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La génération Z naturellement connectée et optimiste !

Moins rebelles que les GenY, les GenZ sont des émotifs

Publié le

Après la génération Y désenchantée et rebelle, la génération Z (née après 1996) s'annonce hyper-connectée, solidaire et curieusement optimiste. Portrait !

generation z Les sociologues, les marketers et les services RH sont globalement d'accord : la génération Z, encore appelée génération C (Communication, Collaboration, Connexion et Création) se distingue nettement de la génération précédente, la fameuse génération Y. Et très curieusement, les jeunes nés après 1996 se rapprochent plus de leurs ainés de la génération X (nés entre 1959 et 1981), que de la génération Y (nés entre 1981 et 1996). Pourquoi ?

En fait selon les spécialistes de la question, les jeunes de la génération Z ont toujours connu la crise et le chômage. Ils ne sont donc pas nostalgiques, par la force des choses, de temps plus faciles. Ils n'ont pas non plus connu le temps où tout l'équilibre mondial se jouait autour du choc des blocs de l'Est et de l'Ouest. Leur vision du monde est donc radicalement différente des générations précédentes, plus pacifistes et solidaires, plus lucides aussi.

Dernier point particulier : si cette génération a grandi avec la technologie comme la précédente, cette technologie est surtout marquée par le Web Social ! Ultra connectés, les jeunes Z croient fondamentalement que tout le monde a sa chance si tant est que l'on sache la saisir.

Pour la génération Z, le participatif joue à plein son rôle de découvreur de talent. Entre notoriété perso et système D mâtiné d'un esprit d'entreprise farouche, un curieux cocktail !

Un optimisme de circonstance !

Sur le principe du « aide toi, le ciel t'aidera ! » ou du « on n'est jamais mieux servi que par soi-même », les jeunes de la génération Z sont curieusement optimistes de nature. Ont-ils franchement le choix d'ailleurs ?

Pas vraiment. Ceux là ont de fait commencé dans la vie avec un handicap certain : ils ont toujours plus ou moins subit la crise, l'avenir professionnel bouché, le chômage, les petits boulots. Tous ces ingrédients façonnent leur quotidien depuis l'enfance. La chose est donc « normale », et au lieu de se lamenter sur un passé bien plus facile « que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre », les jeunes de la génération Z vont de l'avant. C'est sur ce point là que les Z s'opposent au Y : ils ne sont pas nostalgiques comme leurs ainés. Comment pourraient-ils l'être d'ailleurs puisqu'ils n'ont jamais connu le temps béni du plein emploi et de l'hyper-consommation.

Propulsés dans l'âge adulte au plus tôt, les jeunes Z sont très conscients que notre société n'a rien d'une sinécure. Ils ont vécu de plein fouet l'emballement et les dérives du crack de 2008. Un moment clé qui a mis en exergue toutes les contradictions du monde de l'argent et du pouvoir. Ils ont de ce fait un regard lucide sur le monde réel, tel qu'il est. Désabusé et critique bien sûr... surtout concernant le monde de l'argent, mais aussi sur l'école. Quand eux sont de plain pied dans le 21e siècle avec un objet connecté toujours à portée de main, l'éducation se traîne avec des ordinateurs hors d'âge à peine connectés à internet. Le décalage est brutal ! Et la certitude que de toutes façons, l'école ne leur donnera pas de débouchés professionnels s'entérine.

Les jeunes Z sont du coup persuadés que la solution menant à un avenir radieux dépend en grande partie d'eux. Bercés par l'auto-entrepreneuriat, rien ne leur fait peur. L'initiative est à portée de main. « Aide toi, le ciel t'aidera » disions nous plus haut... cela résume bien l'état d'esprit des jeunes de la génération Z. Enfin, pas tout à fait, car en effet, les jeunes Z ont plus d'un tour dans leurs poches !

La communauté comme marque de fabrique

Bien conscients qu'ils devront se débrouiller seuls, les jeunes Z misent sur la communauté. Adeptes des forums, de Youtube, de Twitter, Facebook, Instagram et consort, les jeunes de la génération Z manient les réseaux sociaux de façon instinctive. Pour pallier à l'école, ils se forment via des « tuto » en ligne. Ils bidouillent des solutions pour arriver à leurs fins, et partagent leurs trouvailles avec leurs amis virtuels. Et ce système D social poussé à l'extrême fait merveille ! Très tôt, l'envie de créer leur propre emploi les taraudent. Et ils y mettent toute leur énergie !

Les idées fusent et ces idées là, sont naturellement empreintes de web social pour être remarquées... par le web social. En cela réside justement la force de la génération Z. Ils naviguent et surfent comme des poissons dans l'eau sur toutes les nouvelles tendances participatives et collaboratives. Aux premières loges d'une société en mouvement, ils s'amusent à créer de nouveaux modèles.

Et ce sont justement ces nouveaux modèles qui brilleront demain, enterrant du même coup les chasses gardées d'aujourd'hui détenues par leurs ainés. Déjà de nombreux exemples de « baby » entreprises s'illustrent sur la toile. Hyperactifs et réactifs, les jeunes de la génération Z ont du culot. Ils profitent de la visibilité maximum qu'ils peuvent retirer du web social pour avancer leurs pions.

Un tempérament paradoxal

Insouciants et lucides à la fois, optimistes et culottés, avides de reconnaissance, solidaires et sélectifs, idéalistes aussi mais désabusés, les jeunes de la génération Z sont pétris de paradoxes ! Une cible délicate à cerner ?

Pas tant que cela ! En effet, les jeunes de la génération Z sont des affectifs. Ils aiment qu'on leur laisse la bride sur le cou pour mieux imaginer et créer notre monde de demain. Pour les séduire, il suffit dans la grande majorité des cas de les intéresser et de leurs donner un but, un objectif, pour qu'ils s'y attèlent sans délai et fassent des étincelles. Comme nous le disions plus haut, de façon assez paradoxale (là encore !), les jeunes de la génération Z ressemblent beaucoup à leurs aînés de la génération X nés entre 1960 et 1981. Pourquoi ?

Tout simplement parce qu'ils n'ont pas eu la chance d'avoir d'avoir tout à reconstruire comme leurs ainés les babys boomers. Souvent considérée comme la génération martyre, les X ont écopé de parents rebelles qui ont façonné notre société. Émotifs et difficiles à berner, les X sont comme les Z. Ils fonctionnent à la réassurance et à la discrétion.

Bien loin des trublions GenY, les Z font leur bonhomme de chemin dans une société qui se dessine toujours plus solidaire et dure à la fois. Et s'ils sont loin de rentrer dans le rang comme les X, ils partagent la lucidité de la réalité et s'adaptent en conséquence.
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1 commentaire
15/06/2014 04:42:41
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eric delcroix
edfrench@gmail.com
J'approuve en grande partie ce que vous écrivez au sujet de la génération Z ;) D'ailleurs, c'est votre article qui ouvrira la revue de presse hebdomadaire sur la génération z (<a href="http://generation-z.fr)" style="display:inline" target="_blank">http://generation-z.fr)</a>

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