Partie 4 : "La puériculture en franchise" : Des perspectives de développement intactes
Porté par le boum des naissances, le marché de la puériculture est aujourd’hui bien plus quadrillé qu’il y a quelques années. Alors, reste-t-il des places à prendre, où est-il trop tard pour monter dans le train ? Pour Philippe-Emmanuel Millet, c’est justement le moment d’embarquer. « On est loin d’avoir épuisé tout notre potentiel, chez nous il y a la place pour 80 magasins supplémentaires ».
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Son réseau, Les Bébés de Sabine, cible les villes de 20 000 à 25 000 habitants minimum. Et il en reste de nombreuses à pourvoir. « On recherche des gens qui ont la fibre commerçante ou commerciale. Ce qui passe par une expérience réussie dans la vente », précise le développeur. Pour intégrer son réseau, il faut prévoir un investissement de 50 000 à 150 000 euros, et disposer d’un apport de départ d’environ 30 % du montant. L’expérience montre que le chiffre d’affaires peut atteindre 200 000 à 300 000 euros dès la troisième année, et que la rentabilité est au rendez-vous pour le deuxième exercice. |
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Lien vers la partie 1 de notre dossier : un secteur en pleine mutation
Lien vers la partie 2 de notre dossier : des franchisés tirent leur épingle du jeu
Lien vers la partie 3 de notre dossier : des positionnements savamment étudiés
Lien vers la partie 4 de notre dossier : des perspectives de développement intactes
Thibault, Journaliste toute-la-franchise.com ©