Gérald Joguet a rejoint le réseau Aceos à Bourges. Avec Toute La Franchise, il revient sur son parcours d'intégration au sein de l'enseigne.
Toute La Franchise : Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Gérald Joguet : j'ai 44 ans, et j'étais directeur régional chez Hilti (électroportatif et fixations) vente en B to B avec 17 ans d’ancienneté.
TLF : Pourquoi avoir créé votre société avec le support de votre franchiseur ? Avez-vous consulté des concurrents de votre enseigne ?
G.J. : J'ai choisi Aceos parce que le produit est clé en main et l’ambiance est familiale. J'ai effectivement consulté son concurrent direct sur la partie CE, mais j'ai trouvé l’offre moins développée.
TLF : Etiez-vous de la profession avant de vous lancer ? Si non, pourquoi avez-vous changé de secteur d’activité ?
G.J. : Non, je n'avais pas exercé dans ce domaine d'activité, mais l’envie de monter ma boîte était présente et le concept a retenu mon attention : il est "sexy" et facile à vendre.
TLF : Comment avez-vous été et êtes-vous toujours accompagné dans votre activité ?
G.J. : J'ai bénéficié d'une formation d’une semaine, et je trouve depuis mon intégration un soutien sans limite auprès du siège.
TLF : La formation vous a-t-elle permis concrètement de démarrer votre activité dans des conditions optimales
?
G.J. : Oui, et le franchiseur lui-même était présent lors de mon premier speed meeting.
TLF: Votre franchiseur a-t-il concrètement respecté tous les points sur lesquels il s’était engagé ?
G.J. : Oui, il est même très souple sur les points non discutés.
TLF : Comment se passent les relations avec vos collègues franchisés ? L’esprit réseau est-il réellement effectif ?
G.J. : Nous nous réunissons tous une ou deux fois par an pour un échange d’expérience et j’ai très souvent mes collègues au téléphone.
TLF : En termes de chiffre d’affaires, avez-vous atteint vos objectifs ?
G.J. : J'ai atteints mes objectifs dans l'ensemble, mais avec des chiffres très variable d'un mois sur l'autre.
TLF : Quelles actions menez-vous pour développer votre C.A et vos clients ?
G.J. : Les speed business drainent beaucoup de nouveaux prospects, et les rendez-vous pris par une téléprospectrice m’aident beaucoup.
TLF : Avec le recul, le concept est-il bien positionné et bien justifié sur votre marché ?
G.J. : Oui, le concept colle bien à une demande de nos clients et le tarif est bien ajusté.
TLF : L’analyse que vous avez menée avant de rejoindre votre franchiseur corrobore-t-elle votre vécu sur le terrain ?
G.J. : oui, c’est sans surprise, même si j’aimerais que cela se développe encore plus vite !
TLF : Auriez-vous pu mener à bien votre activité si vous aviez du la créer seul ?
G.J. : Impossible de créer cette activité seul : les négociations pour le CE et pour le groupement d’achats sont les fruits de quatre ans de travail en amont.
TLF : Si c’était à refaire, signeriez-vous à nouveau avec votre franchiseur ?
G.J. : Oui, je signerais sans aucun problème.
TLF : Quels conseils donneriez-vous à tous les candidats intéressés par votre enseigne ?
G.J. : Je leur dirais de ne pas compter leurs heures, d’être investi à 100% et de prendre du plaisir !
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