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Le commerce alimentaire face à une mutation profonde des consommateurs

Première partie du dossier : Le commerce alimentaire est en pleine mutation.

Publié le

Selon une enquête publiée en septembre dernier par le Crédoc, le commerce alimentaire est en pleine mutation, louvoyant entre remise en question du modèle de consommation de masse, multiplication des formats de distribution de proximité, développement des ventes via internet, drives et nouveaux arbitrages.

Depuis quelques années, et à plus fortes raisons depuis le début de la crise, le commerce alimentaire assiste à une modification en profondeur des comportements des consommateurs. En comparant les chiffres d'une enquête de fond réalisée sur le sujet, successivement en 2005 et 2012, le Crédoc (Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie) a récemment rendu ses conclusions sur les dernières évolutions des comportements de consommation alimentaire des Français.


Que faut-il retenir des chiffres du Crédoc ? Quatre grands enseignements :

  1. Si les hypers et supermarchés restent les circuits les plus fréquentés par les consommateurs, leurs ventes stagnent depuis quelques années au profit des commerces alimentaires spécialisés (boucheries, charcuteries…), des magasins de surgelés et du hard-discount. La fidélité à une enseigne est ainsi mise à mal. Le consommateur reprend le pouvoir.
  2. Les consommateurs tendent aussi à diversifier leur parcours d’achat. Ils se rendent moins souvent dans chaque circuit mais fréquentent un plus grand nombre de formats de distribution (internet, drive, marché, supermarché, achat direct, petit détaillant de quartier...).
  3. Par ailleurs, ceci expliquant sans doute cela, l’attention portée au prix se renforce nettement. Les effets de la crise se mesurent à l'aune des promotions. Le consommateur devient ainsi plus opportuniste pour ménager son budget. De plus en plus le budget alimentaire est soumis à arbitrages.
  4. Et la demande en faveur d’une offre de proximité progresse. Plus humain, le commerce de proximité favorise les contacts, tout en ajoutant de la qualité, du service, mais aussi moins de tentations. De plus, des courses plus fréquentes imposent de moindres déplacements. Le renchérissement des carburants explique aussi sans doute le phénomène.

Pour aller plus loin, consultez l'enquête Crédoc sur le commerce alimentaire.

Tout le dossier :

Les hypers et supers doivent partager
Commerce alimentaire : Des profils de consommateurs bien tranchés
Critères de choix des circuits : d'abord la proximité, ensuite le prix
Commerce alimentaire : Des attentes fortes côté consommateurs

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