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CAPRIM

Bernard ROUSSETTE

Développement Réseau

Franchise CAPRIM

Les chiffres de ce réseau :

  • - Date de création : 2006
  • - Date de lancement de la franchise : 2008
  • - Nombre d’implantations : 7
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Interview de Bernard ROUSSETTE

Publié le
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Toute-la-franchise.com :  Pouvez-vous vous présenter ? (nom, prénom, titre, cursus en quelques mots, pourquoi avoir développé l’enseigne en franchise, etc…)
BERNARD ROUSSETTE  : Bernard Roussette, Responsable du développement
- 15 ans dans la banque (directeur de 3 agences – gérant de patrimoine)
-   4 ans dans l’assurance (3 en tant qu’agent général – 1 en tant que courtier)
- 17 ans dans le recouvrement
-   7 ans en tant que franchiseur

TLF : Pouvez vous présenter votre enseigne ? (date de création, agence pilote, concept, nombre d’implantations, développement national et international, etc…)
B.R. : Le cabinet de recouvrement CAPRIM, sur le 37, a été créé en 2002 pour être, dans un premier temps, exploité par une seule personne. Progressivement, la demande de la part des entreprises nous a amené à développer plus intensément notre activité. A ce jour, notre cabinet est composé de : son dirigeant – 1 secrétaire – 1 commercial – 1 agent de recouvrement.
Les évolutions rapides en matière informatique et internet nous ont permis de développer favorablement notre concept, au point que nous avons décidé de le franchiser.

TLF : Quelle est votre concurrence ?
B.R. : La concurrence est tout à fait normale. Elle est constituée :
- de grands groupes à caractère national, mais ceux-ci privilégient les services annexes, tels que le renseignement commercial, la mise sous surveillance, etc., au détriment du véritable fondement de notre métier : le recouvrement amiable, voire judiciaire.

TLF : Quels sont les éléments de différenciation par rapport à celle-ci ?
B.R. : Nous n’avons strictement aucune crainte de la concurrence. Nous sommes, sauf erreur de notre part, les seuls à s’imposer contractuellement une obligation de résultats (outre celle de moyens), supérieure à 90% des dossiers confiés.
Par ailleurs, nos taux d’honoraires ne dépasse pas 12 % et, bien souvent, ressortent en moyenne à un taux inférieur à 10 % sur les sommes recouvrées.


TLF : Quelle différence apportez-vous ? En quoi votre concept se démarque-t-il ?
B.R. : Nous offrons à nos clients la possibilité d’effectuer le recouvrement des sommes qui leur sont dues sans paiement d’honoraires, grâce à un service gratuit de précontentieux. Celui-ci permet, en moyenne, le recouvrement d’environ 20% des impayés.
Nos honoraires sont probablement parmi les plus bas du marché.
Notre taux de réussite est probablement le plus haut du marché.
Nous sommes les seuls en France à proposer à nos clients de la distribution un fichier national des émetteurs de chèques impayés et non régularisés (enregistré à la C.N.I.L). Ce fichier est intégrable dans le logiciel des caisses enregistreuses et permet la détection immédiate et sans frais d’un « mauvais payeur » avant qu’il ne soit sorti du magasin.

TLF : Où en êtes-vous dans votre développement ? Avez-vous atteint vos objectifs d’implantation ?
B.R. : A ce jour, nous avons ouvert 2 cabinets. Un 3ème sera ouvert fin juin 2007 et un 4ème est en cours de négociation. Sachant que les premières signatures sont les plus difficiles à obtenir, nous pouvons affirmer que nous atteindrons notre objectif d’ouverture de 5 cabinets sur l’année 2007.

TLF : Quels sont les moyens développés pour atteindre vos objectifs ?
B.R. : Uniquement internet, et plus particulièrement votre site.

TLF : Quels sont vos objectifs pour 2007 ? et pour 2010 ?
B.R. : Pour 2007 : 5 ouvertures – pour 2010 : 75% du territoire national.

TLF : Quels sont les 3 raisons qui vous ont fait choisir la franchise comme mode de développement ?
B.R. : - la franchise « rassure » la personne désireuse d’indépendance « soutenue »
- le développement national d’un véritable savoir faire
- le traitement des dossiers éloignés par visites domiciliaires (clé de notre succès).

TLF :  Avez-vous des projets à l’international ?
B.R. : non.

TLF : Quelles sont les erreurs que vous ne recommenceriez pas si vous démarriez votre réseau maintenant ?
B.R. : Nous ne pensons pas avoir commis la moindre erreur. Néanmoins, un tel développement nécessite des moyens financiers importants, ce dont nous ne disposons pas à ce jour. Ce qui peut être considéré comme une faiblesse.

TLF : Quels sont les freins à votre développement ?
B.R. : Comme tout nouveau groupe, le plus difficile, c’est de commencer, tout simplement.
Par ailleurs, le secteur du recouvrement est assez mal connu, tant des candidats à la franchise que des banquiers, partenaires indispensables pour nos investissements.

TLF : Si vous avez besoin de locaux commerciaux, comment trouvez-vous vos emplacements ?
B.R. : Nous avons la chance de pouvoir exercer ce métier dans nos propres locaux, sans être obligés d’avoir « pignon sur rue » ou achalandage. Nous sommes prestataires de services auprès des entreprises et, à ce titre, seuls sont importants : le savoir faire – l’outil informatique – l’outil internet.

RECRUTEMENT :

TLF : Quelle est votre politique de recrutement ? (Profil des candidats, créateurs, entrepreneurs, investisseurs), Pourquoi ?
B.R. : Nous n’avons pas de profil particulier à une seule exception. Pour réussir dans notre domaine, mieux vaut être bon commercial.

TLF : Quelle procédure de sélection avez-vous adopté ? (réunion d’information, entretins individuels, tests, questionnaires, etc…)
B.R. : Nous avons en premier lieu un entretien téléphonique qui peut varier d’une demi-heure à une heure.
Si le candidat est intéressé, nous l’invitons à venir passer une ½ journée dans nos propres locaux, sans aucun engagement de sa part.
S’il persiste dans son intention, nous le convions 1 journée complète durant laquelle il va « vivre » une journée d’un cabinet de recouvrement et découvrir notre savoir faire.


TLF : Quel est le parcours d’un candidat ?
B.R. : Son parcours nous est indifférent. Il doit surtout être bon commercial ou avoir les dispositions pour ce faire. Le reste n’est que l’application pure et simple de notre savoir faire.

TLF : De quel apport personnel doit-il disposer ?
B.R. : Un minimum de 10 000 € semble être raisonnable.

TLF : Quel est l’investissement global ?
B.R. : Environ 30 000 € pour l’exclusivité d’un seul département. Compter 6 à 8 000 € par département supplémentaire.

TLF : Une fois la candidature d’un candidat validée, quelle est la procédure d’intégration ? (formation, assistance, kits de démarrage, aides diverses, aides au financement, etc…)
B.R. : - fixation des dates de formation
- mise en rapport avec le concepteur du logiciel de recouvrement
- remise d’un dossier type de demande de financement
- remise de nos propres comptes d’exploitation
- remise de l’ensemble de nos références nationales.

TLF : Quelle est la durée de la formation ? Comment s’articule-t-elle ?
B.R. : 2 semaines minimum dans les locaux du cabinet pilote.
Le programme complet de la formation figure sur notre site. Elle consiste essentiellement en une formation juridique liée à notre activité, informatique pour notre logiciel, commerciale pour la vente de nos contrats, terrain pour le recouvrement au domicile.


EN ACTIVITE :

TLF :  Votre nouveau franchisé, peut il compter sur votre assistance régulière, opérationnelle ? (formation continue, commissions de travail, animation de réseau, séminaire, etc…)
B.R. : tout à fait. Nous sommes à sa disposition téléphonique tous les jours. Nous sommes également à sa disposition pour établir tout type de contrat particulier adapté à telle ou telle entreprise, selon ses besoins.
Il bénéficie de toutes les mises à jour du concept.
Il participe à la mise au point de toutes les nouveautés.
Il peut adhérer ou non, pour lui ou l’un de ses collaborateurs, à toutes formations sur demande (nous sommes inscrits comme centre de formation agréé, ce qui permet une participation financière des organismes collecteurs).

TLF : Qu’est ce qu’un bon franchisé pour vous ?
B.R. : C’est une personne heureuse d’avoir adhéré à notre concept. Signe qu’il y trouve un intérêt « culturel » ou « social » comme une bonne rentabilité.

TLF : Qu’attendez-vous de vos franchisés ?
B.R. : Le meilleur C.A possible mais surtout une bonne et effective participation au groupe.

TLF : Comment sont ils impliqués au développement de votre enseigne ?
B.R. : Nous les consultons pour toutes les questions importantes en terme de développement du concept. Les principales décisions sont prises en commun.

TLF : Comment s’organise la relation franchiseur/franchisé au quotidien ? (outils informatiques, centrale d’achat, mail, journal interne, etc…)
B.R. : Essentiellement par internet et par téléphone.

   

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