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Interview : La franchise est précieuse pour trouver le bon local et financer son projet

Témoignage croisé de deux franchisés Ucar et Irrijardin

Publié le

Dans le cadre de l’atelier « Mon métier ? Franchisé ! » organisé lors du Forum Franchise Lyon 2015, des franchisés des réseau Ucar et Irrijardin étaient invités à témoigner de leur expérience de franchisés (cf. « Mon métier ? Franchisé ! » : Le nouvel atelier du Forum Franchise Lyon).


Thibault Forgeur, franchisé Ucar à Villefranche-sur-Saône, et Raphaël Destremau, franchisé Irrijardin à Craponne, tous deux en activité depuis un an et demi, ont ainsi pris la parole pour revenir sur leur parcours d’entrepreneur franchisé, de leur choix d’intégrer un réseau pour créer une entreprise en franchise aux conseils qu’ils donneraient aux entrepreneurs qui souhaitent, tout comme eux, se lancer dans l’aventure de l’entrepreneuriat en franchise.

La création d’entreprise, Raphaël Destremau y pensait depuis longtemps pour, explique-t-il, « créer un projet, le faire grandir et avoir la main sur ma destinée ». Cependant, il admet qu’il n’avait pas envisagé la franchise avant de rencontrer, « dans un cadre informel », le franchiseur Irrijardin. « J’ai vite compris que ce serait une façon de monter mon entreprise », rapporte le franchisé. Les contacts suivants avec le franchiseur ont fini de le convaincre.

Pour Thibault Forgeur, qui a ouvert son agence de location de voitures Ucar en association avec son frère, créer son entreprise en franchise rimait avec « être son propre patron ». Après plusieurs années de salariat dans l’univers de la location de voiture, il aspirait à voler de ses propres ailes. Le choix du réseau Ucar pour être accompagner dans ce projet ne s’est pas fait par hasard, les deux associés ont été séduits par le positionnement low-cost du concept Ucar. « Nous souhaitions s’installer sur Lyon, livre l’entrepreneur. Nous avions le choix entre trois franchiseurs et avons choisi Ucar qui prône le low-cost en France ».

Financement, local, formation : L'accompagnement du franchiseur est essentiel


A la question de savoir s’ils auraient pu créer leur entreprise seul, Thibault Forgeur est formel : « vous pouvez créer votre propre affaire si vous êtes millionnaires ». Il étaye son propos en expliquant que pour « financer une flotte de 15 véhicules, qui valent entre 15000 et 300000 euros chacun, du jour au lendemain, et pouvoir commencer à travailler, l’accompagnement du franchiseur est pour nous essentiellement ».

Pour Raphaël Destremau, le premier apport de la franchise réside dans la formation. Notamment pour gérer un magasin Irrijardin. « C’est un métier qui est assez technique » atteste le franchisé qui explique avoir pu profiter d’une formation de quasiment 5 mois au siège du réseau.

La recherche du local et l’aide au montage du business plan font aussi partie des avantages d’entreprendre en franchise selon Raphaël Destremau comme pour Thibault Forgeur. Ce dernier assure que l’objectif du franchiseur est la réussite de ses franchisés. A ce titre il apporte ses précieux conseils, notamment pour la réalisation du business plan. « Le franchiseur ne va pas vous laisser aller voir une banque avec un business plan qui ne tient pas la route », certifie Thibault Forgeur avant d’ajouter : « si le franchiseur valide votre business plan c’est que le banquier va le valider ». Même constat pour la recherche de local : « Le franchiseur ne va pas nous laisser nous installer dans un coin de rue où il n’y a pas de business potentiel ».

Pour Raphaël Destremau aussi, l’accompagnement de son franchiseur dans le choix du bon emplacement a été capital. « Le choix du local a été pour moi une des plus grosses difficultés, se souvient-il. Dans mes critères je n’aurais pas choisi le local que j’occupe aujourd’hui. La franchise m’a orienté vers ce choix qu’aujourd’hui, évidemment, je ne regrette pas. » Il explique que son franchiseur l’a encouragé à choisir un emplacement avec « un droit au bail un peu élevé ». « Ils m’ont encouragé à prendre ce risque, comme ils m’ont encouragé à recruter quelqu’un en CDI ». Une prise de risques qu’il n’aurait pas assumée seul et qui, il l’admet aujourd’hui, « porte ses fruits ».

Parmi les autres écueils qu’il a pu rencontrer en tant que chef d’entreprise, il cite « les difficultés de trésorerie qui font qu’il y a des moments où c’est plus compliqué de payer ses traites ». Et là encore, faire partie d’un réseau de franchise permet de bénéficier d’un soutien, notamment par la banque qui se positionne en véritable partenaire. Un constat partagé par Thibault Forgeur pour qui « la banque suit beaucoup plus facilement si elle sait qu’il y a un réseau derrière et un franchiseur ».

Lui aussi souligne l’intervention positive de son franchiseur dans la recherche de local. « Trouver un bon endroit avec un bon potentiel, c’est le principal dans mon métier, soutient le loueur. Et pour ça le franchiseur nous aide ». En s’appuyant sur ses 15 années d’expérience dans la location de véhicules, il avait repéré un local convenait parfaitement pour ouvrir son agence. Pourtant, « le franchiseur m’a prouvé en 2 heures que c’était une erreur, confesse-t-il. Et il avait raison. Nous avons choisi un tout autre local dans un tout autre endroit et je l’en remercie encore. »

C’est donc sans surprise que les deux franchisés conseillent aux jeunes créateurs d’entreprise de se pencher sérieusement sur l’emplacement de leur future activité. « Ne pas hésiter à surinvestir dans le local, proclame Raphaël Destremau. Pour moi ça me parait fondamental. Une fois de plus l’emplacement reste primordial. »

Même son de cloche du côté de Thibault Forgeur qui modère cependant ce propos : « le surinvestissement. Oui. » Mais en prenant en compte que le franchiseur « ne connait pas toutes les régions de France » ni « les caractéristiques de chaque ville ». Pour le chef d’entreprise, « il faut quand même avoir son ressenti personnel par rapport au potentiel de l’endroit, de la région. Ne pas se lancer les yeux fermés par rapport à ce que nous dit le franchiseur ».

Les franchisés : première richesse du réseau


C’est aussi pour cette raison que tous deux préconisent d’aller rencontrer les franchisés du réseau. « Dans un réseau il y a le franchiseur mais aussi tous les franchisés et c’est un trésor de conseils » assure Raphaël Destremau qui explique avoir fait cette démarche « avant même de signer [son] contrat de franchise ». Une initiative essentielle dans la réussite du projet : « J’ai eu beaucoup d’aide spontanée et de conseils pour l’ensemble de décision que je devais prendre en amont. Cela permet d’avoir les échos de l’ensemble des franchisés et de créer des liens qui restent, même après avoir ouvert. » Bien sûr, « il ne faut pas aller voir que les franchisés sur lesquels le franchiseur nous a aiguillé », précise son confrère.

Au final, ni l’un l’autre ne regrette son choix de devenir franchisé. « Je ne connaissais pas du tout le fonctionnement d’une franchise avant de rencontrer Irrijardin, témoigne Raphaël Destremau. Je me rends compte que cela m’a permis de créer mon entreprise très facilement, de faire mon business plan, d’obtenir l’accompagnement de la banque. Je suis en avance sur mon prévisionnel et, surtout, j’ai des perspectives hyper encourageantes. Donc, évidemment, je n’ai pas de regrets et, au contraire, je suis plein d’énergie pour la suite. »

Pas de regrets non plus pour Thibault Forgeur pour qui « c’est un bonheur de savoir que l’on est son propre patron, d’avoir son propre business. C’est ce qui nous qui nous donne des ailes et nous motive à travailler car, comme vous pouvez vous en douter : on ne compte pas nos heures ». Lucide, il tient tout de même à rappeler que « quand on est franchisé indépendant ça veut dire qu’on est petit ». Aussi, il faut faire particulièrement « attention aux dépenses ».



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