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Ayrald Berthod

ENVIDO

Ayrald Berthod

Fondateur et Président du réseau Envido

Franchise ENVIDO

Les chiffres de ce réseau :

  • - Date de création : 2012
  • - Date de lancement de la franchise : 2012
  • - Nombre d’implantations : 13
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Interview de Ayrald Berthod

Publié le
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Toute La Franchise a eu l'opportunité d'échanger avec Ayrald Berthod, créateur du concept Envido. Avec nous, il a accepté d'évoquer les atouts et le développement de son enseigne d'aquabiking.


Toute La Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Ayrald Berthod : J'ai 49 ans, et je suis le fondateur du réseau Envido. Avant cela, j'ai travaillé dans différents environnements : le bâtiment, le conseil…, avant de me constituer une expérience dans le monde de la franchise. J'ai notamment travaillé à la direction générale du réseau Point Soleil pendant quelques temps, et c'est en 2011 que j'ai commencé à m'intéresser à l'univers de l'aquabiking, car le marché me semblait porteur. La création de l'enseigne Envido date quant à elle de juin 2012.


TLF : Comment passe-t-on de Point Soleil à Envido ?

A.B. : Le parallèle entre Point Soleil et Envido est au final assez évident : ce sont deux activités en cabines privées, proposées dans des points de vente de centre-ville. C'est un modèle auquel je crois : le centre-ville est une cible intéressante pour des activités physique ou de bien-être. Les salles de sport ont un vrai public, mais beaucoup de personnes sont également contentes de se retrouver dans des endroits plus "intimes", plus "protégés", même si cela reste des espaces très conviviaux. Nos espaces attirent une population de tous âges, très féminine, mais aussi des hommes.


TLF : Où en êtes-vous de votre développement, et quels sont vos objectifs ?

A.B. : Avec les ouvertures du premier trimestre, Brest, Rennes et Noisy-le-Grand, nous compterons une quinzaine d'implantations. Aujourd’hui, nous nous considérons comme les véritables challengers du réseau principal d'aquabiking, même si beaucoup de tentatives ont eu lieu, seul Envido peut revendiquer cette position. Côté objectifs, nous souhaitons conserver des ambitions raisonnables : avec un rythme d’ouvertures annuelles stabilisé autour d'une douzaine de centres.


TLF : Quelles zones visez-vous ?

A.B. : Nous portons un grand intérêt aux marchés de Province car, même s'il reste encore beaucoup d'opportunités, Paris est déjà bien équipé. Envido vise des zones de chalandise de 35 à 40.000 habitants, ce qui ouvre un vaste champ de développement, avec de nombreuses opportunités d’implantations pertinentes.


TLF : Quels sont vos atouts par rapport à la concurrence ?

A.B. : Ils sont nombreux, mais l'on peut les résumer en trois points :

  • Nos appareils sont très différents de ceux que l'on peut voir dans d'autres enseignes, principalement du point de vue de la balnéothérapie, qui a été renforcée. Par exemple, le système de buses est installé à 360° autour du client, même au niveau de la porte; ou encore, la selle est fixe, et c'est le pédalier qui s'adapte en profondeur pour avoir systématiquement la meilleure position par rapport à l'installation de balnéo. Le tout à des prix comparables à ce qui se pratique ailleurs.
  • Nous portons également nos efforts sur la communication : nos campagnes ne s'adressent pas aux entrepreneurs, mais bien aux clients, pour les attirer dans nos centres. Nos activités sont conçues comme des cures, avec des périodes d'engagement courtes, de trois à six mois, car il est rare que les engagements sur le long terme, comme dans les clubs de sport, fonctionnent. Ainsi, plusieurs campagnes sont proposées dans l'année en fonction des temps forts : résolutions de début d'année, ou être au top pour l'été par exemple. Et surtout, nous avons le soutien très opérationnel et efficace de Laure Manaudou. Elle apporte une véritable caution vis-à-vis du public sur ce que sont les bienfaits de l'eau chez Envido. Le contrat a été signé pour 4 ans en tout, c'est une relation que nous sommes en train de construire sur le long terme, et nous sommes ravis de ce partenariat.
  • Enfin, la priorité au réseau : les centres sont liés et solidaires entre eux, chacun des clients peut pédaler dans chacun des centres, sur le principe "où je veux quand je veux". Nous avons aussi une base de données centralisée, travaillée au quotidien, comprenant 13.000 clients. Dès le départ, il a été établi que si nous devions créer un réseau, autant qu'il soit solidaire. Culturellement, c'est un vrai point, un parti pris important.


TLF : Quel profil de candidat recherchez-vous ?

A.B. : Nous sommes à la recherche d'un profil de concessionnaire assez précis : Envido met l'accent sur la capacité de gestion étroite de son environnement. Nos entrepreneurs doivent avoir l'envie de savoir ce qu'ils font dans leurs affaires, et pas se contenter de faire du chiffre sans savoir de quoi il retourne. Les personnes qui ont une expérience de l'entreprise sont particulièrement les bienvenues chez nous, car elles ont l'habitude de travailler ainsi.

Nous proposons deux offres :

  • L'offre "investisseur", qui demande un investissement entre 80 et 100.000 €
  • L'offre "Envido Location", qui s'adresse à des entrepreneurs avec des moyens moindres : l'apport sera plutôt autour de 50.000€. Cela représente une baisse sensible, car les équipements sont en location, les autres conditions restant les mêmes. Nous espérons ainsi toucher des femmes avec de l'expérience qui ont envie de quitter une entreprise pour se mettre à leur compte, envie d'autonomie. Mais aussi des femmes, et des hommes, qui ont passé une partie de leur vie à élever leurs enfants et qui arrivent à la quarantaine avec envie de repartir dans une vie professionnelle avec un environnement encadré. Cela élargit grandement la cible.


TLF : Quel est le parcours suivi par un entrepreneur rejoignant le réseau ?

A.B. : C'est un parcours assez traditionnel, avec présentation exhaustive, séances d'essai, transfert de l'information nécessaire pour créer leur business plan, DIP, et contrat. Cela prend quatre à cinq mois minimum, car nous prenons le temps d'accompagner le porteur de projet dans sa réflexion. Il ne faut pas oublier qu'il s'agit de futurs chefs d'entreprise, qui auront la responsabilité de leur affaire : ils doivent prendre la bonne décision. Notre but n'est pas de vendre des machines à tout prix, mais bien de créer une relation qui va durer au moins cinq ans.


TLF : Comment se déroule la formation ?

A.B. : Nous proposons une formation plus longue que nos concurrents, avec un parcours renforcé d'une semaine. La session mêle théorie et pratique au sein d'un centre, pour découvrir en direct ce qu'il s'y passe : le concessionnaire y apprend les vertus de l'aquabiking, les process, la dimension informatique, l'action commerciale, la gestion du centre, le package marketing…


TLF : Quels autres outils et services fournissez-vous ?

A.B. : Cela se passe beaucoup au niveau de la communication, avec deux types d'actions, nationales et locales. Par exemple, au niveau national, nous allons communiquer au printemps sur la remise en forme avant l'été, avec un plan de communication qui sera assorti de la proposition dans les centres de la gamme de maillots de bain Laure Manaudou Design. Les plans de communication locaux passent quant à eux par différents éléments : l'animation, l'aménagement de la vitrine, la presse locale, etc., ainsi que l'envoi de SMS et d'e-mail à notre base de données clients.

Côté outils, nous envoyons quotidiennement un mail d'information sur les performances de l'ensemble du réseau (chiffre et nombre de séances), pour permettre au concessionnaire de se situer par rapport aux autres. Nous avons aussi un bilan mensuel sur le nombre d'heure, la fréquentation, la typologie des clients, etc., ainsi qu'une liste de clients à inscrire dans leur animation du mois, parce qu'ils ne sont pas venus ou que leur abonnement arrive à expiration.

Tout cela justifie le tarif des royalties. Pour l'instant nous avons une quinzaine de centres, nous avons des relations privilégiées avec tout le monde, nous sommes en lien direct avec chacun des concessionnaires. Nous opérons des tournées régulières dans les centres pour vérifier la qualité et le respect du concept, et nos équipes marketing sont également en liaison quotidienne. Bien sûr, cela sera amené à évoluer avec l'augmentation du nombre d'établissement.


TLF : Si vous deviez convaincre un entrepreneur en une phrase ?

A.B. : Souvent, au sein des réseaux, les engagements sont un peu rapides : ce n'est pas notre cas. Nous avons la volonté de créer un vrai réseau, avec de l'échange et un modèle concret, opérationnel et engageant.


Nos interviews sont la propriété de Toute la Franchise et sont destinées à la diffusion exclusive sur les sites du Groupe Toute la Franchise.

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