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Interview Astrid de la Bretesche : A la tête de 4 agences Le Comptoir National de l’Or, elle projette encore 3 ouvertures

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Astrid de la Bretesche a rejoint Le Comptoir National de l’Or en décembre 2010. Aujourd’hui à la tête de quatre points de vente de l’enseigne, la concessionnaire revient sur ses premiers pas en tant que chef d’entreprise et tout le soutien que lui a fourni le franchiseur. Elle fait également le point sur ses perspectives d’évolution avec Le Comptoir National de l’Or.

logo comptoir national de l'orToute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Astrid de la Bretesche : Je viens du secteur privé après avoir passé 12 années dans une grande entreprise française en tant que responsable marketing. Je dirige aujourd’hui 4 agences (Lyon 2 et Lyon 6, Annecy et St Etienne) et projette d’ouvrir prochainement au moins 3 nouvelles agences.

TLF : Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?

A.d.l.B. : Nous avons été mis en relation avec le franchiseur par le bouche à oreille. Nous ne connaissions pas l’activité, ce qui a nécessité l’accompagnement de professionnels établis de ce secteur. Nous n’avions pas sollicité les concurrents bien que nous nous soyons fortement renseignés sur ce secteur avant notre lancement.

TLF : Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?

A.d.l.B. : Nous n’étions pas de la profession avant de nous lancer. Nous avons changé de secteur attirés par un marché porteur et élégant et souhaitant vivre une aventure différente que celle que nous avions connu en tant que cadres de grands groupes cotés.

TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?

A.d.l.B. : Nous avons été formés sur les caractéristiques des produits et sommes maintenant accompagnés tout au long de notre activité. Nous sollicitons encore parfois la tête de réseau pour des questions réglementaires, fiscales ou légales, ainsi que pour des expertises spécifiques pour des cas particuliers. Nous confrontons nos points de vues ce qui nous amène à élaborer une réponse adaptée pour nos clients.

TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales ?

A.d.l.B. : Il s’agit d’une formation très complète et très dense qu’il est ensuite nécessaire de mettre en pratique. 80% du savoir-faire technique est transmis (notamment l’expertise de l’or et l’or investissement)- Cette formation doit s’appuyer sur un sens aigu du commerce et d’une expérience menée a bien dans le domaine de la qualité ou du respect des réglementations qui sont au cœur du dispositif de notre métier. L’échange permanent avec la tête de réseau sur l’évolution du marché m’apparait comme essentiel. Lors de la première ouverture, un animateur se rend à l’ouverture 2 jours en agence ce qui permet de régler les derniers détails.

TLF : Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?

A.d.l.B. : Les chiffres ont été largement dépassés compte tenu de la période très propice sur ce marché. Ce qui caractérise cette franchise, c’est leur capacité d’adaptation dans un marché qui évolue sans cesse.

TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?

A.d.l.B. : Nous nous appelons lorsque nous avons des questions et que cela est nécessaire. Tout cela se passe dans un esprit familial.

TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?

A.d.l.B. : Que ce soit sur le rachat d’or (expertise de bijoux en or) ou sur l’activité d’or investissement (pièces et lingots d’or et d’argent) nos attentes ont été dépassées. C’est le site internet Gold.fr qui est un vrai soutient à notre activité, un véritable moteur.

TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?

A.d.l.B. : Nous menons des actions de marketing direct ainsi que des opérations de webmarketing en collaboration avec la tête de réseau à la pointe sur ces sujets. Nous sommes toujours à l’écoute de nos clients, nous dirigeons avec une exigence de rigueur et sommes très proche de notre force de vente. Notre accueil clientèle et leur satisfaction sont au cœur de notre dispositif. Notre écoute permet une transaction adaptée au projet de chacun. Nous valorisons nos clients qui sont porteur de notre marque après leur transaction. Notre travaillons notre référencement local auprès de partenaires financiers ou patrimoniaux.

TLF : Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?

A.d.l.B. : C’est justement ce positionnement de pureplayer qui rend le concept attractif. Beaucoup de nos concurrents ajoutent le change de devises, parfois même la cigarette électronique. Il est clair que la spécialisation est une des clefs du succès. On se rend toujours vers l’original, jamais vers la copie.

TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?

A.d.l.B. : L’analyse a permis de se faire une idée du marché que nous allions viser. Un Etat Général de Marché nous a été remis offrant une vision globale du marché de l’or en France. Les français détiennent 500 tonnes d’or de bijoux dans leur bas de laine. De nombreux spécialistes évoquent une détention de 2000 à 3000 tonnes d’or si l’on ajoute les pièces d’or et les lingots d’or. Sur le terrain, nos clients montrent clairement que ces chiffres sont proches de la réalité.

TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seule ?

A.d.l.B. : On peut toujours tout faire tout seul. Le Comptoir National de l’Or nous apporte 40 années d’expérience sur un marché particulier. Le marché de l’or existe depuis des siècles, si ce n’est des millénaires, et il ne s’aborde pas comme un marché classique. La notoriété et le professionnalisme qu’apporte l’enseigne sont indéniablement un atout pour aller vite et bien.

TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?

A.d.l.B. : Sans aucun doute ! Au-delà du succès de notre aventure entrepreneuriale, c’est une activité qui nous passionne.

TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?

A.d.l.B. : Ne pas hésiter à sauter le pas. Il faut néanmoins comme partout avoir une âme d’entrepreneur et être rigoureux dans sa gestion pour que cette expérience puisse être couronnée de succès.

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