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Introduction : Notre dossier "La puériculture en franchise" en 4 parties

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L’explosion des naissances tire le marché de la puériculture Vous envisagez de vous mettre à votre compte ? Vous êtes à la recherche d’un créneau porteur ?

Un conseil : intéressez-vous au marché de la puériculture. Malgré la crise, ce secteur de la distribution spécialisée garde la santé et offre de solides perspectives de développement.

Introduction : Notre dossier "La puériculture en franchise" en 4 parties
Premier atout : La clientèle ne manque pas. Chaque année, plus de 800 000 bébés naissent en France (828 400 précisément en 2008). Ce taux de natalité, très élevé au sein des pays occidentaux, fait de nous les champions d’Europe de la natalité, avec l’Irlande. Ce dont se félicitent les professionnels, puisque le marché est directement corrélé au nombre des naissances. Certes, le taux de croissance annuel moyen n’est plus de 3 %, comme avant la crise, mais il est resté stable en 2008, et ne devrait pas avoir sensiblement bougé en 2009.

Deuxième avantage : L’arrivée d’un bébé est un événement qui occasionne de nombreuses dépenses. Lit, table à langer, mobilier, poussette, siège auto, vêtements, peluches… Les besoins sont vastes et les parents n’hésitent pas à sortir le chéquier. « Ils sont obligés de s’équiper, c’est incontournable », estime Philippe-Emmanuel Millet, responsable développement réseau du réseau de franchise Les Bébés de Sabine. Peu importe d’ailleurs la marge de manœuvre financière du ménage. « S’il s’agit d’un jeune couple, un peu serré financièrement, ce sont les ascendants, la famille proche, voire les collègues, qui offrent des cadeaux ou constituent une cagnotte, afin de financer l’équipement ».

Au final, la facture peut atteindre plusieurs milliers d’euros. Philippe-Emmanuel Millet la chiffre pour sa part entre 1200 et 3500 euros selon le niveau d’exigence des parents. Une estimation confirmée par l’institut d’études Precepta, qui évalue la dépense moyenne pour un premier équipement en articles de puériculture à 2600 euros. Il faut dire que les jeunes parents sont très exigeants. Pas question pour eux de mégoter sur le confort et la sécurité. Même s’ils doivent procéder aux indispensables arbitrages budgétaires, ils préfèrent se serrer la ceinture sur d’autres dépenses pour pouvoir acheter des produits de qualité. C’est ce que confirme une étude de l’Institut des Mamans, une société de conseil spécialisée, selon laquelle 51 % des jeunes mamans donnent leur préférence aux produits de marque innovants et design.

Lien vers l'introduction de notre dossier : L’explosion des naissances tire le marché de la puériculture
Lien vers la partie 1 de notre dossier : un secteur en pleine mutation
Lien vers la partie 2 de notre dossier : des franchisés tirent leur épingle du jeu
Lien vers la partie 3 de notre dossier : des positionnements savamment étudiés
Lien vers la partie 4 de notre dossier : des perspectives de développement intactes


Thibault, Journaliste toute-la-franchise.com ©
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