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Beauty Bubble, nouveau coiffeur low-cost, casse les prix

Publié le
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L’enseigne propose ses coupes à 10 euros en dix minutes dans les gares, aéroports ou hypermarchés. Née l’an dernier, Beauty Bubble mise sur les lieux à très forte fréquentation.

Un matin, Véronique Skalli s’est fait couper les cheveux dans le métro, sur le chemin de son travail à l’hôpital Saint-Antoine, à Paris. « Je me suis levée et je n’aimais pas ma tête, alors je me suis arrêtée pour faire une coupe et j’étais très satisfaite », raconte-telle.
Le salon (si l’on peut dire) Beauty Bubble est installé depuis Noël dans un couloir de la RATP à la station Gare-de-Lyon, entre métro et RER. 80 000 personnes passent devant chaque jour.
Née l’an dernier, l’enseigne propose coupe ou brushing pour 10 euros en dix minutes chrono. Ce nouveau low-cost de la coiffure casse encore plus les prix que les pionniers du secteur. Depuis quelques années, ils se sont multipliés.
Le leader, Tchip, aligne plus de 400 salons, suivi par Coiff & Co (près de 200) ou Self’Coiff (37). Leurs forfaits s’étendent en moyenne de 14 à 21 euros.

Beauty Bubble va plus loin et se démarque des concurrents traditionnels de centre-ville. Pour pratiquer ses prix bas et assurer ses rendements, il mise sur les volumes, dans des lieux a très forte fréquentation.
Ses six premiers emplacements ont vu le jour dans des gares (Montparnasse), aéroports (Lyon-Saint-Exupéry), centres commerciaux (Lyon-Part Dieu) et même des hypermarchés, chez Carrefour Planet en région lyonnaise.
Le concept a été imagine par un jeune diplômé d’école de commerce, Nicolas Langer, 27 ans, après une première expérience dans l’industrie cosmétique chez L’Oréal et Coty, épaule par son père, ex-spécialiste du marketing dans la pub et la grande distribution.

Le marché de la coiffure est l’un de ceux qui ont le plus dérapé en termes de prix, estime Patrick Langer, le père. Nous offrons une prestation rapide de qualité. Comme EasyJet, nous avons enlevé un certain nombre de paramètres pour nous concentrer sur le coeur du métier : la coupe.

Pas de shampoing

Beauty Bubble ne fait pas de shampoing et demande a ses clients de venir les cheveux propres, ce qui permet d’économiser sur une arrivée d’eau, l’espace des bacs et du temps. Chez SelfCoiff, on se fait soi-même son brushing après la coupe. Pas de rendez-vous, pas de vestiaire, de café ou de massage du cuir chevelu. On va a l’essentiel.

Les coiffeurs de Beauty Bubble sont formés à une technique de coupe a sec importée de Grande-Bretagne. On fait des rafraichissements, mais aussi des changements complets de style ; certaines clientes nous disent qu’elles ont eu la même chose pour 45 euros habituellement, se félicite Ouisa Lekhtari, l’une des dix coiffeuses de Gare-de-Lyon. Dans cet espace sans porte ni cloison, ouvert de 7 h 30 a 19 h 30, une centaine de coupes par jour sont réalisées.

Apres ses premiers pas prometteurs, Beauty Bubble passe à la vitesse supérieure et prévoit une cinquantaine d’ouvertures cette année, notamment en partenariat avec la RATP, la SNCF et Carrefour.

La société s’ouvre aussi à l’affiliation, en proposant à des entrepreneurs son concept de salon clés en main, avec un investissement de départ de 25 000 euros et un chiffre d’affaires annuel de 150 000 euros par point de vente.

Source : LE FIGARO ECONOMIE du 15 avril


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