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Jean-Yves CHICHEPORTICHE

SAINT FERDINAND

Jean-Yves CHICHEPORTICHE

Co fondateur du réseau Saint Ferdinand

Franchise SAINT FERDINAND

Les chiffres de ce réseau :

  • - Date de création : 1994
  • - Date de lancement de la franchise : 2011
  • - Nombre d’implantations : 6
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Interview de Jean-Yves CHICHEPORTICHE

Publié le
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Co-fondateur du Groupe Saint Ferdinand, Jean-Yves Chicheportiche a fait le pari avec Stéphane Trihan de spécialiser leur réseau dans l’immobilier de standing familial et bourgeois de l’ouest parisien. Enseigne immobilière de référence, Jean-Yves Chicheportiche revient pour nous sur le succès de leur concept.

Un réseau immobilier haut de gamme

Toute la franchise : Pouvez-vous nous retracer vos parcours personnels et la naissance de votre concept ?
Jean-Yves CHICHEPORTICHE : Nous sommes des amis d’enfance depuis l’âge de huit ans. J’ai fait l’École Supérieure des Professions Immobilières et Stéphane a fait des études de Droit. Tout en suivant des parcours différents, nous nous sommes retrouvés dans un même univers L’IMMOBILIER.
Pour ma part ce fut en agence immobilière traditionnelle dans le 17ème et Stéphane au service d’un grand nom de la franchise immobilière.
Nos deux expériences conjuguées nous ont amenés à créer notre première agence rue Saint Ferdinand. Ainsi est né notre concept.

T.L.F
: Pourquoi l’ouest parisien ?
J.C.. : Depuis le départ, nous avons voulu travailler dans le secteur de l’immobilier familial et bourgeois qui correspond parfaitement à l’ouest parisien.
De plus, étant nés dans le 17ème, et ayant une parfaite connaissance de ces quartiers, il nous a paru naturel d’ouvrir notre première agence rue Saint Ferdinand.

T.L.F : Quelle est votre concurrence ?
J.C.. : Nos concurrents sont avant tout les agences locales bien implantées telles que SADONES, BARNES, BRETEUIL ou CONSULTANT IMMO. Nous ne sommes pas concurrencés par les grosses franchises type CENTURY, LAFORET, ERA qui sont plus généralistes et sur un créneau d’immobilier moyenne gamme.

T.L.F : Pour quelles raisons avoir choisi la franchise comme mode de développement ?
J.C.. : Forts de la réussite de nos 6 agences durant ces 15 années sur un même concept, nous voulions nous développer. La rencontre avec Charles SEROUDE, grand nom de la franchise (plus de 200 réseaux de renom à son actif en 40 ans d’expérience), a été l’élément déclencheur puisqu’il a été convaincu par notre savoir-faire.

T.L.F : Votre concept est-il exportable à d’autres villes de France ? A d’autres capitales d’Europe ?
J.C.. : Oui le concept est exportable, car l’immobilier familial et bourgeois s’adapte à toutes les grandes villes de France et capitales d’Europe. Néanmoins notre objectif à moyen terme est de nous développer à Paris et ses banlieues résidentielles.

T.L.F : Quels sont les objectifs de progression de votre réseau à moyen/long termes ?
J.C.. : Une centaine de franchisés dans les 5 ans

Une forte identité de groupe

T.L.F : Quel profil de candidat privilégiez-vous ?
J.C.. : Entre 30 et 50 ans, ayant une stature suffisamment étoffée, sachant travailler en équipe et possédant un esprit de groupe. Sa présentation doit être soignée et l’élocution aisée.

  • Cadres supérieurs voulant tenter l’aventure de chef d’entreprise dans le métier de l’immobilier
  • Femmes actives ayant mis leur carrière de côté pour élever leurs enfants voulant retravailler
  • Commerciaux ambitieux voulant se lancer.

T.L.F : Mettez-vous en œuvre une procédure de sélection ?
J.C.. : Oui et selon deux étapes. En premier lieu, un candidat est sélectionné sur son profil, à savoir ses compétences de base, son aisance orale et son entregent. Nous attachons une attention particulière à la qualité de la présentation qui est un élément distinctif de SAINT FERDINAND. Par la suite, ses aptitudes sont vérifiées et confirmées par la formation, laquelle lui donne toutes les clés de la réussite.

T.L.F : Quelle est la durée de la formation ? Comment est-elle personnalisée ?
J.C.. : Entre 4 et 6 mois. Une formation soutenue, volontairement pratique et proche du terrain. C’est au terme de la formation que chacun l’adaptera en fonction de sa personnalité.

T.L.F : Pour un nouveau franchisé, à combien s’élève l’investissement de départ ?
J.C.. : Hors droit au bail et fond de roulement, l’investissement est de l’ordre de 90 000 €.

Place à la synergie entre franchisés

T.L.F : Qu’attendez-vous de vos franchisés ?
J.C.. : Qu’ils possèdent un esprit de groupe, qu’ils soient volontaires et ambitieux, dotés d’une présentation irréprochable et animés du désir de réussir.

T.L.F : Comment les soutenez-vous au quotidien ?
J.C.. : Nous distinguons deux phases d’intervention. La 1ère année le franchisé sera ultra encadré et soutenu pour espérer un démarrage rapide et réussi jusqu’à l’atteinte de ses objectifs. En 2ème phase, il bénéficie d’un encadrement régulier pour une optimisation de ses résultats.

T.L.F : Comment encouragez-vous la synergie entre les agences ?
J.C.. : Le concept SAINT FERDINAND est basé avant tout sur la synergie entre franchisés. En effet, aujourd’hui 30 à 40% de notre chiffre d’affaires est réalisé grâce aux Inter-Cabinets au sein du groupe.

T.L.F : Comment s’organise la relation franchiseur / franchisé ?
J.C.. : C’est une relation qui se veut gagnant/gagnant. Pour cela, il faut que toute décision bonne pour le franchiseur, le soit aussi pour le franchisé (et réciproquement). Bien entendu tout ceci doit être fait dans la transparence. Priorité est donnée à la qualité de la communication.

Nos interviews sont la propriété de Toute la Franchise et sont destinées à la diffusion exclusive sur les sites du Groupe Toute la Franchise






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