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Olivier Raoux

CARVEO

Olivier Raoux

Directeur commercial de CarVéo

Franchise CARVEO

Les chiffres de ce réseau :

  • - Date de création : 2005
  • - Date de lancement de la franchise : 2010
  • - Nombre d’implantations : 2
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Interview de Olivier Raoux

Publié le
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« Nous vendons des véhicules de luxe et de prestige à des conditions imbattables »


Toute la franchise : CarVéo est un concept original et innovant. Pouvez-vous le présenter à nos lecteurs ?
Olivier Raoux : Nous sommes un réseau spécialisé dans l’achat et la revente de voitures de luxe, de sport et de prestige. Nous achetons des véhicules d’occasion, en Allemagne, à très bon prix, auprès du réseau des concessionnaires officiels des marques, voire directement auprès des constructeurs, et nous les revendons en France aux particuliers amateurs de belles voitures. Grâce à CarVéo, nos clients peuvent s’offrir un véhicule haut de gamme, en parfait état, doté des dernières innovations, pour un prix sensiblement inférieur à celui du neuf.

T.L.F : Quel est votre rôle au sein de CarVéo ?
O.R. : Je suis en charge du développement de l’enseigne. Celle-ci est financée par des investisseurs privés, passionnés d’automobile. C’est également mon cas puisque j’ai pratiqué la compétition automobile durant une demi-douzaine d’années. D’abord en karting, au niveau national et international, puis en formule Renault.

T.L.F : Quand a été créé CarVéo ?
O.R. : Le concept est récent. Il a vu le jour début 2010, après une longue phase de maturation. Depuis le lancement de notre agence test à Châteauneuf-les-Martigues, dans les Bouches-du-Rhône, nous rencontrons un joli succès auprès de la clientèle des passionnés de voitures. C’est pourquoi nous avons décidé, il y a quelques mois, de dupliquer le modèle CarVéo en franchise.

T.L.F : Quel type de véhicules commercialisez-vous ?
O.R. : Nous sommes positionnés sur le marché des berlines de prestige, des voitures de sport et des 4X4 sportifs - les fameux SUV. Il s’agit souvent de véhicules de direction, de moins de 2 ans, qui ont entre 5000 et 30 000 km au compteur. Les prix démarrent à 40 000 euros, pour aller jusqu’à 200 000 euros, voire plus, sur des véhicules d’exception. La plupart des modèles sont de marque allemande ou italienne : Porsche, Audi, BMW, Ferrari, Lamborghini… Mais on diffuse aussi Jaguar et Bentley. Nous avons des accords avec plus d’une quinzaine de marques en Europe.

T.L.F : Vous êtes positionné sur un marché très spécialisé…
O.R. : Oui, à l’échelle du marché automobile, nous occupons une niche pointue. Nos concurrents ne sont d’ailleurs pas très nombreux. Ce sont principalement les concessionnaires des marques de luxe distribuées en France. Mais ils sont loin d’offrir le choix, la variété et les prix que nous proposons à nos clients. Il faut aussi citer les particuliers, bien sûr. Mais ils ne nous font guère d’ombrage, car nous commercialisons des véhicules plus récents, parfaitement entretenus et dont la traçabilité est assurée, puisqu’ils proviennent directement des constructeurs ou de leur réseau officiel.

T.L.F : Pourquoi votre concept rencontre-t-il un si bon accueil auprès du public ?
O.R. : Plusieurs raisons expliquent notre bon démarrage. D’abord, nous n’importons que des modèles provenant des constructeurs et de leur réseau. C’est pour le client la garantie d’avoir un véhicule suivi et entretenu par les ateliers de la marque, donc conforme à l’origine. Cela exclut tout risque de vice caché et permet – je le précise au passage - de faire jouer la garantie et le suivi technique du véhicule de plein droit chez n’importe quel concessionnaire en France.

D’autre part, nous traitons des volumes importants, directement en Allemagne où le parc de véhicules disponibles est beaucoup plus important. Ce qui permet de tirer les prix vers le bas et de proposer des tarifs très attractifs, tout en générant de fortes marges au passage.

T.L.F : N’est-il pas pénalisant d’acheter un véhicule provenant de l’étranger ?
O.R. : Pas du tout, les voitures que nous importons d’Allemagne répondent à des normes communautaires qui s’appliquent de la même manière dans tous les pays de l’Union. Elles sont donc rigoureusement identiques à celles qui sont distribuées sur le marché français. Le transport n’est pas un souci non plus. En effet, les véhicules sont acheminés par camion, ce qui garantit leur parfait état à l’arrivée.

Enfin, nous nous chargeons de toutes les formalités pour le compte du client. Lorsqu’il vient réceptionner son véhicule dans son agence, nous lui communiquons tous les éléments nécessaires pour son assurance, sa carte grise et lui fournissons le carnet de garantie du véhicule. Il n’a plus qu’à repartir avec sa voiture.

T.L.F : Où en êtes-vous, quelques mois après l’ouverture de votre enseigne à la franchise ?
O.R. : Les choses avancent bien. Nous avons ouvert une agence à Metz, une autre à Sainte-Maxime dans le Var et nous en inaugurons une autre dans quelques semaines au Mans. Nous sommes également en bonne voie pour signer une implantation à Annecy. Notre objectif à terme est d’avoir 7 ou 8 agences Carvéo au total, et d’être présent à Paris, Lyon, Lille, Bordeaux et Strasbourg. Nous ne souhaitons guère aller au-delà, pour réserver à chacun de nos franchisés une zone de chalandise importante.

T.L.F : Quel profil de partenaires recherchez-vous ?
O.R. : Nous recherchons des professionnels possédant un solide tempérament commercial et une forte aisance relationnelle. Naturellement, pour exercer cette activité, il faut aussi être passionné de belles voitures. Difficile autrement de s’y retrouver dans les marques, les modèles, et les multiples versions qui sortent chaque année des ateliers et usines de nos partenaires. Pour dénicher le modèle précis voulu par le client, équipé des options qu’il désire, il faut vraiment bien s’y connaitre.

T.L.F : Quel investissement faut-il prévoir ?
O.R. : Il faut un apport de 100 000 à 150 000 euros au départ, selon l’emplacement et le standing du local choisi. Cette somme inclut un droit d’entrée de 15 000 euros. Elle permet d’aménager son agence et de disposer de la trésorerie nécessaire pour financer l’achat du premier véhicule commandé par le client. Une fois celui-ci revendu, l’argent encaissé repart dans le circuit pour financer l’achat des véhicules suivants et rémunérer le franchisé au passage.

T.L.F : Quelles sont les tâches dévolues au franchisé ?
O.R. : La principale est de démarcher sa zone de chalandise. Pour cela, il passe des annonces dans les revues automobiles et sur les sites internet spécialisés. Nous mettons à sa disposition un outil qui lui permet de consulter les stocks de nos 150 concessionnaires et constructeurs partenaires. A partir de là, c’est à lui de sentir le marché et de mettre en avant les véhicules qui suscitent de l’intérêt et de la demande.

T.L.F : Que proposez-vous en matière de formation ?
O.R. : On forme nos partenaires pendant une semaine, au siège de l’entreprise. Le programme comporte des modules sur la négociation, la vente, et bien sûr l’utilisation des moteurs de recherche spécialisés, qui permettent de trouver la perle rare au sein des flottes des constructeurs. On sensibilise également nos franchisés à trier les bons clients des doux rêveurs, passionnés mais rarement prêts à concrétiser leurs apsirations.

T.L.F : La rentabilité est-elle au-rendez-vous ?
O.R. : Oui, puisqu’il suffit de vendre 3 à 5 véhicules par mois pour dégager un salaire et faire fonctionner une agence. Ce qui est tout à fait faisable, au vu de notre propre expérience.

D’autant que nos franchisés peuvent se focaliser sur la prospection et le commercial. Nous mettons à leur disposition notre savoir-faire, notre réseau de partenaires à l’étranger, et les outils qui permettent de dénicher les bonnes occasions. En prime, nous les déchargeons de nombreuses tâches annexes, en nous occupant de négocier les véhicules pour eux, de les acheminer à leur agence et de gérer toutes les formalités administratives des véhicules.

Les interviews sont la propriété de Toute la Franchise.com et sont destinées à la diffusion exclusive sur les sites du Groupe Toute la Franchise.com



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