Il n’y a pas d’âge pour se reconvertir : « Après 25 ans dans la restauration, j’ai ouvert une franchise DOMetVie »

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?

Juste avant, j’étais dans la restauration pendant 25 ans. On a eu deux restaurants et le dernier, on l’a vendu l’année dernière, en 2024, au mois de mars.

On a commencé l’entrepreneuriat en 2008 quand on a ouvert notre premier restaurant. On est resté ouvert 11 ans et ensuite on a racheté une deuxième affaire.

Pourquoi avez-vous décidé de vous reconvertir avec DOMetVIE ?

Alors on voulait arrêter la restauration, dû à tous ces facteurs qui se passent aujourd’hui, un métier dur et on arrive à un âge où à un moment donné on a envie d’arrêter. Et par rapport à notre entourage, notre clientèle aussi, nos parents, nos grands-parents, on a vraiment eu de la demande dans l’aide à la personne. Donc on s’est mis plutôt dans ce créneau-là, mais pas du tout dans ce qui représentait DOMetVIE, on ne connaissait pas du tout.

Donc on est allé sur le salon de la franchise et c’est comme ça qu’on vous a découvert.

Quel moment vous a marqué avec le franchiseur ?

Le premier contact a été un très bon contact, et puis ensuite rapidement, du coup, on est monté au siège pour entrer en immersion. Donc, on a rencontré pas mal de gens. Une partie de l’équipe, que ce soit dans la com, le marketing, les agents co, etc.

On est rentré en immersion chez un premier client et on a découvert un monde qui est, pour nous, qui a du sens et qui est forcément très pérenne parce qu’il y a beaucoup de demandes et effectivement aujourd’hui les personnes âgées veulent rester chez elles et pour nous c’était quelque chose qui était tout simplement naturel en fait.

Quel est le plus gros challenge en tant que chef d’entreprise ?

Alors le plus gros challenge c’est d’avoir beaucoup de casquettes, de gérer toutes ces casquettes et en même temps ça a un côté excitant. Donc notre challenge à nous, c’est déjà de bien se lancer et de faire connaître DOMetVIE vraiment dans notre région

Comment se passe la collaboration entre franchisés ?

Oh, c’est parfait ! Le peu qu’on a vu en formation, il y a vraiment une bienveillance. Et on sait qu’on va s’aider entre nous et c’est très très rassurant.

Quelle est votre définition du succès ?

Pour ma première année, deuxième année, d’évoluer au fil du temps.

Comment le vous d’il y a 5 ans réagirait à ce que vous êtes devenue aujourd’hui ?

Là, je n’y croirais même pas. Ah bah non, pas du tout. Parce que, comme je disais, ça fait plus de 25 ans que je suis dans la restauration et pour moi, sortir de la restauration me dit, bon, qu’est-ce qu’on peut faire ? Il y a forcément des métiers où ce n’est pas la peine si tu n’as pas fait d’études. Et là pas du tout parce que c’était un instant de vie à un moment donné qui a fait que j’ai pris ce virage.

Donc j’aurais jamais pu penser il y a 5 ans, 10 ans auparavant.