“Il faut foncer...”, Sophie TORNE, franchisée Depil Tech
Après plus de dix ans d’expérience dans le secteur de l’esthétique, Sophie TORNE a choisi de se lancer en franchise avec Depil Tech.
Publié le 05/08/2025 , Temps de lecture: 2 min
Un virage professionnel assumé, guidé par l’envie d’évoluer, de gagner en autonomie et de faire rayonner son propre centre. Elle nous raconte son parcours, ses motivations et les clés de sa réussite.
Depuis combien de temps évoluiez-vous dans ce secteur d’activité avant de devenir franchisé ?
Sophie TORNE : 11 ans
Qu’est-ce qui vous a motivé à passer du statut de salarié à celui de franchisé dans un secteur que vous connaissiez déjà bien ?
Le concept, l’enseigne, l’idée d’avoir une évolution avec l’arrivée du laser. Devenir ma propre patronne, connaissance des salariés, des clientes.
En quoi votre expérience antérieure dans ce secteur vous a-t-elle aidé lors de la création ou de la reprise de votre franchise ?
De savoir bien connaître les protocoles pour accompagner mon équipe. De connaître la clientèle et les actions à mettre en place pour faire parler du centre. Et surtout ma présence régulière pour motiver mon équipe !
Quelles sont, selon vous, les principales différences entre travailler comme salarié et diriger une entreprise en franchise dans ce secteur ?
Plus de responsabilités et de gestion administrative en tant que gérante. Écoute des salariés, mise en place de challenges selon les mois. Se faire connaître localement, chercher des partenariats. Beaucoup plus de challenges personnels pour ma part.
Avez-vous été surpris de certains aspects en prenant la casquette de chef d’entreprise ?
Aucun.
Quelles difficultés avez-vous dû surmonter pour devenir chef d’entreprise ?
De passer de collaboratrice à gérante vis-à-vis des salariés, plus de réunions pour pallier ce changement.
Comment votre franchiseur vous a-t-il accompagné dans cette transition
Parfaitement !
Quels sont les pièges ou idées reçues à éviter lorsqu’on pense tout connaître du secteur en tant qu’ex-salarié ?
Rester à l’écoute et être vigilante.
Quels conseils donneriez-vous à un salarié qui hésite à se mettre à son compte sur son secteur d’activité ?
Il faut foncer, sans aucun regret pour ma part, juste de ne pas m’être lancée plus tôt !
Rania Souayah, writer