement) en novembre dernier, les trois quarts des ménages interrogés déclarent «encore visiter des magasins de meubles même sans avoir de projet d’achat à court terme » et 77% éprouvent du plaisir à se rendre dans les magasins de meubles. Et concernant l'offre ?


L'IPEA note que « la satisfaction semble aussi de rigueur, même si elle reste variable selon les éléments observés ». Clairement, les Français plébiscitent les offres des magasins pour l'aspect fonctionnel des meubles proposés 90,5% de satisfaits), mais aussi la présentation de ces meubles dans les magasins (90,0% de satisfaits).

A l'inverse, des points d'insatisfaction sont relevés sur le terrain des prix (35,8% de pas satisfaits), mais aussi les conseils des vendeurs (35,1% de pas satisfaits), ou encore la qualité des finitions (31,4% de pas satisfaits). Entre les deux extrêmes, le style/le design récolte 87,7% de satisfaits, la diversité des offres 87,6%, la communication des enseignes, des magasins 75,1%, le renouvellement des produits, les nouveautés 72,5%, la qualité des matériaux 71,8% et les informations sur les produits 71,0%. Ces quelques chiffres démontrent que « malgré les promotions répétées mises en place sur le secteur, les ménages continuent encore pour un tiers d’entre eux à se montrer insatisfaits par les prix, qu’ils jugent vraisemblablement encore trop élevés. »

De même, le niveau d’insatisfaction en ce qui concerne les conseils des vendeurs est à noter. « La multiplication des sources, notamment en ligne, permettant au consommateur de préparer ses achats et de se faire une opinion avant d’aller en magasin, le place dans une position où il détient parfois plus d’informations que les vendeurs. L’utilisation d’Internet par le consommateur renforce ainsi le rôle du vendeur qui doit pouvoir apporter plus qu’une simple aide technique sur le choix du produit. »

Un nécessaire ajustement des prix

« Si le consommateur apparaît satisfait, on voit que quelques éléments pourraient être améliorés » résume l'IPEA. Parmi ces éléments, celui du prix est incontestablement le plus important. Ainsi, lorsque « l’on demande aux consommateurs quels seraient les éléments qui pourraient améliorer l’expérience d’achat, les réponses penchent massivement du côté du prix pour 97% des ménages ». Une quasi-unanimité que l'on retrouve, à 97% également, pour l'amélioration de la qualité des produits « ce qui semble toutefois en opposition avec la baisse des prix souhaitée. »

Ces deux éléments sont loins devant les conseils des vendeurs : 22% des ménages interrogés estiment en effet que cet élément ne serait que « peu important dans l’amélioration de leur expérience d’achat, ce qui prouve qu’un nombre non négligeable de consommateurs ne font plus forcément confiance aux vendeurs et ont appris à se passer de leurs services. » Outre le paradoxe prix plus bas / qualité plus haute, l'enquête IPEA pointe un autre paradoxe déroutant : « si 86% des ménages semblent avoir du mal à projeter leur achat dans leur intérieur et souhaiteraient pouvoir mieux se rendre compte de ce que rendra le produit une fois installé dans leur logement, ils ne sont plus que 56% à souhaiter disposer de services d’aide à la décoration. »

Meubles et crédit, un duo gagnant !

Selon l’édition 2014 de l’étude « Profil, ameublement et crédit : analyse du marché » réalisée par Sofinco avec le concours de l’IPEA, 28% des ménages envisagent d’acheter un meuble à crédit en 2014 (27% de la literie, 35% un canapé, 50% une cuisine). Et l'intérêt d'offrir un crédit ou des facilités de paiement type 4, 6 ou 10 fois sans frais est évident !

En effet, sans crédit, le panier moyen chez les spécialistes ameublement s'établit à 2 050 € tandis qu'à crédit, il grimpe à 3.145 €. Même constat chez les spécialistes cuisine (5.500 € sans crédit, 6.814 € à crédit), les spécialistes literie (1.210 € sans crédit, 2.298 à crédit), les spécialistes ameublement haut de gamme (3.150 € sans crédit, 5.068 € à crédit), les spécialistes salon (2.200 € sans crédit, 3.203 € à crédit) et la grande distribution (595 € sans crédit, 1.368 € à crédit).
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