Débarras, recyclage et solidarité : le pari réussi de Thomas B. avec Les Débarrasseurs de l’Extrême

Bien plus qu’un service de débarras : un métier humain et engagé Face à la détresse de nombreuses personnes vivant dans des logements insalubres, Thomas B. a été séduit par l’approche sociale du réseau : « Ce qui m’a séduit, c’est l’aspect humain du métier. On ne fait pas que débarrasser des logements, on accompagne des personnes en détresse, on les aide à retrouver un cadre de vie digne. C’est un engagement qui va bien au-delà du nettoyage. » En tant qu’affilié Les Débarrasseurs de l’Extrême, il intervient auprès des particuliers, des successions et des collectivités pour trier, désencombrer et remettre en état des espaces devenus invivables. Son travail est essentiel, notamment pour les personnes atteintes du syndrome de Diogène, un trouble entraînant une accumulation excessive d’objets et de déchets. Un marché en plein essor, une opportunité à saisir Depuis la pandémie, le nombre de cas de syndrome de Diogène a fortement augmenté, accentuant la demande en services de débarras et de remise en état. Ce contexte favorable a permis à Thomas B. de développer rapidement son activité en s’appuyant sur la notoriété et l’accompagnement du réseau : « Dès les premiers mois, j’ai constaté une demande énorme. Grâce à la formation et aux outils fournis par Les Débarrasseurs de l’Extrême, j’ai pu structurer mon activité rapidement et répondre efficacement aux besoins de mes clients. » Rejoindre Les Débarrasseurs de l’Extrême, c’est bénéficier d’un modèle éprouvé, d’un accompagnement complet et d’un marché en forte croissance. Une opportunité idéale pour ceux qui souhaitent allier indépendance, rentabilité et engagement social. Si vous souhaitez en savoir davantage sur le concept Les Débarrasseurs de l’Extrême, rendez-vous sur leur fiche personnalisée et demandez la documentation gratuite.