Interview de David Cazalis

David Cazalis vient de rejoindre, le 27 février dernier, les rangs des franchisés Affair’s. Alors qu’il prépare l’ouverture de son magasin à Bordeaux Mérignac pour le mois de mai, le franchisé nous explique ce qui l’a séduit au sein de l’enseigne.

Toute La Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
David Cazalis : J’ai 38 ans et deux enfants, et je sors de onze années dans la grande distribution, dont six en tant que directeur magasin.

TLF : Pourquoi avoir choisi de vous lancer en franchise ?
D.C. : J’ai l’envie d’entreprendre depuis de nombreuses années. J’ai décidé de me lancer fin 2012 dans la création d’entreprise. Après avoir travaillé seul sur des projets, je me suis aperçu qu’actuellement, pour bâtir de bonnes fondations, il fallait être bien épaulé. Je me suis donc renseigné sur plusieurs enseignes, plusieurs métiers, pour arriver à la rencontre avec Georges et Richard Kaladjian. Une rencontre humaine entourée d’une confiance et d’une envie commune de réussir. Leur métier, ainsi que cette relation “familiale”, ont fini de me séduire.

TLF : Avez-vous étudié la concurrence ? Si oui, quels atouts particuliers ont retenu votre attention au sein du réseau Affair’s ?
D.C. : J’ai bien sûr beaucoup navigué sur le net, ainsi que visité des enseignes dites concurrentes. Le réseau AFFAIR’S m’a attiré par la qualité de ses dirigeants et du concept qui mélange une partie achat par centrale que je connais bien, ainsi que l’achat auprès des particuliers. Le dynamisme de Georges et Richard Kaladjian et de leur enseigne, leur mode de fonctionnement collégial ont appuyé mon choix de départ.

TLF : Quel accompagnement vous a apporté votre franchiseur dans votre projet ?
D.C. : Un accompagnement bien sûr technique, mais aussi humain, aspect non négligeable lors du chemin compliqué vers la création d’entreprise.

C’est un accompagnement qui continue aujourd’hui, fort de leur expérience dans l’établissement de magasin.

TLF : Quel type de soutien et d’assistance attendez-vous de la part d’Affair’s par la suite ?
D.C. : J’attends d’AFFAIR’S que cette relation franchisé/franchiseur continue comme elle existe aujourd’hui. J’espère leur apporter mon savoir-faire ainsi que mon envie et ma détermination à réussir. Et donc en retour, j’attends la même chose de la part de Georges et Richard Kaladjian.

Aujourd’hui je suis convaincu que nous sommes au début d’une aventure humaine qui se conclura par une réussite économique.