Les franchisés Carré d’artistes de Saint-Etienne ouvrent une seconde galerie à Dijon

Depuis l’ouverture de votre première galerie Carré d’artistes à Saint-Etienne, comment se porte l’activité ?

Eh bien ! l’activité se porte bien ! Le concept plaît à la clientèle. Nous avons de bons retours et c’est le meilleur signal que nous puissions obtenir. On retrouve parmi nos clients des adeptes de la marque, notamment certains clients originaires de Lyon, mais aussi de nouveaux clients qui adhèrent totalement au projet. Ceux qui découvrent le concept sont conquis.

La ville de Saint-Etienne compte plusieurs galeries d’art et cela créé une dynamique intéressante. Après le lancement de cette première galerie l’été dernier, nous poursuivons notre développement et souhaitons étendre l’activité en misant sur son concept fort.

Pourquoi et comment avez-vous décidé d’ouvrir une seconde galerie Carré d’artistes ? 

Tout d’abord car être franchisé Carré d’artistes est plaisant, c’est un projet que l’on aime particulièrement. L’atmosphère et l’univers que la marque a su créer en font un super métier ! 

Avec notre première galerie, nous nous sommes rendu compte que le contact client est assez différent en comparaison à d’autres secteurs plus traditionnels, comme celui de la restauration par exemple.

Avec la gestion bien huilée de notre première galerie à Saint-Etienne, les voyants étaient au vert pour en ouvrir une seconde !

Pourquoi la ville de Dijon ? Qu’est-ce que cela représente pour vous ?

Bonne question ! Tout d’abord car Dijon est une ville remplie d’histoire. La capitale des Ducs de Bourgogne ne compte pas (ou très peu) de galeries d’art. 

Ensuite, c’est pour nous le moyen de fournir un « pied à terre » aux nombreux artistes Dijonnais et de leur donner une certaine visibilité. 

Enfin, nous connaissons bien Dijon du fait de nos activités professionnelles. Cela nous permettra d’appréhender plus facilement la réalité du terrain, notamment pour la communication et l’animation de la galerie. 

Dijon représente alors le terrain de jeu idéal pour installer le concept.

Avec le recul de la première ouverture, que feriez-vous différemment ? Quelles leçons avez-vous apprises ? 

Nous avons appris l’art, rien que ça ! Au départ, nous avions peu de connaissances sur le sujet. L’expérience de la première galerie et la formation nous ont permis de comprendre les techniques de vente. Car chez Carré d’artistes, on vend de l’émotion.

Nous avons aussi compris l’importance d’avoir une relation de proximité avec les artistes. Nous sommes le relai entre la création artistique et le client qui recherche une œuvre d’exception. Et nous prenons ce rôle très à cœur.

Comment Carré d’artistes vous accompagne dans cette ouverture ? Quelles sont vos attentes ?

Au-delà de l’accompagnement quotidien, nous retenons deux points principaux : l’artistique et le recrutement. L’enseigne nous accompagne et nous conseille pour composer nos équipes de vente ; c’est l’un des piliers de la réussite.

Avec son service artistique, Carré d’artistes nous propose des sélections d’œuvres clés en main qui impressionnent les clients. Il n’est pas rare de voir ces derniers nous demander d’un air ébahi : "C’est vous qui faites les sélections artistiques ?". L’enseigne apporte donc une réelle valeur ajoutée dans ce domaine.

En tant que multi-franchisés, comment envisagez-vous le futur de votre collaboration avec l’enseigne ? Quelles sont les perspectives de développement ?

Notre objectif est de se développer à l’échelle régionale, en ciblant par exemple des villes comme Annecy ou Grenoble, de manière à créer une synergie entre les galeries qui viendront se greffer au réseau global.

Que mettez-vous en place pour communiquer efficacement ?

La communication, notamment digitale, joue un rôle majeur dans le lancement d’une activité. Et avec un projet comme celui-ci, les opportunités sont grandes.

Fred Paillet, l’un de nos associés, assure notre présence sur les réseaux sociaux, principalement sur Facebook et Instagram, en postant au moins deux actualités par semaine. 

De cette manière, nous communiquons avec les clients mais aussi avec les artistes. C’est un outil de proximité qui nous permet de mettre en avant les artistes avec équité.

A termes, nous souhaitons pouvoir varier les canaux et diversifier les contenus. Par exemple, le journal Le Progrès a prévu une communication régionale pour notre galerie de Saint-Etienne en mars et en novembre.

Nous avons encore des choses à apprendre. Nous travaillons de pair avec le Service marketing de Carré d’artistes qui nous accompagne et nous aide à élaborer une stratégie de communication en accord avec le concept et le positionnement de la marque.

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