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Interview du franchisé Silog de Seine-Saint-Denis : " Aujourd’hui j’ai dépassé mes objectifs"

Publié le

Jérémy Carini est franchisé du réseau Silog Location en Seine-Saint-Denis depuis le mois de septembre 2016. Pour Toute la franchise, il a accepté de revenir sur son parcours et son intégration au sein de l'enseigne spécialisée dans la location longue durée de véhicules et matériels de TP aux entreprises n'ayant pas accès au crédit bancaire.

Jérémy Carini, franchisé Silog LocationToute la franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Jérémy Carini : J’ai 29 ans, et après un master en finance, j’ai travaillé pendant plusieurs années au sein de grandes banques françaises. J’ai eu la chance de faire un métier qui me plaisait beaucoup. Mon rôle : accompagner le développement financier des entreprises.

Malgré tout, j’ai toujours voulu me lancer, et devenir, comme mes clients, chef d’entreprise. J’ai trouvé à travers SILOG LOCATION, une solution pour rester en contact avec le monde de l’entrepreneuriat, tout en étant moi-même entrepreneur.

TLF : Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?

JC : Silog propose un concept original : nous permettons à de jeunes sociétés, ou à des entreprises en difficultés d’exercer et de développer leur activité alors même qu’elles ne sont pas finançables.

Avant de rencontrer Silog Location, j’ai étudié et cherché de nombreux projets, et c’était le seul qui correspondait à l’ensemble de mes attentes. J’ai choisi de me franchiser sans hésitation, puisque j’ai compris que je ne pouvais pas réaliser cette activité sans l’aide d’un franchiseur, qui m’apporte un cadre de travail, et qui me conseille sur les bonnes pratiques du métier. La franchise est pour moi comme un mentor qui vous guide dans votre développement. Sans le franchiseur, je n’en serai pas là aujourd’hui, sans aucun doute.

TLF : Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?

JC : Je considère que j’étais dans la profession avant de me lancer, puisque je proposais à mes clients de la location de véhicules lorsque je travaillais en banque. Mais SILOG a une valeur ajoutée : ils ont le pouvoir de dire oui sur des dossiers que les banques n’acceptent pas. Ce sont des magiciens !

TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?

JC : Je suis en contact quotidiennement avec les dirigeants, ou avec l’équipe Silog. Petit à petit, je monte en compétence et je gagne donc en autonomie. Mais Silog est une entreprise à taille humaine, et je peux compter sur eux, en cas de besoin.

TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?

JC : Oui, ma formation a eu le mérite de mélanger de la théorie et de la pratique, et elle m’a clairement aidé à me lancer. Evidemment, la véritable formation est celle du quotidien, et je suis sûr que je continuerai d’apprendre encore pendant de nombreuses années !

TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?

JC : Absolument, le franchiseur a respecté ses engagements, je considère notre relation en « gagnant-gagnant » et je pense qu’aucune des deux parties n’a été lésée.

TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?

JC : Je suis arrivé dans un réseau très jeune, où il y avait un seul franchisé. Malgré ça, mon collègue toulousain a été très accueillant et nous avons très vite échangé, puis sympathisé ! Aujourd’hui, le réseau se développe bien et rapidement, l’ambiance est familiale. J’ai toujours beaucoup de plaisir à me rendre à des évènements organisés, pour rencontrer et échanger avec les autres franchisés.

TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?

JC : Oui, il est prévu la première année de décrocher 4 à 5 contrats par mois. Mon objectif a été respecté dès le second mois d’activité. Aujourd’hui j’ai dépassé mes objectifs.

TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?

JC : Afin de développer le chiffre d’affaire de l’entreprise, il y a d’abord un travail de prospection sur la zone, afin de se faire connaître et de développer des partenariats. Puis nous nous devons d’être réactifs et à l’écoute de nos clients, pour qu’ils soient satisfait et que le réseau se développe petit à petit.

TLF : Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?

JC : La LOA pèse pour 57% des financements des véhicules neufs et d’occasion. De plus les banques sont très restrictives dans leur soutient aux créateurs d’entreprise. Notre offre répond donc à un réel besoin et nous sommes sur un secteur très peu concurrentiel.

TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?

JC : Avant de me lancer, j’avais effectué une étude de marché. J’estimais qu’il y avait un marché, mais la réalité a dépassé mes prévisions.

TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?

JC : Je ne pense pas, puisqu’il faille une réelle connaissance du secteur pour se développer. En tout état de cause, je n’aurais jamais pu me développer aussi rapidement sans eux.

TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?

JC : Oui ! sans aucun doute !!

TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?

JC : Pour réussir dans ce métier, je conseille aux candidats d’avoir un capital important, afin de pouvoir développer l’activité rapidement. Puis il faut indéniablement une fibre commerciale pour entretenir une bonne relation client. A noter qu’une partie importante du travail est administratif, il faut donc de la rigueur et de la méthode.

Enfin, il faut être sympathique, parce qu’il est indispensable de travailler dans la bonne humeur !

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