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Jean-Luc Austruy

PAELLITO

Jean-Luc Austruy

Fondateur de Paëllito & Co

Franchise PAELLITO

Les chiffres de ce réseau :

  • - Date de création : 2002
  • - Date de lancement de la franchise : 2010
  • - Nombre d’implantations : 1
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Interview de Jean-Luc Austruy

Publié le
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Jean-Luc Austruy est l'un des fondateurs de la franchise Paëllito & Co. Il évoque avec Toute La Franchise le développement de son enseigne.

Toute La Franchise : Comment est venue l'idée de Paëllito & Co ?
Jean-Luc Austruy :
Je suis à la tête d'une unité fabriquant des plats cuisinés frais sous vide depuis 1988. En 2002, un commerçant albigeois a eu l'idée de commercialiser de la paëlla prête à cuire à emporter, en prêtant aux consommateurs le matériel pour la cuire : poêle, bruleur et gaz. Il s'est donc naturellement tourné vers nous pour la mise au point d'une base produit spécifique, et c'est comme ça que la boutique a commencé. Nous étions intéressé par le développement du concept, mais il fallait le marketer, le retravailler. Puis le créateur de la boutique l'a cédée à un nouvel arrivant, qu'il a d'abord fallu convaincre de relooker le magasin, de créer d'autres produits pour varier l'offre et l'exporter : voilà comment Paëllito & co est né.

TLF : Quels sont vos atouts par rapport à la concurrence ?
JLA :
On pourrait voir de la concurrence avec les personnes qui proposent des produits vendus chauds, ou même avec les traiteurs, mais notre concept est complètement différent. Nous proposons des produits crus et sécurisés : le client est libre de le préparer et de le manger quand il veut, où il veut, à minuit dans son jardin s'il le souhaite, sans avoir un traiteur pour "l'embêter". De plus, il se sent valorisé car il prépare lui-même le plat, avec la satisfaction du fait-maison.
Quant au franchisé, il peut avoir plusieurs repas le même soir, puisqu'il ne se déplace qu'en cas de grosse commande. Le reste du temps, le consommateur est autonome, après avoir eu les explications pour utiliser le matériel et les produits.

TLF : Où en êtes-vous de votre développement et quels sont vos objectifs ?
JLA :
Nous n'avons pour le moment que la boutique pilote d'Albi. Nous nous développons en franchise depuis janvier dernier, et nous visons les villes moyennes, de type préfectures ou sous-préfecture, les métropoles régionales mises à part puisque nous les rediviserons. Paëllito & Co représente une clientèle de fin de semaine, nous devons donc être là où elle vit et non là où elle travaille, c'est-à-dire en périphérie de ces grandes villes qui demanderont 3 ou 4 Paëllito.
Nous n'avons pas de nombre limite d'implantations, et nous livrons dans toute la France, même si dans un premier temps, il serait peut-être mieux de commencer par le sud-ouest. Mais si le candidat est à Saint-Etienne, pourquoi pas !

TLF : Quel doit être le profil de vos franchisés ?
JLA :
Dans l'idéal, nos franchisés seraient à la fois commerçants et commerciaux. Paëllito est un commerce, mais l'accueil se fait surtout le week-end. Donc le reste de la semaine, il faut faire beaucoup de prospection, notamment auprès de la clientèle associative. Car autant le client particulier vient tout seul, grâce au bouche-à-oreille, autant les associations ont besoin d'être visitées, suivies, et c'est là qu'intervient l'âme de commercial. Je ne vois pas une boutique vivre avec seulement une personne qui resterait derrière son comptoir.
D'autre part, il n'est pas forcément nécessaire de venir des métiers de bouche, puisque les produits arrivent pratiquement prêts. Par contre, avoir du bagou, être impliqué dans le tissu associatif local, aimer la fête, sont des "plus" non négligeables pour se mettre dans l'esprit de ces familles, ces amis, ces associations qui se réunissent en fin de semaine.

TLF : Quelle formation proposez-vous à vos franchisés ?
JLA :
La formation se déroule en une semaine à Albi : la première partie a lieu à l'usine, pour savoir d'où viennent les produits et comment ils sont fabriqués. Puis suit une formation au magasin, pour voir comment monter les produits, les présenter… Pour compléter cela, peut-être ajouterons-nous une formation avec un vétérinaire pour évoquer la partie hygiène.
Lors de l'ouverture de son point de vente, le nouveau franchisé bénéficiera de l'aide du responsable d'Albi pendant quelques jours pour l'aider à se lancer. Si des formations complémentaires sont nécessaires, nous verrons au cas par cas, en fonction de l'expérience des franchisés.

TLF : Le franchisé Paëllito & Co peut-il commencer seul ?
JLA :
Normalement, le point de vente doit pouvoir tourner avec une seule personne au départ. Mais l'activité est assez saisonnière, l'été est bien plus chargé que le reste de l'année. Certains week-ends, le franchisé devra peut-être se faire aider, ou embaucher un extra. Mais le plus de l'enseigne, c'est que, tout en restant dans un métier de bouche, les franchisés peuvent se faire leurs horaires, avec éventuellement des semaines plus "light", et ainsi garder une vie privée agréable.

TLF : Quel chiffre d'affaires peut-il viser ?
JLA :
La boutique pilote génère un chiffre d'affaires annuel d'environ 150 000€. Mais tout dépend de la ville et de la personnalité de la personne qui s'occupe de la gestion. A Albi, le responsable fait peu de prospection, et fonctionne plutôt au bouche-à-oreille. Mais le point de vente a eu droit à un relooking, et accepte désormais chèques restaurant et cartes bancaires, ce qui va probablement booster son chiffre d'affaires. De plus, nous ne faisons plus seulement de la paëlla. Paëllito est devenu Paëllito & Co, et nous proposons d'autres plats complets faciles à partager, avec toujours la même façon de cuire : couscous, cassoulet, tartiflette, chili… Car nous pensons qu'un client content, et surtout les associations qui organisent plusieurs manifestations dans l'année, doit pouvoir avoir plusieurs propositions de plats pour avoir envie de revenir.

TLF : Quel est le "plus" de votre enseigne ?
JLA :
Nous voulons réellement satisfaire la clientèle, qui vient chez nous car elle a quelque chose à fêter, et ne veut pas être déçue. Nous avons très rarement des critiques, au contraire, les gens nous remercient, et c'est cette image que l'on veut cultiver. Nous voulons également cultiver une image de professionnalisme, surtout au niveau de l'hygiène.
Enfin, ouvrir un Paëllito & Co représente un certain investissement, mais il s'agit d'un métier qui tourne autour de l'alimentaire sans pour autant demander la gestion parfois compliquée d'une grande équipe. Paëllito & Co offre une activité plutôt sympathique, tournée vers la fête et le contact humain.

Laurence, Journaliste Toute la Franchise©

Nos interviews sont la propriété de Toute la Franchise et sont destinées à la diffusion exclusive sur les sites du Groupe Toute la Franchise.


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