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CARDINAL JARDIN

Robin RAMOUSSET

Initiateur et Responsable Développement

Franchise CARDINAL JARDIN

Les chiffres de ce réseau :

  • - Date de création : 2002
  • - Date de lancement de la franchise : 2008
  • - Nombre d’implantations : 20

Interview de Robin RAMOUSSET

Publié le
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Robin RAMOUSSET ( R.R.) : Bonjour je suis l’initiateur et le responsable développement de la marque CARDINAL JARDIN.  J’ai démarré dans le jardin de mon grand-père puis dans celui de mes parents que je remercie pour m’avoir laissé faire mes armes. Ensuite je suis passé par tous les postes du métier : j’ai commencé avec le bac en poche à tondre les gazons, voir même à balayer les espaces, puis j’ai commencé à réaliser des espaces en posant des matériaux, en construisant des murs, en plantant des végétaux. Puis, au fur et à mesure que je montais en poste, je continuais mes études jusqu’à obtenir un diplôme d’ingénieur et à finir consultant sur les grands projets pour le ministère de l’Equipement. Le déclic de la création de Cardinal Jardin a été de demander aux clients s’ils étaient satisfaits des prestations des paysagistes. Je ne regrette pas puisque ma surprise fut grande : tout d’abord les paysagistes étaient tantôt définis comme des entreprises de Travaux Public ou des entreprises qui ne réalisaient que les plantations : la clientèle était en attente de « Super Paysagistes » qui puissent tout faire et qui offrent à chaque client un projet original et créatif. Pour tout fair, il nous fallait au moins 50 salariés dont certains très spécialisés ne pourraient pas être employés toute l’année. De plus, aujourd’hui les entreprises généralistes ont tendance à disparaître… Il fallait donc offrir une offre globale, ad hoc, être créatifs, réactifs, offrir un service commercial irréprochable…

Alors nous traitons ! C’est de cette problématique qu’est née l’idée de s’appuyer sur des entreprises partenaires pour la réalisation des travaux. Mais attention, nous ne voulons pas nous inscrire dans la lignée des courtiers : nous sommes maîtres d’œuvre afin de garantir notre image de marque. Nous avons choisi de nous développer en franchise tout simplement parce que nous avons des demandes et que nous ne pouvons les contenter.


TLF : Pouvez-vous présenter votre enseigne ? PAYSAGISTE DESIGNER

R.R. : J’ai personnellement redémarré à 0 avec l’agence-test en Alsace en 2002, le concept de paysagiste designer a de suite plu à une clientèle plutôt haut de gamme dès le démarrage. Nous nous développons en franchise depuis 2007. Nous avions au préalable développer une concession de marque mais c’est totalement inadapté à un concept basé sur le service. Aujourd’hui nous comptons 6 agences en France et sommes partants pour lancer le concept sur tout le territoire après les différents tests réalisés sur les différents secteurs géographiques. Nous étudions notre développement à l’étranger en ce moment car les demandes sont nombreuses : le marché Français du jardin n’est que le troisième marché en Europe derrière l’Allemagne et l’Angleterre.


TLF : Comment êtes-vous structurés ? EXTERNALISATION

 R.R. : Nous avons choisi d’externaliser un maximum de pôles afin d’optimiser les coûts et les compétences. Concernant le pôle communication, par exemple, nous mettons en concurrence tous les ans des agences afin de rester à la pointe. Nous réalisons de la même manière dans tous les domaines afin de rester performants. Nous avons essayé d’externaliser le recrutement mais 100% des candidats veulent rencontrer l’initiateur du projet alors les consultants ne servaient pas à grand-chose dans la majorité des cas.


TLF : Quelle est votre concurrence ? AUCUNE

R.R. : Nous avons inventé un nouveau métier que celui de paysagiste designer. En ce sens nous n’avons pas de concurrence.


TLF : Quelle différence apportez-vous ? En quoi votre concept se démarque-t-il ? SERVICE

R.R. :  Personne n’offre notre niveau d’excellence dans le service, notre créativité est très importante car nous travaillons ensemble les projets et enfin  aucun autre jardin ne sera signé de la marque Cardinal Jardin que ceux que nous réaliserons. Notre concept est unique.


TLF : Où en êtes-vous dans votre développement ? Avez-vous atteint vos objectifs d’implantation ? TOUT EST SOUS CONTROLE

R.R. : Pas de problème pour ce sujet, nos objectifs sont atteints, nous ne cherchons pas à avoir 500 franchises dont 450 qui ne fonctionnent pas. Je vous rappelle que nous défendons un système de valeurs qui nous viennent de nos origines : les pieds dans la terre, nous avons donc bien la tête sur les épaules et notre objectif est d’abord de trouver des franchisés qui s’épanouiront.


TLF : Quels sont les moyens  développés pour atteindre vos objectifs ? ETAPE PAR ETAPE

 R.R. : Notre concept se développe jusqu'à aujourd’hui par le bouche à oreille, mais pour passer à la vitesse supérieure nous avons décidé de consacrer petit à petit du budget dans la communication comme sur votre site dont nous sommes très satisfaits.


TLF : Quels sont vos objectifs pour 2008 ? 5 à 10 agences par an

R.R. : Bien entendu nous savons qu’en terme de stratégie nous devons au moins recruter 5 franchisés par an avec un maximum de 15.


TLF : Quelles sont les 3 raisons qui vous ont fait choisir la franchise comme mode de développement ?

R.R. : Engagements réciproques, contrat long et clair, reconnaissance par rapport à concession.


TLF : Avez-vous des projets à l’international ?

R.R. : Nous recevons de nombreuses demandes, mais nous cherchons des investisseurs qui sauront nous intégrer dans leur développement pendant la phase de lancement et qui partageront notre référentiel de valeurs. Nous avons déjà traité des demandes en Asie, au Maroc, aux Etats-Unis, mais nous développons une enseigne haut de gamme, nous ne vendons pas des arrosoirs !


TLF : Quelles sont les erreurs que vous ne recommenceriez pas si vous démarriez votre réseau maintenant ?

R.R. : Recruter sans sélectionner, travailler à perte pendant le lancement, trop donner à mes franchisés, je communiquerais différemment.


TLF : Quels sont les freins à votre développement ?

R.R. : J’ai beau réfléchir je n’en trouve pas !


RECRUTEMENT :

TLF :  Quelle est votre politique de recrutement ?

R.R. : Nous recherchons des chefs de projet, expérience dans le commerce, désirant se positionner comme paysagiste.


TLF : Quelle procédure de sélection avez-vous adoptée ?

R.R. : Entretien téléphonique, dossier de candidature, dossier avec mini étude de marché et compte d’exploitation à réaliser par le candidat, rendez vous 1, DIP puis contrat et rendez-vous 2. Nous conseillons aux candidats de téléphoner à nos franchisés, certains se rencontrent même.


TLF : Quel est le parcours d’un candidat ?

R.R. : L’idéal est de faire la formation puis de réaliser une phase d’immersion et de venir tourner avec un franchisé en place, puis de se lancer.


TLF : De quel apport personnel doit-il disposer ?

R.R. : 15.000 à 20.000€ selon ses ressources


TLF : Quel est l’investissement global ?

R.R. : 55.000€


TLF : Quel est le délai moyen de recrutement d’un candidat ?

R.R. : 2 mois


TLF : Quelle est la durée de la formation ? Comment s’articule-t-elle ?

R.R. : 10 jours dont la moitié sur le métier, sorties pratiques (visite fournisseurs…).

 

TLF : Combien vous coûte le recrutement d’un candidat ?

R.R. : A mon avis beaucoup trop cher.

 

TLF : Sur 100 candidats rencontrés, combien de DIP avez-vous fourni ?

R.R. : Lorsque nous fournissons un DIP, 95 % de signature

EN ACTIVITE :


TLF : Votre nouveau franchisé, peut -il compter sur votre assistance régulière, opérationnelle ?

R.R. : Bien entendu, nous assistons énormément nos franchisés, d’autant plus que la tète de réseau est un métier alors pourquoi se priver ! 4 réunions par an tous ensembles, je vois les franchisés tous les 2 mois, et je les ai au téléphone minimum tous les 2 - 3 jours. Je reçois environ 10 mails par jour de mes franchisés.

 

TLF : Qu’est-ce qu’un bon franchisé pour vous ?

R.R. : C’est un passionné de la vie. Quelqu’un qui n’attende pas que le franchiseur signe ses affaires à sa place. Quelqu’un qui ne confonde pas assistance et assistanat.

 

TLF : Qu’attendez-vous de vos franchisés ?

R.R. : Qu’ils soient à la hauteur des engagements qu’ils ont pris et qu’ils n’hésitent pas à nous dire ce qui ne va pas avant qu’il soit trop tard : en gros de le COMMUNICATION.

 

TLF : Comment sont-ils impliqués au développement de votre enseigne ?

R.R. : Par exemple pour les choix des nouveaux supports de communication, les décisions sont prises par vote ainsi que les dépenses du budget communication.

 

TLF : Comment s’organise la relation franchiseur/franchisé au quotidien ?

R.R. : Nous avons créé notre communauté depuis peu, nous utilisons outre les mails, des moyens de conférence sur internet. Mais le roi reste encore le téléphone !

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